Superstition

les coups), mais il est également lâche moralement : sa conscience est élastique et il ne cesse de bafouer les principes qu'il défend. Il est ignorant et bête, et ne cesse de démontrer son ignorance en de longs discours où il mélange tout, foi, superstition, médecine, morale. Il sait jouer avec Don Juan, dont il a une connaissance approfondie. Il est capable de s'arrêter toujours à temps dans le reproche, ou de le déguiser suffisamment pour ne pas encourir ses foudres ou ne pas être frappé. Il joue

puisse ne pas être croyant. Sur la question « est ce qu’un homme peut se passer de sa superstition ? » je pense que cela dépend vraiment de la personne. Nous ne pouvons pas faire de cette question un cas général qui concernerait tous les hommes. En revanche pour certaines personnes la superstition est presque vitale. Elle peut devenir une dépendance (un mode de fonctionnement, car finalement, être dans la superstition, dans des pensées magiques ne leur évite-t-il pas de faire face à la réalité et de

par une interprétation prenant en considération l'inconscient du sujet. C'est donc ainsi que le superstitieux croit uniquement au hasard psychique. Au contraire de Freud, il ne croit donc pas au hasard extérieur, et c'est ici que se trouve la superstition. Pour l'homme superstitieux, tous les évènements purement extérieurs, c'est-à-dire dans lesquels sa vie psychique n'a pas pris part, révèlent à propos de lui-même et de l'avenir des éléments capitaux. Il perçoit donc les situations qui lui arrivent

explique qu’il a tué un homme,voilà deux ans, mais dans cette nuit. L’autre année, il est revenu d’appeler le vieux homme et ce soir l’homme entend le tué encore. Cet homme parle donc d’un revenant. Le revenant est un terme qui appartient à la superstition. On croit donc que l’homme qui est tué, reviendra tout les ans dans la nuit qu’il a été tué. Il est logique qu’on pense immédiatement qu’il est question d’un danger imaginé. Les revenants n’existent pas et cela est aussi la réaction du narrateur

l’Encyclopédie. Il se présente comme une suite d’articles dans lesquels l’écrivain peut développer avec force, dans le registre polémique, ses réflexions sur l’intolérance, la torture, la guerre ou le fanatisme. FANATISME Le fanatisme est à la superstition, ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste ; celui qui soutient sa folie par le

accumulation des connaissances : il s’agit d’un inventaire "raisonné" qui fait l’apologie des  progrès du genre humain en dénonçant la superstition, le fanatisme ou la tyrannie, entraves à  la liberté et au bonheur.     3­Les principes des Lumières    La raison :  L'usage de la raison remet en question toute forme d'autorité : se développe l'esprit critique,  qui affranchit l'homme des préjugés et des superstitions (Histoire des oracles, de Fontenelle).  ­ Critique sociale et politique :  Montesquieu plaide pour une monarchie modérée et la séparation des pouvoirs

savoirs. Pour cela, il s’appuie sur la raison et prouve dans De l’horrible danger de la lecture par un raisonnement par l’absurde les dangers de l’ignorance. En effet, Il utilise l’ironie pour dénoncer l’obscurantisme mais aussi la religion et les superstitions religieuses qu’elle entraine. Il est vrai qu’une des cibles favorites de Voltaire était la religion et particulièrement l’intolérance religieuse qu’il appelait « l’infâme ». Voltaire croyait en Dieu mais était déiste. Il prône la liberté religieuse

2ème paragraphe : on retrouve une accumulation (l 23 à 32) qui traduit les conséquences de l’horreur. Les derniers adjectifs sont ironiques quand ils présentent l'autodafé comme un acte religieux 2) La superstition En quoi un autodafé peut empêcher la terre de trembler ? = pure superstition 3) L'optimisme (de Candide) Dernier paragraphe : le narrateur regarde de manière amusée les interrogations de Candide rapportées au style direct. caractère emphatique des phrases soulignées par l'apostrophe

habitudes. Il rejette le principe d'autorité au nom de la liberté de pensée, conteste les traditions lorsqu'elles constituent un frein au progrès et gène la marche éclairée de l'humanité. (il les associe souvent aux opinions, aux croyances et aux superstitions et les soumet à l'esprit d'examen et les dénonce lorsqu'elles conduisent à un durcissement de la pensée et de l'action) Bayle et Fontenelle ouvrent la voie de la contestation dès le début du siècle, suivis de Montesquieu et Voltaire. L'utilisation

de l'invention du torche-cul ou encore les élucubration d'Alcofribas (« vous n'en avez pas une pareille, paillards de rase campagne ! »). Dans le cas des parisiens et des pèlerins noyés, l'urine punit, souille des individus coupables de sotte superstition, de stupidité. Le rire scatologique a lui pour fonction de totalement discréditer l'adversaire. D'autre part le comique dans l'oeuvre se traduit sous différentes formes culturelles. Le comique du gigantisme, spécifique à la littérature populaire