Socrate Contre Le Relativisme

sa vérité ». Pourtant Protagoras disait « l’homme est la mesure de toute chose » ; autrement dit ce que je crois être vrai est vrai pour moi .Mais ce relativisme et subjectivisme, conduit à détruire tout sens à la notion de vérité La relativité est relative à chaque sujet .C’est même contradictoire de dire « à chacun sa vérité ».Ce relativisme conduit au scepticisme. Donc ce qui est vrai pour l’un est faux pour l’autre ; donc une même chose peut être dite à la fois vraie et fausse, par conséquent

radicale (un relativisme absolu) justifierait l’expression « à chacun sa vérité ». Le relativisme, largement partagé par la doxa, peut être une position philosophique si elle est argumentée. Il convient donc d’approfondir sa réflexion personnelle sur le sujet à l ‘aide d’outils conceptuels précis (ce qui est le propre de la philosophie) Le scepticisme peut être ainsi interrogé comme point de vue du sens commun mais aussi comme position philosophique (voir le Pyrrhonisme ou le relativisme de Protagoras

Glaucon, interlocuteurs de Socrate dans La République et sans doute plus âgés que lui, Antiphon, ainsi qu'une sœur, Pôtonê, mère de Speusippe, qui succéda à Platon à la tête de l'Académie[. ]La mère de Platon, devenue veuve quelque temps après sa naissance, se remaria avec son oncle maternel, Pyrilampe. Elle en eut un fils, Antiphon, qui est le narrateur du Parménide. En 403 avant Jésus Christ, la démocratie fut rétablie à Athènes par Thrasybule et Anytos (un accusateur de Socrate quatre années plus tard)

donner des bon ou mauvais points Corpus 3 uvres loignes dans les temps et dans la tonalit Gorgias dialogue philosophique rdig par Platon au dbut du IVme sicle avant JC. Grande part didalisme, monde suprieur des ides qui doit servir dtalon. Lobjet de Socrate est de faire rflchir ( discours aportique (sans issue intellectuelle, pas de rponse franche aux questions) Gargantua uvre de fiction, publie en 1535. Texte comique dans sa forme (burlesque). Texte pique (au second degr rcits de batailles, hauts faits)

préférer subir l’injustice que la commettre (pb de la loi injuste) : tel est le choix de Socrate dans le Criton. Cependant : 2. les lois et les coutumes d’un pays donné suffisent-elles à déterminer la justice en soi (pb du relativisme et de l’universel) ? 3 La conformité et l’obéissance aux lois et aux coutumes suffisent-elles (pb du jugement et de la bonté) ? Valeur des lois et des coutumes. Œdipe Antigone et Socrate. a. La justice est d’abord un ordre qui repose sur des conventions. Obéir aux lois

des artistes de son temps. « J’ai examiné, dit-il, les poètes, et je les regarde comme des gens dont le talent en impose à eux-mêmes et aux autres, qui se donnent pour sages, qu’on prend pour tels et qui ne sont rien moins. Des poètes, continue Socrate, j’ai passé aux artistes. Personne n’ignorait plus les arts que moi; personne n’était plus convaincu que les artistes possédaient de fort beaux secrets. Cependant, je me suis aperçu que leur condition n’est pas meilleure que celle des poètes et qu’ils

But : Chercher le principe unique de toute chose (explication + scientifique)   La philosophie nait en Grèce en Ionie (cotes turques) au 6ème S avt J-C. Suite à l’invasion des Perses. Au 5ème S à Athènes. Evénement fondateur : Procès + mort de Socrate en 339 ACN   Présocratiques = Précurseurs de la rationalité (principe de toute chose):   -          Thales : (Ionien début 6e S ACN) Eau= élément par raréfaction et condensation forme tout ce qui existe. -          Pythagore : (fin 6e S, Sud

choses. Protagoras, un des philosophes les plus connus, a écrit : « L’Homme est la mesure de toute chose». Il exprime dans cette phrase la notion du relativisme sophistique. Selon lui, l’Homme est une mesure subjective, c’est-à-dire qu’il ne peut être objectif. Tout est opinion et celle-ci est facilement manipulable. Les sophistes, au temps de Socrate, enseignaient à défendre une opinion, quelle qu’elle soit, juste en sachant manier les mots. Pour eux toute opinion est défendable si on maîtrise l’art

 La scène se déroule en -399 dans la prison d’Athènes où Socrate est enfermé depuis son procès (Voir à ce sujet l’Apologie de Socrate qui en fait le récit). Socrate doit avoir 70 ans approximativement et il vient d’être condamné à mort par les athéniens. Son fidèle ami Criton vient lui annoncer la nouvelle de sa mort prochaine. Criton avait assisté au procès de Socrate, il s’était depuis longtemps attaché à lui, s’était intéressé à la philosophie. C’est encore Criton qui sera présent lors de sa

Plátôn), Athènes, 424–423 av. J.-C., 348–347 av. J.-C.1, est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. Son œuvre, composée presque exclusivement de dialogues, est d'une