Socrate Contre Le Relativisme

assoiffe les âmes, et génère des désirs d’oasis, des envies de paradis où l’eau coule, fraîche, limpide, abondante, où l’air est doux, parfumé, caressant, où la nourriture et les boissons abondent. Les arrière-mondes me paraissent soudain des contre-mondes inventés par des hommes fatigués, épuisés, desséchés par leurs trajets réitérés dans les dunes ou sur les pistes caillouteuses chauffées à blanc. Le monothéisme sort du sable. Dans la nuit de Ouadane, à l’est de Chinguetti où j’étais

l’expérience des objets sensibles extérieurs (au moyen des sens), ou l’expérience intérieure des opérations de notre esprit (au moyen de ce qu’on peut appeler la « réflexion », qui est une sorte de « sens intérieur »). Leibniz, dans ses Nouveaux essais, pose contre Locke la question de savoir « si toutes les vérités dépendent de l’expérience, c’est-à-dire de l’induction et des exemples, ou s’il y en a qui ont encore un autre fondement. » Or, dit-il, « les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances

des objets sensibles extérieurs (au moyen des sens), ou l’expérience intérieure des opérations de notre esprit (au moyen de ce qu’on peut appeler la « réflexion », qui est une sorte de « sens intérieur »). Leibniz, dans ses Nouveaux essais, pose contre Locke la question de savoir « si toutes les vérités dépendent de l’expérience, c’est-à-dire de l’induction et des exemples, ou s’il y en a qui ont encore un autre fondement. » Or, dit-il, « les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances

mon dos, je n’en ai pas conscience immédiatement, mais je la saisis une fois mon dos bien mouillé). Le passage de l’inconscient vers la conscience se ferait donc par gradation. 3/ La découverte de l’hypothèse de l’inconscient : Freud va soutenir contre Descartes, qu’il y a des faits, des actes, des gestes, que l’individu réalise et qui ne sont pas contrôlés par sa conscience ou qui n’ont pas un lien direct avec sa conscience. Pour Freud, il y a en nous des pensées, des désirs cachés qui nous font

scientifique est quasi permanente et la science est le reflet des attentes et des cadres de pensée à une époque donnée par la majorité des scientifiques. Bachelard explique que « le fait scientifique est conquis, construit et constaté ». Conquis contre le savoir immédiat, construit parce que toute connaissance est une réponse à un problème posé, selon les époques nous ne nous posons pas les même problèmes et aussi selon les cultures, enfin tout fait scientifique est constaté, il n’est validé que

la bataille de Salamine en -480. Deuxième fondateur de l’histoire c’est Thucydide. Il est l’auteur de l’histoire des guerres du Péloponnèse. Il retrace dans son livre 20 ans de cette guerre. (Sparte/Athènes) Athènes citée qui incarne la démocratie contre Sparte qui représente l’oligarchie. A partir de cette époque il y a toute une tradition des historiens qui vont faire l’histoire d’un Etat, d’une citée. Ex : les historiens de Rome : Polybe -202 -120 c’est un grec qui se met au service des romains

l’un trouve splendide, l’autre l’exècre. Pire, la même personne peut trouver le même objet tantôt beau, tantôt laid, tantôt indifférent, selon les variations de son humeur et de sa sensibilité. Faut-il donc tomber dans un pur relativisme ? Ne peut-on pas dépasser ce relativisme pour discuter objectivement des qualités et des défauts d’une œuvre d’art ? Kant reconnaît que les goûts sont subjectifs, mais il distingue soigneusement le beau de l’agréable. Est dit beau, selon Kant, un objet qui produit

l’un trouve splendide, l’autre l’exècre. Pire, la même personne peut trouver le même objet tantôt beau, tantôt laid, tantôt indifférent, selon les variations de son humeur et de sa sensibilité. Faut-il donc tomber dans un pur relativisme ? Ne peut-on pas dépasser ce relativisme pour discuter objectivement des qualités et des défauts d’une œuvre d’art ? Kant reconnaît que les goûts sont subjectifs, mais il distingue soigneusement le beau de l’agréable. Est dit beau, selon Kant, un objet qui produit

l’un trouve splendide, l’autre l’exècre. Pire, la même personne peut trouver le même objet tantôt beau, tantôt laid, tantôt indifférent, selon les variations de son humeur et de sa sensibilité. Faut-il donc tomber dans un pur relativisme ? Ne peut-on pas dépasser ce relativisme pour discuter objectivement des qualités et des défauts d’une œuvre d’art ? Kant reconnaît que les goûts sont subjectifs, mais il distingue soigneusement le beau de l’agréable. Est dit beau, selon Kant, un objet qui produit

fondamentalement dans la séduction par les mots. Ils se font des concours d’éloquence (comme le barreau de Paris). Philosophe : il ne gagne pas d’argent. Selon Socrate « je ne sais qu’une seule chose, c’est que je ne sais rien ». Il ne cherche pas à convaincre, à séduire, il est dans la question. Dans toutes les scènes où Socrate est mis en scène toujours contre un sophiste. Il semble en apparence que le sophiste est l’opposé du philosophe. Mais si en soient ils s’opposent, on se recompte que l’un ne peut