Superstition

perspective philosophique a) La rationalité et le pragmatisme -« observer », « mesure » « physicien » « philosophes »/champ lexical du savoir : référence à Voltaire (partisan de l’expérience) Il se bat contre 3 grands préjugés dans l’œuvre : La superstition la peur le système b) La relativité Elle est présente dans toute l’œuvre -Micromégas/oxymore : petit/grand, tout dépend du référentiel -Référence à « Blaise Pascal » dans le chapitre 1 pour situer dans le temps le voyage/nom : inventeur

industrielle du siècle suivant : métier à tisser, machine à vapeur... LES IDEAUX DES LUMIERES LA RAISON L'usage de la raison remet en question toute forme d'autorité : se développe l'esprit critique, qui affranchit l'homme des préjugés et des superstitions (Histoire des oracles, de Fontenelle). - Critique sociale et politique : Montesquieu plaide pour une monarchie modérée et la séparation des pouvoirs. - Critique religieuse et anticléricale : Diderot s'oppose au caractère divin de la monarchie

l’inquisition ? Nous allons voir que Voltaire dénonce l’Inquisition dans le chapitre 6 de Candide. En effet, Voltaire présente l’inquisition comme une cérémonie religieuse plutôt carnavalesque (I). Cette mise en scène est l’occasion de critiquer la superstition et l’arbitraire de l’Inquisition (II) par le recours à l’humour noir et à l’ironie (III) 2 – Quels sont les procédés de l’ironie utilisés par Voltaire et dans quel but ? Il s’agir d’une problématique un peu plus difficile : elle nécessite des

ces | |(poser la question) |créatures? | |Sujet posé |J’approuve fortement que ces créatures et superstitions, de phénomènes bizarres, ne doivent, en aucun cas,| |(prise de position claire et adaptée |être cru ! | |en respectant le thème et le propos) |

Article FANATISME     Le fanatisme est à la superstition ce que le transport (1) est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste; celui qui soutient sa folie par le meurtre est un fanatique. Jean Diaz, retiré à Nuremberg, qui était fermement convaincu que le pape est l'Antéchrist (2) de l'Apocalypse, et qu'il a le signe de la bête (3), n'était qu'un enthousiaste;

l’énumération .la quantité l’emporte sur la qualité. Sa tirade s’apparente à une tirade grotesque autour d’un discourt théologique avec des exemple ou des référence inconvenante : _ référence moine Bourru : rapprochement entre la religion et la superstition _ comparaison entre le champignon et le monde _ « n’a-t-il pas fallu que votre père est engrossé votre mère » (terme vulgaire) 2. On a aussi le comique de parole. Le contraste entre la logorrhée de Sganarelle et

Catholique, Sganarelle donne de la religion une interprétation sujette à caution. Elle est d’abord fondée sur la crainte de l’Enfer et la peur de Dieu. Jamais il ne parle du pardon et de l’amour divin. En outre, sa foi en Dieu se mêle à des superstitions : il croit davantage au « Moine-Bourru » (sorte de croque-mitaine), à l’Enfer, au « diable », au « loup-garou » et aux « miracles de la médecine » (du XVIIème siècle) qu’en Dieu. Plus grave peut-être, ce croyant n’hésite pas à se comporter à l’exemple

de DON JUAN (diable…). Mais dans la bouche d’un ignorant qui mélange tout. Sganarelle reproche à son maître de ne croire « ni ciel, ni enfer, ni loup garou ». Mélange total entre religion et superstition. Sganarelle n’est pas le porte parole de Molière. Ce type de mélange entre religion et superstition est tout a fait comparable a celui que commet le parti dévot qd il accuse Molière de s’attaquer à la religion dans Tartuffe, alors que M n’attaque que les faux dévots Il règle ses comptes en

l’Imfâme » il luttait contre l’Église (mais pas contre la religion). Voltaire est mort en 1778. Juste avant sa mort il a proclamé qu’il vénérait Dieu, qu’il aimait ses amis, qu’il ne ressentait aucune haine pour ses ennemis et qu’il détestait la superstition.” http://www.david-zbiral.cz/Voltaire.htm Voltaire et la religion : Voltaire est un grand critique de la religion catholique. A travers ses oeuvres, on peut également remarquer qu’il critique non seulement la religion catholique mais aussi

paragraphe fait le récit des circonstances & raisons, le second celui des choix des victime & la cérémonie, et enfin le dernier relate la réaction de Candide. L'Inquisition étant l'occasion pour Voltaire de critiquer l'intolérance, la superstition, la barbarie de l'Eglise, le principal intérêt de ce texte est la dénonciation de ce fanatisme religieux sur le mode ironique. Le procédé favori de l'auteur est d'ailleurs de feindre de comprendre, justifier voire approuver la scène, n'en rendant