Salarisation Tertiarisation

sociales ont contribué à un déclin des conflits du travail 1. Les mutations du travail et les changements de valeurs… La structure de la population active s’est modifiée. Le mouvement de salarisation de la population active s’est poursuivi depuis la fin des années 1960, avec à la fois une tertiarisation et une hausse des qualifications qui ont amené à la diversification du salariat (doc. 2) : - baisse importante de la part des ouvriers qui, en France en 2002, ne représentent plus que 31 % des

tertiaire. Tertiarisation : Définit par la croissance de la part des services dans la production globale qui va de pair avec la croissance des actifs du secteur tertiaire dans la population active totale. {text:soft-page-break} Qualification : Désigne l'ensemble des compétences, c'est à dire des savoirs et des savoir-faire nécessaires pour exercer un emploi. Féminisation de la pop. active : Augmentation de la part des femmes dans la population active. Salarisation de la pop. active

D'où une augmentation du temps libre. - L'augmentation de la productivité va permettre le déversement du secteur primaire vers le secondaire, puis du secondaire vers le tertiaire pendant les Trente Glorieuses. D'où un phénomène de tertiarisation et de salarisation qui va profondément transformer les structures sociales des pays développés. D'autre part, la transformation des structures productives va aussi engendrer un processus d'urbanisation dans ces sociétés (doc. 2). C ) La hausse du niveau

lien que l’on peut faire entre développement économique et baisse de la fécondité. On assiste au développement de la famille nucléaire, ainsi qu’à la diminution de la taille des familles. * Les mutations économiques : salarisation, urbanisation, tertiarisation. La tertiarisation : le secteur tertiaire se développe à mesure que le niveau de vie augmente. En effet, les lois d’Engel ont établi qu’à mesure de l’augmentation du revenu, la part des dépenses consacrées aux loisirs, à la culture et aux

vie. Changement social : ensemble des changements profonds, massifs et durables des structures économiques, sociales, démographiques et culturelles. Il est le plus souvent la conséquence de la croissance et du développement économiques (ex : salarisation, urbanisation, diversification des formes de famille, émancipation des femmes, démocratisation des rapports sociaux, montée de l’individualisme, de la demande de sécurité, des NMS, …). Valeur ajoutée : richesse réellement créée par les organisation

cumulativement et durablement son produit réel global ». C’est une notion aussi bien quantitative que qualitative, il correspond à une hausse du pouvoir d’achat mais également à des transformations structurelles de l’économie, industrialisation, tertiarisation, salarisation, urbanisation, etc. La croissance permet donc la modernisation d’un pays, par les différents types d’innovations incorporés aux systèmes productifs, par la mise en place de nouvelles technologies de l’information et de la communication

l’individu de s’émanciper des instances de socialisations traditionnelles. En cela, l’individu acquiert une plus grande liberté dans sa prise de décision. A partir des 30 G selon l’expression de Jean Fourastié (45-75) = processus de tertiarisation, féminisation, salarisation. Amélioration des conditions de travail et niveaux de vie. Les individus se retirent dans leur sphère privée et s’occupent principalement de leurs intérêt particuliers. La désyndicalisation : progression de l’individualisme ou déclin

catégorie socioprofessionnelle la plus importante = la mécanisation. * La substitution du capital - La tertiarisation = plus de professions salariées (cadres, professions intermédiaires, employés) * Montée des qualifications = main d’œuvre plus qualifiés * Féminisation = transformation de la population active : + de salariés, - de professions indépendantes = salarisation. * Urbanisation/ Concentration – agriculteurs exploitation * Naissance et déclin de la classe ouvrière

Indépendants et salariés Fiche 8. I et II La part des salariés dans la population active occupée française s’est accrue jusqu’à atteindre plus de 90% de la population active occupée. A l’origine de la montée en puissance de la salarisation de la population active, on trouve : ( la forte diminution des actifs agricoles ( la baisse du nombre des indépendants(petits artisans ou petits commerçants), Les catégories « indépendantes » ont été fortement affectées par les transformations

point de vue quantitatif, l’allongement de la scolarité et le recul de la pauvreté jusqu’en 1970, traduisent une certaine homogénéisation de la population. Facteurs : • Les mutations de l’appareil productif. L’extension du salariat, la tertiarisation, le développement du travail rémunéré des femmes, conduisent à des horaires de travail fixes, à une répartition du temps de travail (5 jours + week-end) stricte. Le clivage urbain/rural s’estompe… • La régulation fordiste et l’intervention