Superstition

des croyances religieuses ? Les caractéristiques principales d’une religion sont : - 1 communauté de croyants - la pratique d’un culte - une doctrine issue d’un texte sacré - un ensemble de règles morales à respecter La superstition se distingue de la religion car c’est une croyance individuelle voire familiale sans communauté de croyants, il n’y a pas de culte ni de texte sacré, par contre, il y a des règles pour l’action (exemple : ne pas passer sous une échelle, ne pas

dynamisme des roturiers à l'inaction de ceux qui se sont seulement « donné la peine de naître » : Le paysan parvenu de Marivaux et le mariage de Figaro( 1784) 3)La foi dans le Progrès Dans la lutte contre toutes les formes d'obscurantisme et de superstition : Les sciences jouent un rôle important et la diffusion du savoir est perçue comme la base même de toutes les transformations l'Encyclopédie est l'ouvrage majeur du siècle : Somme des connaissances de l'époque, elle se veut oeuvre de vulgarisation

sang est la vie en quelques sortes, au XIV siècle, l'expression vampirisme se répend en Europe. Au XVII ème siècle, les superstitions se répandent dans le monde entier. C'est au XVIII ème siècle que va se produire ce qu'on appelle de nos jours "l'épidémie vampirique". Tous les journaux en parlent en Europe. Des chasses vont être organisées. Au siècle des lumières, des superstitions vont faire peur aux gens. Beaucoup d'articles sont parus ce qui entraine un gran émoi. Les pays touchés doivent faire

caractérise l'autodafé. Et le deuxième tremblement de terre, signalé à la fin du deuxième paragraphe caractérisé par un fracas épouvantable. Cela montre l'inutilité de l'autodafé, son abscence des faits, et dévoile au lecteur l'ironie par laquelle. Les superstitions, sont ridiculisées... Ceux qui ont prit la décision de pratiquer l'autodafé, apparaissent ainsi comme dénués de bon sens, de connaissance. Sage est une antiphrase, chargée d'ironie.... L'autodafé est présenté comme un secret. Le terme connote

savoir selon Spinoza, les causes finales par conséquent ayant trouvé des moyens qui leur procurent ce qui leur est utile sur terre, ils sont forcés de penser que ceux-ci ont été déposé pour eux par une autre personne d'où la superstition. Ainsi, pour Spinoza la superstition est du aux préjugés. De plus, dans Race et Histoire Levi-Strauss explique ce qu'est l'ethnocentrisme c'est à dire le rejet et la dépréciation des autres cultures. Or, on peut penser que ce rejet provient éventuellement de préjugés

avaient arraché le lard » lignes 9 à 10. L’Inquisition semble être un rassemblement de croyants extrémistes, prêt à tout pour satisfaire les foules, même leur montrer des mises à mort comme spectacle. L’auteur semble critiquer aussi quelque peu la superstition, en effet, l’Inquisition et le peuple portugais sont persuadés que les catastrophes s’arrêteront de s’abattre sur leur pays s’ils effectuent un auto-da-fé, en sacrifiant des personnes dites coupables de leur malheur. Voltaire prouve l’inutilité

«Fanatisme»). Mais affirmer une image de Voltaire athée serait une mauvaise interprétation. En réalité c’est un homme profondément croyant, mais il refuse l’appartenance à une religion se querellant toujours avec les autres, le fanatisme et la superstition. On s’accorde à penser que la religion de Voltaire est le déisme, une religion non dogmatique, fondée sur les valeurs morales et universelles. Dans ce système Dieu est plutôt un horloger («Les Cabales» 1772), créateur de l’Univers qui intervient

ce qui critiquable et horrible. Fait réfléchir le lecteur sur l’incohérence des comportements. Utilisation de l’ironie, procédés de décalage = armes de dénonciation. II. La critique, les éléments de la dénonciation A. Dénonciation de la superstition Mise en relief de liens supposés logiques entre des éléments qui n’ont rien à voir. Par .1 : rapprochement entre les sages, le tremblement de terre, l’université et l’autodafé met en évidence un raisonnement faussement scientifique, mêlant

n’est pas une fin en soi, il est un moyen au service d’une visée plus élevée : il s’agit de réformer la société pour l’améliorer : Voltaire eut des adversaires qui ne riaient pas... Une œuvre de combat : 1) Satire de la religion et des superstitions : fin chap III (le protestant) ; début chap VI (l’autodafé) 2) Satire des pouvoirs politiques arbitraires : Enrôlement violent dans l’armée chap II ; cause des guerres (chap III) ; abus du gouverneur chap  ; affreuse histoire

prônent une religion affranchie de toute l'Eglise.Partisans de l'égalité civile + séparation des pouvoirs, ils acceptent pour vérité ce qui est vérifié par l'observation et l'expérience. Ils condamnent le fanatisme et l'ignorance qui engendrent des superstitions et des préjugés. Ils montrent que d'autres formes de gouvernement existent dans lesquelles libertés et égalité peuvent êtres mises en oeuvre.Esprit des Lumières >> Voltaire "Je ne partage pas vos idées mais je me battrai jusqu'à la mort pour