Socrate Contre Le Relativisme

L'histoire de la philosophie fut marquée par de grands philosophes qui ont créé des doctrines et des hypothèses sur tout et se sont défendus sur leurs opinions. À l'Antiquité, alors que la philosophie fut née, ce sont des philosophes comme Socrate, Aristote, et Platon qui ont déclenché cette nouvelle science de l'être. Puis, au fil des siècles, de nouveaux philosophes commencent à se révéler et ceux-ci se positionnent différemment, par exemple, Saint-Augustin, Descartes, Kant, Marx, Husserl et les

sauvage n’a selon celle définition rien d’humain. Levi-Strauss : il n’y a pas une mais des cultures, relativisme culturel admet cette variété, mais tt H est un peu ethnocentriste : réflex primitif qui pousse à établir une hiérarchie entre les cultures qui se se vaudraient pas. Arendt : nouvelle forme de société : la société de consommation : loisir de masse au lieu de culture de masse. Roszak : contre-culture = opposition à la culture dominante Nietzsche : la culture est faite pour être appropriée par

C'est au VIe-Ve siècle avant J.-C. qu'apparaissent dans le monde grec ces philosophes, ou penseurs itinérants, que l'on appelle sophistes. Sur un plan philosophique, ils font prévaloir l'idée d'un relativisme universel – tout se vaut, rien n'est vrai, toute idée ou croyance a la même légitimité qu'une autre… Une citation de Protagoras est emblématique à cet égard  : l'homme est la mesure de toute chose. La transposition sur le plan rhétorique de cette idée philosophique va aboutir à l'idée que

la commettre (problème de la loi injuste) : tel est le choix de Socrate dans le Criton. Mais les lois et les coutumes d'un pays donné suffisent-elles à déterminer la justice en soi (problème du relativisme et de l'universel) ? Enfin, La conformité aux lois et coutumes suffisent-elles (problème du jugement et de la bonté) ?Nous étudierons donc tout d'abord la valeur des lois et des coutumes en nous appuyant sur Œdipe, Antigone et Socrate, puis nous nous pencherons sur les Droits de l’Homme et l’Etat

n’est rien d’autre qu’un assemblage d’atomes subtils. Socrate et les sophistes : le débat sur la vérité a) Socrate est à la recherche d’une vérité absolue : unique, universelle et éternelle. Il est nomène, et pour lui la vérité est la même dans le monde entier pour chaque personne. Il est idéaliste. La morale est son centre d’intérêt. Socrate n’a laissé aucun écrit. C’est surtout grâce aux œuvres de son élève, Platon. Socrate harcelait les athénien pour les empêchés de se reposer dans

simplement différentes œuvres d’art mais qui cherche à comprendre des oeuvres d’art. car il ne suffit pas de voir une œuvre pour savoir qu’il s’agit effectivement d’une œuvre. C’est ce que l’esthétique permet de faire. 1.les préjugés classiques contre l’esthétique Nelson GOODMAN « exploration dans le domaine de l’éducation artistique » tiré du livre l’art en théorie et en action , ed. de l’éclat 1996 page 66 a89. Nelson GOODMAN : philosophe et logicien du 20° siècle forme le collège Arthur

fuite de Socrate, et comment le persuader de s’enfuir. Pour Socrate le problème est tout autre : il n’est pas « Comment s’enfuir ? », mais « Faut-il s’enfuir ? », ou plus précisément « Est-il juste de s’enfuir ? ». La réponse à une telle question suppose que l’on définisse l’attitude à suivre par rapport à des principes eux-mêmes définis de manière permanente et nécessaire, valables quelles que soient les circonstances, et non inventés sur le moment, en fonction des intérêts du moment. Socrate pose

raison ? Elle nous permet dans son usage théorique de se méfier des sensations, de l’imagination et de la sensibilité. La raison est l’instrument privilégié de la connaissance. Son discours (en grec logos) s’oppose à l’interprétation. Avoir raison contre les faits signifierait alors donner une interprétation juste de ce qui se passe, s’est passé, voire va se passer. Avoir raison c’est soutenir une opinion Les faits dans l’histoire Une génération d’historiens entre les deux guerres mondiales

d'un grand nombre de notions déposées dans l'esprit par l'expérience, il se forme une conception générale, qui s'applique à tous les cas analogues. Ainsi, avoir cette notion que Callias, atteint de telle maladie, a été soulagé par tel remède, et que Socrate et une foule d'autres personnes qui souffraient du même mal, ont été soulagés de la même manière, c'est là un fait d'expérience et d'observation. Mais concevoir que, pour toutes les personnes qui peuvent être rangées dans une même classe comme ayant

matérialiste  finalité n’existe pas. Ainsi, il a une pensée très moderne : l’univers est illimité et les atomes composent tout. Ces idées sont encore reprises de nos jours par des physiciens et astronomes. Ainsi, Démocrite a la même éthique que Socrate : « Mieux vaut subir l’injustice que la commettre ». Euthymie = ataraxie = le fait de se sentir bien. La physique ne s’appuie que sur les observations alors que la métaphysique s’intéresse également aux raisonnements. Empirique (= a posteriori, donc