Superstition

inventé les dieux pour jouer ce rôle de cause. Ces dieux sont une « malédiction » car ils inspirent à l’homme la terreur.   -         Religion et intolérance : Spinoza émet une critique de la superstition religieuse née de deux passions : la crainte et l’espoir des biens incertains. Cette superstition est d’autant plus menaçante que les puissants s’en servent pour faire taire les revendications à la libre-pensée.   -         Dieu comme projection de l’homme : Pour Feuerbach les perfections

âme doit être rachetée de notre vivant. * L’économie du salut se développe, le rapport entre morts et vivants change. II- Croire autrement que l’Eglise chrétienne a. La persistance des superstitions Les paysans sont chrétiens mais ils croient en de très nombreuses superstitions : croient aux esprits ex : de la forêt Prient pour la fertilité Ce sont des croyances populaires qui se mélangent aux croyances chrétiennes, au dogme

ressent dans la manière dont il s’exprime. - Mélange de foi et de croyances populaires, il parle des bases de la religion catholique (enfer, paradis) puis aborde un personnage d’une superstition à l’aide du présent de vérité générale, le Moine Bourru => décrédibilisation totale du propos. Il parle de cette superstition au superlatif « il n’y a rien de plus vrai que le moine bourru » c) Bouffonnerie du personnage La maladresse de Sganarelle est si forte que cela devient comique. - Comique de gestes

deuxième école fondée en 306 av J-C est axée sur la recherche du bonheur et d’une sagesse dont le but ultime est d’atteindre l’ataraxie. Elle essaie de proposer une connaissance des vraies lois de l’univers pour délivrer les hommes de la crainte de la superstition - Lucrèce disciple d’Epicure, dans un livre en 6 chants dédié à son ami Memmius, nous livre les principes fondamentaux de cette Ecole. - Les livres : les atomes et le vide (I), le mouvement et les propriétés des atomes (II) / l’âme, l’homme

scientifique, plus de crédibilité est accordé car il cherche à expliquer, à prévoir et parfois à contrôler les phénomènes naturels. La technologie qui repose sur la science est très efficace à répondre aux besoins matériels de l’homme, bien plus que la superstition et la raison qui repose sur la philosophie. Le discours philosophique quant à lui est un discours rationnel basé rien que sur la pensée rationnelle des gens et la théorie de la connaissance voulant démontrer la raison bien qu’elle ne soit pas fondé

les maintenir en esclavage "sous l'abrutissement de la superstition"       deux points de vue convergents contre le colonialisme   2.     Critique religieuse Dialogue entre Orou et l'aumônier. Pas d'évocation d'une religion des tahitiens : représentation du matérialisme athée de Diderot (ne croire qu'à la nature, au monde physique).   Deux aspects principaux sont critiqués        La conception métaphysique de Dieu, les superstitions et la Bible Diderot se moque de la Bible à laquelle Orou

antithèses « puissants »/ »misérables » ; « blancs »/ »noir » et condamne les décisions arbitraires de la justice, basées sur la condition sociale et non sur la neutralité. Enfin, le texte contient également une critique de la religion, vecteur de superstition. L’allégorie du ciel montre que les hommes, pour expliquer les malheurs régnant sur terre pensent à une volonté du ciel. C’est ce qu’indiquent les nombreux verbes actifs « inventa », « faisait aux animaux » « a permis ». Dès lors, les personnages

vulgarisation des idées. Philosophique, le récit porte une morale et offre ses armes aux combats des philosophes des Lumières. Ainsi, Candide, paru en 1759, dénonce-t-il à la fois l'optimisme passif, l'esclavage, la guerre, la torture, l'intolérance, la superstition, le fanatisme... Au chapitre 6, Candide et Pangloss assistent à l'autodafé décidé par l'inquisition pour empêcher la terre de trembler à nouveau. En 1755, le tremblement de terre de Lisbonne, ville où se déroule la scène, a profondément marqué

consiste à proposer une condition fictive: l disparitionde toutes les méthodes scientifiques "si ces méthodes venaient à se perdre , une recrudescence de la superstition et de l'absurdité repranant le dessus" . Il conclut que les superstitions et absurdités augmenteraient si il n y avait pas de méthodes. Donc c’est contre les superstitions et les absurdités des croyances que les sciences se sont établies, car dans le dictionnaire e Robert ,l'absurdité signifie ,manque de logique/propose deraisonable

seulement cruel mais inutile. Il est évident qu’il procède à une attaque en règle contre ceux qu’il considère comme intolérable. III. Ce qu’il recherche : la dénonciation Voltaire s’attaque à la superstition, au fanatisme religieux, à l’intolérance puis pour finir à l’optimisme. - Qu’est ce que la superstition ? C’est accorder à certains actes un pouvoir magique et là précisément c’est accorder un acte au pouvoir de Dieu par l’autodafé afin d’apaiser la colère du ciel. Pour voltaire, c’est croyances