Sublimer La Souffrance

d’âme, leurs souffrances, leurs souvenirs que parler de tout ce qui les rend joyeuses, heureuses…mais pour certaines d’entre elles, cela pourra peut-être leur permettre la mise en mots de leurs « maux ». Les jeunes filles ne maîtrisant pas correctement la langue française peuvent utiliser leur langue maternelle sans pour autant faire l’impasse sur la langue française. Je trouve utile le fait que les adolescentes aient un espace où celles-ci peuvent, au travers de leur slam, « sublimer » leurs souffrances

poème correspondances).· Théorie des correspondances, les éléments communiquent entre eux, le monde matériel et spirituel se répondent entre eux. (synesthésies)Il est plus qu’un homme mais moins qu’un Dieu, cette position intermédiaire crée sa souffrance => le spleenLes fleurs du mal propose donc une échappatoire. « au lecteur » ne constitue pas un poème à proprement parlé et n’est pas numéroté, mais c’est une sorte d’intro. Il provoque le lecteur cette créature soumise au spleen, à l’hypocrisie…

avec la technologie qui se développe et remplaçant les supports papier. L'adaptation cinématographique permet de sublimer l'œuvre littéraire en l'illustrant par l'image. C'est son prolongement. Elle peut révéler davantage d'intensité, pour peu que le réalisateur ait du talent. Dans le cas d'œuvres comme « Germinal » de Zola ou « Les misérables » de Hugo, par exemple, la souffrance a un visage, l'œuvre littéraire est anthropomorphe grâce au cinéma et le message en devient ainsi plus saisissant.

courtois, la beauté.- la figure christique : Cyrano renonce à tout bonheur avec Roxane, il va même risquer sa vie pour lui envoyer des lettres. Il a donc un esprit de sacrifice. Cyrano aime Roxanne d’un amour platonique, spirituel et qui relève du sublime contrairement à Christian (amour charnel). Il recherche la perfection dans l'âme (il favorise l'âme au corps surement parce qu’il est moche, n’a pas le choix). Attention, il n'y a aucune forme de religion dans la pièce de Cyrano de Bergerac.- Cyrano

« fleurs », « rêve » : idéal - « le mystique aliment » = idéal, dimension spirituelle, religieuse → l’inspiration poétique est une inspiration à l’idéal : mouvement vertical. 2° tercet : Il se structure en deux temps, d’abord l’expression de la souffrance (v.12, 1er hémistiche), on se réfère aux douleurs, puis évocation de la puissance implacable du temps. Ce tercet apporte donc un démenti catégorique à l’espoir de renouveau de la strophe précédente. - « Ô douleur » (2 fois) : répétition donc la

(notamment dans les dépassements physiques de soi-même), de vitesse, de beauté, de solitude et de foules. • N’aimer que les commencements. • Vivre au-dessus de ses moyens. • Préférer le luxe à la richesse, la jouissance au bonheur, la souffrance à la tristesse, la mélancolie à la nostalgie et l’amour fou à tout le reste. • Être toujours prêt à emmener une femme au bout du monde. • Être extrémiste, mais dans tous les sens. « La valeur du monde repose sur les extrêmes, sa solidité

dans la deuxième strophe très ample mais cette fois avec une nuance d'ironie pour présenter l'oiseau posé sur les planches ; - Dans la troisième strophe, une série de trois phrases exclamatives plus courtes, au rythme plus haché pour traduire la souffrance de l'albatros ; - Dans la quatrième strophe, une phrase en deux parties qui explique la dimension symbolique de la comparaison avec l'oiseau, il récapitule l'opposition. Après avoir montré comment Baudelaire écrit son poème pour comparer le

tous ces bruits déments. C'est que c'est tout autre chose. Tenez, avant mes premiers tableaux, j'ai eu l'impression que tout un aspect de la réalité n'avait pas encore été peint : l'aspect hideux. La guerre, c'était une chose horrible, et pourtant sublime. Il me fallait y être à tout prix. Il faut avoir vu l'homme dans cet état déchaîné pour le connaître un peu ».Après la guerre il est extrêmement réputé, mais est persécuté dès 1933 pour "bolchévisme". En 1937, les nazis qualifient ses œuvres de "dégénérées"

pourra jamais oublier cependant que c'est par la lutte qu'elle a été conquise (applaudissements), une lutte de tous les jours, une lutte ardente et idéaliste, une lutte dans laquelle nous n'avons ménagé ni nos forces, ni nos privations, ni nos souffrances, ni notre sang. Cette lutte, qui fut de larmes, de feu et de sang, nous en sommes fiers jusqu'au plus profond de nous-mêmes, car ce fut une lutte noble et juste, une lutte indispensable pour mettre fin à l'humiliant esclavage qui nous était imposé

« j'étouffais en criant ceci ». Véritable purgation des passions. Voir la réaction du prêtre : « les yeux plein de larmes ». la preuve : le second moment de l'extrait correspondant à un calme, une forme de dépassement de soi-même, ou encore l'accès du sublime : « j'ai retrouvé le calme », « épuisé », « merveilleuse paix », « pour la première fois depuis longtemps », etc... C. Vers la nécessaire acceptation de soi - Première partie, montre déjà cette affirmation de soi dans la violence : « moi, j'avais