Superstition

l’assurance la plus achevée naît de la vie tranquille et d’une existence à l’écart * du grand nombre’’,(florilège p.93). Il faut aussi savoir comment éviter les malheurs, car * le malheur est l’opposé du bonheur. Critiquer les mythes et les superstitions est une très * bonne façon de trouver le bonheur aussi. ‘’Mieux vaudrait accepter le mythe au sujet des * dieux que de s’asservir à la fatalité des physiciens ; le mythe en effet inscrit l’espérance * de modifier l’action des dieux

maintenir en esclavage "sous l'abrutissement de la superstition" ž deux points de vue convergents contre le colonialisme 2. Critique religieuse Dialogue entre Orou et l'aumônier. Pas d'évocation d'une religion des tahitiens : représentation du matérialisme athée de Diderot (ne croire qu'à la nature, au monde physique). Deux aspects principaux sont critiqués v La conception métaphysique de Dieu, les superstitions et la Bible Diderot se moque de la Bible à

les proscrits et à se réfugier face aux autorités, bien que les craintes construites autour de cette vision ait été infondée en comparaison avec les faits réels. 2) L'imaginaire collectif a. Les croyances sylvestres : la persistance des superstitions séculaires. Les forêts, par leur caractère lugubre et sombre, entretenait dans l'esprit superstitieux des premiers hommes un mélange de crainte et de vénération., d'où sa présence très ancienne dans les cultes de nombreux peuples. Proches de

L'homme n'a rien à attendre des dieux car ceux-ci ne se préoccupent pas d'eux : ils ne sont pas de la même nature et n'éprouvent donc ni amour ni haine envers le mortel. Cela n'est pas une théorie impie. Ce qui compte, c'est de balayer toute superstition religieuse. Comment ne pas craindre la mort? La mort n'est jamais là quand nous y sommes : de notre vivant, nous ne pouvons pas la connaître et quand nous mourons, nous ne sommes déjà plus. La douleur disparaît quand on meurt, si elle est

que si je dis « non » à ce préjugé. En ce qui concerne la superstition, je n'en serai délivré que si je m'y oppose, en essayant de comprendre quel est son fondement, son contenu exact, son origine. C'est m'opposer à ce préjugé tout en refusant que mon imagination prenne le pas sur ma raison. Penser par soi-même relève donc d’un effort, d’un travail à long terme. L=indépendance financière et matérielle. Penser = indépendance aux superstitions et aux croyances. Penser est donc assimilable à un travail

été un peu "gommé" dans le 2ème paragraphe : accumulation l.22 : conséquences de l'horreur. -> Les derniers adjectifs : totalement ironiques quand ils présentent l'autodafé comme 1 acte religieux 2. La superstition En quoi un autodafé peut empêcher la terre de trembler ? = pure superstition 3. L'optimisme (de Candide) -> Dernier paragraphe : le narrateur regarde de manière amusée les interrogations de Candide rapportées au style direct. -> caractère emphatique des phrases soulignées par

châtiment qui a été un peu "gommé" dans le 2e § : accumulation l.22 : conséquences de l'horreur. -> Les derniers adjectifs : totalement ironiques quand ils présentent l'autodafé comme 1 acte religieux 2. La superstition En quoi un autodafé peut empêcher la terre de trembler ? = pure superstition 3. L'optimisme (de Candide) -> Dernier § : Le narrateur regarde de manière amusée les interrogation de Candide rapportées au style direct. -> caractère emphatique des phrases soulignées par l'apostrophe

sur le mot « connaissance ». o Métaphore (l’horloge = progrès) • Esprit d’examen hérité de Descartes 2. Un esprit de raison • Raison : pilier de l’esprit philosophique o Chiasme (grâce → Chrétien, raison → philosophe) être qui bannit les superstitions • Philosophe : « l’être raisonnable » • Les lumières (marche dans les ténèbres, précédé par un flambeau) III. Les domaines où s’exerce l’activité du philosophe 1. Un homme qui doit agir (domaine de l’action) • Lexique de l’action : « agir

· - ce que l’usage de la raison rejette absolument , ce n’est pas la croyance en elle-même, ce sont ses dérives que sont le Fanatisme (idéologique, religieux, sectaire) aveugle et misologue et la superstition qui nourrit la peur et qui empêche à la fois le progrès de la connaissance ( la superstition ne vivant que de l’ignorance) et la vie raisonnable , c’est-à-dire sage ( par ex. la philosophie épicurienne qui pose les principes de la vie sage et heureuse commence par une physique, qui a pour objectif

penseurs et des philosophes, qui ont la volonté de comprendre le monde « à la lumière » de la raison et de ce fait, les Lumières désignent avant tout une attitude intellectuelle. C’est le siècle de la lutte contre les ténèbres de l’ignorance et de la superstition, on retrouve d’ailleurs la même image en Allemagne ainsi qu’en Angleterre. Les Lumières sont symboliques de la querelle des Anciens et des Modernes, ce terme va ensuite servir à désigner dans toute l’Europe l’esprit philosophique de cette époque