Subjectivité Constituante

C’est la piste que l’oeuvre dépasse le conscient et le rationnelle en cela elle devient objective. Il ne s’agit pas de concret quelque chose de concret, il s’agit d’une tension impalpable.L’interprétation philosophique est le médiateur entre la subjectivité du créateur et le spectateur. Nous pouvons conclure que l’art est un miroir entre la philosophie et l’interprétation de l’oeuvre. On ne peut pas atteindre le contenu de vérité d’une oeuvre car elle est de nature énigmatique qui ne peut pas être

l' écriture gaulienne est subjective en ce qu'elle révèle une stratégie politique. Nous verrons dans un premier temps qu'une dimension historique est présente, puis dans un deuxième temps que, malgré cela, cette dimension est remise en cause par la subjectivité de l'écriture de l'auteur, et enfin, dans un troisième temps, que plus qu'une oeuvre historique, c'est un ouvrage à enjeu politique. Certes, De Gaulle s'attribue une fonction d'historien, la dimension historique étant très présente dans le

sociale plus avantageuse et plus équilibrée. À la lumière de ce qui précède, on peut prétendre avec certitude l’existence de deux principes universels et objectifs de justice qui confirme que la justice, au contraire du bonheur, ne relève pas de la subjectivité. D’ailleurs, John Rawls retient de l’éthique kantienne le principe selon lequel chaque personne humaine possède une valeur et une dignité fondamentale qui commandent un respect absolu. C’est ainsi qu’il dégage un principe de justice général,

silence « Puisses-tu t’étrangler, mauvais sujet !...puisse ta moustache griller poil par poil aux fagots de l’enfer ! », « tous gardaient le silence. ». À la fin de ce chapitre, le lecteur va plutôt être du côté des fellahs notamment grâce à la subjectivité du narrateur dans ses propos. Tout au long de l’affrontement entre Kara Ali et les fellahs, nous pouvons remarquer que le narrateur prend parti, en donnant son point de vue sur les personnages. Le narrateur sait tout sur tout. Tout d’abord,

seul corps humain, ayant sa vision du monde. Nous rejoignons donc ici la définition d'Alain concernant la philosophie ; une "connaissance universelle" (développement dans la première partie) permettant de dépasser la barrière du langage, de la subjectivité. Les passions quant à elles, sont le vecteur de ces connaissances invérifiables. Elles sont l'élément déclencheur, le langage les assiste dans leur développement. C'est ainsi que Alain évoque dans son texte que les passions sont à l'origine même

la connaissance que nous avons de nous peut être elle-même remise en doute. C’est le projet cartésien de refonte des sciences qu’a entreprit Descartes aux cours de sa vie. En suivant le même model nous pouvons apparemment mètre en évidence la subjectivité de la connaissance que nous avons de nous même. La limite de ce doute est le cogito : « Je pense donc je suis ». En prenant en compte ceci nous pouvons donc penser que de cette façon il est possible de ne pas avoir conscience de soi puisque que

C’est son univers intérieur et son intimité que le poète traduit en mots. Si le poète parle pour tous, son art exprime d’abord sa propre personnalité. Comment le poète pourrait-il “parler pour tous” de ce qui relève d’abord du “pour soi” et de la subjectivité ? On peut y voir un exemple frappant dans “Brise marine” de Mallarmé qui ressemble à monologue intérieur La chair est triste, hélas! et j’ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres D’être parmi l’écume inconnue

Il en est de la beauté, comme de l’amour : nous nous mots que nous employons constamment, mais dont le contenu est extrêmement confus. Nous avons toutes sortes d’opinions sur la beauté. Nous parlons d’une belle initiative, d'une belle voiture, d’un beau match de foot, d’un beau tableau, d’une belle femme ou d’un bel arbre, mais pour dire quoi exactement ? Pour qualifier un désir? Une excitation émotionnelle? L'auto-satisfaction d'une action, comme celle du jardinier qui vient de tailler une haie

argument : la verbalisation de nos pensées en assure la réalité et permet d'en prendre conscience comme telles. Pour le montrer, Hegel fait deux distinctions superposées : entre l'intériorité et extériorité et entre subjectivité et objectivité. L'intériorité, associée à la subjectivité, c'est ce que serait une pure pensée sans mot, une activité psychique sans verbalisation, tandis que l'extériorité et l'objectivité sont les mots en ce qu'ils sont d'abord extérieurs à notre esprit (nous les apprenons)

qui participe à l’histoire), externe (narrateur = témoin ou personne qui raconte une histoire qu’il a entendue de quelqu’un d’autre). * Le point de vue reste-t-il le même ou évolue-t-il ? * Objectif ou subjectif ? Relever les marques de subjectivité : pronoms de 1ere personne, modalisateurs (« A mon avis », …), verbes de pensée ou de sensation, … * La chronologie : s’agit-il d’un retour en arrière ou d’une anticipation (projection dans le futur) qui modifie la chronologie de l’histoire