Spectateur Valet

siècle (siècle des Lumières) → nouvel équilibre qui se cherche dans les rapports entre les hommes & les femmes, entre les classes (maîtres / valets). Joué en 1725 chez les Italiens (souligne l'aspect de la comédie). Pièce très brève (1 acte, 11 scènes) et l'une des plus politiques, île particulière car idéale, aspect utopique, rôles traditionnels inversés. Valet en position de force. • Rééducat° naufragés

el06acte1scene2.odt 1 / 7 EL06Acte1scene2 Eléments de contexte Scène d’exposition : il s’agit d’informer le spectateur et de l’intriguer = teaser ! Le discours de Dubois à Dorante est une vraie confidence Cette scène est placée sous le signe du mystère = cf didascalie « entrant avec un air de mystère » L 12 à 24 = les principales informations sont données : Dubois est l’ancien valet de Dorante, et ils ont ensemble un « projet » = projet mystérieux L 24 « il t’est venu dans l’esprit de

commandeur) et comique avec le rapport maitre-valet caractéristique de cette scène . En effet dans cette scène, DJ et Sganarelle se mettent à table, et il s’instaure un comique de situation, de par, les mimiques des deux personnages. (Problématique) Ainsi, nous verrons dans quelle mesure les rapports maitre-valet sont présentés à travers un comique de scène. (Annonce du plan) Aussi, si au premier chef, nous assistons à une relation complexe entre maitre et valet, nous pouvons aussi mettre en exergue

Tout ce qu'on apprend sur les emplois de figaro donc réponse que fait figaro au compte ! Il a plein de corde a son arc finalement, malgré son statue sociale de valet ! B- Information sur la situation présente : On apprend via la didascalie interne qu'on est a Séville . (l13) Les costumes : on apprend que le conte est déguise. Le spectateur en sais plus que figaro a se moment là (pris a la scéne 1), on apprend déjà dans cette réplique de le conte aura besoin de lui un peu plus tard ; préparation

de la part du personnage. Il est incapable de jouer le rôle en continu et quand il est acteur il redevient vite spectateur (qui s’applaudit lui-même). On comprend que Marivaux veut montrer aux spectateurs les rouages du théâtre (=fonctionnement), ainsi un spectateur du XVIII découvre les jeux possibles d’un acteur. II) Parodie d’une scène de séduction a) Imitation Les deux valets jouent une scène de galanterie comme leurs maîtres. Cléanthis a été plusieurs fois spectatrice de ces scènes d’où

survivre et non plus pour le plaisir. Suite à ces évènements il se consacre en priorité au Théâtre, qui lui permet d’approfondir l’analyse psychologique et morale du cœur humain à laquelle il s’était attelé. En 1721 il fonde son propre journal : « Le spectateur Français » , qui paraît jusqu’en 1724. Dans ce journal Marivaux publie ses réflexions nées de l’observation de ses contemporains. Il s’inspirera beaucoup de ses articles pour son œuvre de dramaturge. Un dramaturge à succès : En 1720, Marivaux

est de nouveau interdit. Pour nourrir sa troupe Molière écrit en 2 mois une autre pièce : Dom Juan.

- Scène d’exposition -> relation maître-valet, portrait implicite du valet, l’intrigue avec Done Elvire
- Portrait du maître fait par le valet -> C’est le Diable lui-même Problématique : Comment Molière répond-il aux questions que se posent les spectateurs et comment réussit-il à les surprendre tout en les informant? Annonce des axes Explication du texte : I - Portrait d’un séducteur :

Introduction : - Scène d’exposition à relation maître-valet, portrait implicite du valet, l’intrigue avec Done Elvire - Portrait du maître fait par le valet à C’est le Diable lui-même Problématique : Comment Molière répond-il aux questions que se posent les spectateurs et comment réussit-il à les surprendre tout en les informant? Lecture du texte Annonce des axes Explication du texte : I - Portrait d’un séducteur : - pèlerin à péjoratif : va de fête en fête - 5 énumérations

tableau) -Planning de la séquence- (Les parties grisées proposent un questionnement didactique à mettre en oeuvre auprès des élèves)   Vision générale de la séquence : A- Une "leçon" sociale ambiguë: A1 - Le travestissement entre maîtres et valets répond à la volonté de faire coïncider l'identité sociale et ce que dicte l'union des cœurs1 , c'est-à-dire de soumettre l'exigence sociale à l'épreuve de la "nature", sans laquelle rien n'est vrai, ni solide : c'est ici la démarche d'Orgon, véritable

pour seule fonction d’amuser le spectateur et de le détourner ainsi des tracas de la vie quotidienne ? En effet, le sens premier du mot comédie est de distraire à travers le rire, mais ne peut-on pas faire passer un message plus profond ? Les auteurs qui nous font rire ne veulent-ils pas nous éduquer ou nous alerter sur ce qui ne va pas dans notre monde ? Nous verrons dans un premier temps que, certes, la comédie apparaît comme un pur divertissement proposé au spectateur, mais nous nous demanderons