Spectateur Valet

rapports de domination entre Maitres et Valets. Analyse psychologique et sociale réunies. Comédie croisée avec le genre de l’Utopie : ni lieu ni temps défini Fiction d’une société idéale critiquant les travers de la société du XVIIIe siècle, depuis la mort de Louis XIV et le régime de Régence. Permet une remise en cause de l’esclavage pratiqué depuis le XIVe siècle par la Compagnie des Indes* But de l’exposition de la pièce : informer le spectateur sur les personnages, le lieu, le temps

et s'en va. Sganarelle reste avec M. Dimanche, celui-ci lui rappelle qu'il lui doit de l'argent, c'est d’ailleurs grâce à la l'intervention de sganarelle que les spectateurs comprennent la situation. Tout d'abord , la scène se déroulera dans la demeure de Dom Juan, elle débutera dans un très large couloir, afin que les spectateurs comprennent que leur rencontre est une « coïncidence » ceci va permettre de montrer l'étonnement que Don Juan a lorsqu'il aperçoit Mr Dimanche. Ensuite, ces personnages

 : Des valets, Lisette et Arlequin, ont dû se faire passer pour leurs maîtres respectifs, Silvia et Dorante. Les deux maîtres ont en effet sans se connaître eu la même idée : tester le caractère de la personne qu'on leur destinait en mariage en envoyant leurs serviteurs déguisés en maîtres à leur place. Les deux serviteurs se sont donc rencontrés et sont tombés amoureux l'un de l'autre sans se douter qu'ils étaient tous deux domestiques. Situation du passage  : les valets vont ôter

puisqu’il écrira 38 pièces de théâtre, 7 romans et de nombreux essais ou articles de journaux. Dans L’île des esclaves, publiée en 1725, Marivaux met en place une « utopie » : le maître, Iphicrate, est tenu de jouer le rôle du serviteur ; et le valet, lui, est tenu de jouer le rôle du maître. Ce renversement se produit à la faveur de l’arrivée d’Iphicrate et Arlequin sur cette île étrange appelée « Île des esclaves ». Dans la scène 1, précisément, Iphicrate vient de se rendre compte qu’il est

et Alcandre ont préparé leur venue au premier acte. Une seconde scène s’ouvre sur le théâtre, et une autre représentation débute dont Alcandre est le metteur en scène et Pridamant le spectateur privilégié : enfin celui-ci revoit son fils, mais sous la forme d’un « spectre » insaisissable. La situation de Clindor, valet de matamore est connue par le dialogue antérieur, mais aussi parce qu’elle appartient aux genres de la comédie et de la farce (petite pièce comique héritée du Moyen-Âge, construite sur

ce fait ? 4) Vous avez déjà repéré à la scène 4 de l’Acte I l’utilisation de l’aparté. Dans quelles autres scènes ce procédé est-il présent ? À quoi sert-il à chaque fois ? 5) Qu’est-ce qui s’installe alors entre le personnage (fictif) et le spectateur (réel) ? Pourquoi ? Est-ce logiquement possible ? 6) Cherchez la définition de « quiproquo ». Peut-on dire que ce procédé est utilisé dans la pièce ? Où ? Comment ? 7) Quels gestes outranciers pouvez-vous relever dans les didascalies ? Quels

suscitent la terreur et la pitié du spectateur. L’auteur cherche à nous montrer que son œuvre entraine un dénouement tragique de la vie d’Œdipe. Tout d’abord, dans ce texte, on peut ressentir une impression de récit spectacle, c'est-à-dire que Sophocle essaie de donner vie à son texte en racontant avec intensité les actions que décrit Le Valet. En effet, la citation de plusieurs verbes d’action que fait Le Valet en parlant de la Reine Jocaste :

de la pièce dans son ensemble. Problématique : comment s’effectue, sous les yeux des spectateurs, la rébellion d’Arlequin ? I. Une scène d’exposition Conformément à la tradition théâtrale, la scène première est une scène d’exposition, c’est-à-dire qu’elle a pour objectif de présenter aux spectateurs un certain nombre d’éléments nécessaires à la compréhension des événements. 1. Les informations données au spectateur Où : pour le lecteur, ce sont initialement les didascalies qui renseignent l’espace

Correction de l’exercice du 28 septembre : Séance 10 1CDubois est-il un valet de comédie ?Réflexions au brouillon : · Le valet de comédie est un esclave dans l’Antiquité, il fait rire et est important pour manier les ruses et les stratagèmes mais il est parfois maladroit. Plaute Mostellaria ou Le Revenant . · Il prend davantage d’importance avec le Classicisme :

qui fait rire, c'est en effet les personnage bon vivant par excellence de la commedia dell'arte. Le valet est simplement soucieux de ne pas ennuyer les spectateurs et lui-même. L'ennui est symbolisé par le verbe « bailler ». Les rôles sont répartis par Arlequin et Cléanthis. Celle-ci définit son rôle par celui de la coquette, et Arlequin devient son soupirant. 
- Il est fait référence aux spectateurs que sont devenus les maîtres, qui sont muets. Quelques didascalies nous renseignent sur les réactions