Socrate Contre Le Relativisme

condamnations contre l’athéisme arrivent justement à cette époque (432 A.C.) avec le décret de Diopeithès. On accuse d’impiété les physiciens, en expliquant qu’ils veulent percer le secret des dieux en voulant disséquer la nature. La persécution des athées n’est pas une invention de Chrétiens ! On a déjà un conflit entre croyance et sciences. Ainsi Socrate a été accusé d’impiété, de corrompre la jeunesse et d’introduire de nouvelles divinités. Socrate se disait habitait

dedans » --- lire à l’intérieur d’un phénomène, situation, comportement, etc. * Aspiration à la science --- possibilité du relativisme * Qu’est-ce que la justice / loi? --- Discours fondamental, lancée intellectuelle vers le logos * Attachement à la cité --- État varie d’individus en individus *Déplacement --- intérêt envers la nature, problèmes moraux * Ex. Socrate et son attachement à la cité * Épistèmè --- non seulement pour le cosmos mais la cité aussi * Procédé d’induction

aussi un sophiste, enseignant que tout est apparence → Le fondateur de la sophistique, Protagoras d'Abdère, c'est imposé à Athènes vers -450 → Le terme est devenu franchement péjoratif après les critiques de Platon et d'Aristote, synonyme d'un relativisme excessif → Le sophiste est le maître dévoyé qui enseigne qu'il n'y a pas de vérité en soi, qu'il n'y a que des opinions variant avec les individus ou avec les cités, et que l'opinion la meilleur est celle qui assure le meilleur résultat. → La

jugement à une idée, cet attachement à lui seul nous garantissent nullement de la vérité de cette idée. En considérant ainsi qu'un simple sentiment de vérité suffit à déterminer la vértité d'une idée, on risque de tomber dans le plus radical des relativismes. En effet, ce qui sera pour moi un objet de certitude sera vrai, si la même idée est douteuse pour un autre,, elle sera pour lui, sans qu'il soit possible de dépasser sa contradiction, puisqu'on ne pourra remonter par-delà ce sentiment de vérité

ce 2e paragraphe, vous devez aussi nous faire découvrir la conception afin de permettre au lecteur de comprendre le mieux possible pourquoi cette argumentation est reliée à la conception du penseur ou du personnage. 3e PARAGRAPHE : L’0BJECTION CONTRE L’ARGUMENTATION (~150 mots)  Présentez ici une objection intéressante critiquant directement l’argument principal du 2e paragraphe. Les deux principaux motifs pouvant guider l’objection sont les suivants (choisissez de faire X ou Y) : X- un

position égocentrique n’est pas précisément vue. B. Le karma et l’accomplissement des désirs. C. Du silence de la conscience au Nirvana. IV. L’Un-dividualisation créatrice. A. Transition critique : la position sceptique contre l’illusionisme invite à un relativisme créateur plus qu’au laisser aller destructeur des désirs. [...] Il reste alors un acquis du bouddhisme : la vacuité de la conscience, la paix profonde de la conscience indépendante de tous les désirs qui y circulent encore. On

Maïeutique, Allégorie de la caverne, Théorie des Formes, Participation, Réminiscence, Imitation, Philosophe roi | Œuvres principales | Le Banquet, La République, Phédon, Théétète, Le Sophiste | Influencé par | Pythagore, Parménide, Héraclite, Socrate, Mystères égyptiens | A influencé | La majeure partie de la philosophie occidentale ; une partie de la philosophie islamique | Adjectifs dérivés | platonicien, platonicienne; platonique | modifier  | Platon (en grec ancien Πλάτων / Plátôn)

application selon les mœurs, les climats, les traditions et en particulier avec leur rapport dans la religion. Il en résulte de généreuses prises de position contre l’intolérance, le fanatisme et l’injustice. C’est dans cet esprit qu’est rédigé le chapitre de l’esclavage des nègres. Le lecteur s’attend donc à un réquisitoire contre l’esclavage. Il découvre, en réalité, un texte à l’allure de plaidoyer en faveur de l’esclavagisme, sous la forme de 9 paragraphes distincts, développant chacun

reste d'ailleurs que des fragments, sont encore à mi-chemin de la poésie et de la métaphysique, ce qui permet à ces penseurs d'exprimer, sans crainte de représailles, leur vision grandiose de la Nature. En revanche, avec le procès et la mort de Socrate, en 399 av. J.-C., les rapports entre la philosophie, d'une part, et le pouvoir politique et religieux, d'autre part, se sont établis, dès le début, sous le signe d'une concurrence ouverte ou d'une rivalité en profondeur et, en tout cas, d'une tension

suggère ? Mais si nous intervenons dans l’établissement de la vérité, si, en effet nous devons renoncer à l’idée d’une vérité qui se révèlerait à nous sans que nous en soyons les auteurs, comment allons-nous éviter l’écueil du scepticisme et du relativisme ? Si la vérité est affaire de point de vue, comment pourrons- nous éviter de dire avec NIETZSCHE que « tout est interprétation » ? Comment pourra-t-on, par exemple, condamner un propos disant que les camps de concentration ne sont qu’ « un détail