Surveiller et punir

mobilisation : tous doivent être prêts à combattre « pour le service de Dieu et le profit du roi ». Le service militaire est dû par tous les hommes libres. Leur mobilisation obéit au ban du roi, c'est-à-dire son pouvoir d'ordonner, de contraindre et de punir. Refuser de rejoindre l'armée ou de contribuer à l'équipement d'un combattant est sanctionné d'un amende appelée « hériban » ou « ban de l'armée ». En ce qui concerne la mobilisation de l'ost (l'armée), le rassemblement a lieu en mai, selon une procédure

mettre rapidement en œuvre la proposition. Suite à la reprise des cas de violences après la première résolution, une résolution 2043 est intervenue le 21 avril 2012 pour créer une Mission de supervision des Nations Unies en Syrie (MISNUS) afin de surveiller la mise en application de la proposition. Malgré cela, les violences n’ont cessé de prendre de l’ampleur. La Résolution de l’AGNU relative à « La situation en République arabe syrienne », du 8 Mai 2013, (A/67/L.63) nous montre que malgré les interventions

bagarre, -La punition doit être ajustée en fonction de chaque situation, elle doit prendre la forme d’une « Réparation » des dégâts et doit viser une responsabilisation de l’enfant, - Le dialogue doit être la solution privilégiée, ne jamais punir un enfant sans lui expliquer pourquoi, - La propreté du centre, et le respect des horaires sont exigés, - Les adultes paient leurs frais médicaux en cas d'intervention, -La gestion du matériel, de l'éclairage et la gestion des énergies doivent

susceptibles d'appel car ils sont rendus par "le peuple souverain". * La juridiction des mineurs Le juge des enfants, juge du tribunal de Grande instance, instruit les affaires concernant les mineurs, ordonne les mesures (rééducation, assistance), surveille les établissements qui ont en charge des mineurs. Il a le pouvoir de prendre seul des décisions, les mesures : - la relaxe - la déclaration de culpabilité - l'admonestation (c’est un avertissement ayant pour but de faire prendre conscience au mineur

Introduction Depuis deux siècles, la prison est considérée comme le meilleur moyen de punir, d'amender et de réinsérer les personnes ayants commis des infractions et c'est aussi une solution pour protéger la société. C'est une conception très récente qui date de la révolution française et de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen. La privation de liberté devient alors le moyen le plus important pour punir les infractions. A partir de 1791, il existe deux types de prisons : - Les départementales

et l'anathème contre les ennemis de la foi étaient des faits déjà anciens, selon ce qui avait été en particulier prescrit par le deuxième concile du Latran (1139). Il appartenait aux évêques de rechercher les hérétiques, aux juges séculiers de les punir, aux rois et aux princes de prêter, sous peine de déchéance, leur concours à cette répression. Très différente est l'Inquisition ; elle se présente comme un tribunal d'exception, permanent, qui intervient dans toutes les affaires intéressant la défense

de plus en plus la charité comme génératrice d’oisiveté et lui préfèrent la bienfaisance qui doit procurer du travail. En obligeant les vagabonds et les mendiants à exercer divers travaux proposés dans leurs locaux, les dépôts de mendicité doivent punir la prétendue paresse des ces marginaux et les réinsérer par la suite dans la société. L’instabilité politique et financière de la période révolutionnaire ne favorise pourtant pas les dépôts de mendicité, et il faut attendre le Premier Empire pour qu’ils

présente comme la transcription de onze leçons que michel Foucault a consacré à l’éloge et à la généalogie de l’historicisme politique. Ces leçons constituent une pause dans ses enquêtes historiques sur les technologies d’assujettissement (entre surveiller et punir et la volonté de savoir), pendant laquelle il tente de situer l’analyse critique, historique et politique du pouvoir dans la pensée politique occidentale. Il avance que « la société dans sa structure politique est organisée de manière à ce

tempête de 3 jours, à laquelle il n’échappe, meurtri, difforme et exténué, que par la soumission finale de Poséidon au « destin » (la querelle de Poséidon et de Zeus se videra, au chant XIII, v.148, par l’autorisation accordée par Zeus à Poséidon de punir les Phéaciens qui ont permis le retour d’Ulysse à Ithaque), avec l’aide d’Athéna et d’Ino, qui convainc Ulysse de troquer le radeau démembré pour un voile magique, de plonger nu dans la mer et qui lui inspire de s’agripper aux rochers pour ne pas se

•Deuxième rouage : Le comité de sûreté générale, crée en août 1792 par la législative. En soit il a autant e force que l’autre comité car c’est un comité. Il y a 12 membres élus tous les mois, mais ce principe ne va par être respecté. Il surveille les personnes il arrête les suspects, c’est la police de la République, et il contrôle le tribunal révolutionnaire. Centralisation marquée et les pouvoirs locaux sont placés sous l'autorité de la convention. Les comités révolutionnaires mettent