Salarisation Tertiarisation

à la période précédente, alors que les emplois de service ou les emplois de bureau peu qualifiés ont augmenté, accentuant la tertiarisation de la main d’œuvre féminine. 5 C – De 1945 à nos jours 1. 1945-1975 : Prospérité de l’activité des femmes Au cours de ces années, un appel à la main d’œuvre féminine lié aux mutations de l’appareil productif et à la salarisation massive des femmes mariées et mères de famille est observé. Cependant, de nombreux obstacles subsistent comme la pérennité des

existent cependant... - Plus on subdivise les PCS, plus on crée d'inégalités. C'est pour cette raison que l'on est passé de 40 PCS à 7, 8 PCS aujourd'hui. - Les PCS ne prennent pas en compte l'évolution de la société (où placer OQ et ONQ ? ; tertiarisation de l'éco, le secteur tertiaire domine, où placer ces nouveaux métiers ?...). - Dissimule des inégalités (ex : inégalités de revenus, discrimination). - L'homogénéité n'est pas tjrs parfaite (bcp de métiers différents dans les professions intermédiaires

prédécesseurs. Ils en sortent aussi plus tôt. Taux d’activité masculin en 2009 : 62 %. Taux d’activité féminin en 2009 : 51 %. Population active majoritairement masculine, mais féminisation. Travail domestique : globalement une activité féminine. Salarisation du travail féminin : autrefois, elles travaillaient dans le monde agricole mais n’étaient pas comptabilisées. Aujourd’hui, une femme sur deux est dans la catégorie « employés » (infirmière, aide à domicile… dans la prolongation du travail domestique)

1980. Elle est aujourd’hui une figure mineure et menacée des classes moyennes. En même temps que ces professions indépendantes passent au second plan, classes moyennes salariées s’installent progressivement au centre de la société, surtout avec tertiarisation dans années 1960. Sont regroupées sous terme “professions intermédiaires” par nomenclature des CSP de l’INSEE : catégories composées majoritairement de professions salariées (professeurs, infirmiers …). B- Centralité des classes moyennes

mutation Salarié: individu employé par quelqu’un (entreprise, administration, association…). Salaire: rémunération perçue en échange du travail fourni. Couts salarial: (coût du travail) : salaire net + cotisations sociales + charges sociales. Salarisation: augmentation de la proportion de salariés dans la population active. Emploi: caractérisé par rémunération, statut social et participation à production. Convention collectives: Accords, dans une entreprise ou dans une branche, entre représentants

2009 : RSA 1864 : droit de grève reconnu 1895 : premier syndicat ; CGT 1950 : SMIG 1968 : premières section syndicales au sein d'une E • Une salarisation de la population active. → Indépendants (agriculteurs, artisans, chefs d'E) ≠ salariés (CPIS, PI, employés, ouvriers) → Les salariés représentent + de 90% de la POA qui peut s'expliquer par une tertiarisation de l'éco, ↘ des petits commerces et ↗ de la grande industrie + grandes surfaces 2. Une remise en cause de ce phénomène • L'évolution du

qui a favorisé la consommation de masse et l'uniformisation des modes de vie. La mobilité sociale qui a permis aux personnes de classes populaires d'accéder à des positions élevées, ce qui a aboli les frontières de classes. La salarisation et la Tertiarisation des emplois ont rapproché les catégories socioprofessionnelles qui se côtoient et s'imitent. L'homogénéisation des niveaux de vie a pris fin dans les années 80 car le poids des dépenses contraintes (eau, gaz, électricité) a plus

des artisans et commerçants et essor des effectifs de cadre, d’employé et profession intermédiaire. - Féminisation, salarisation (de plus en plus de salarié) et progression du niveau de formation de la population active. Ø Mutation au niveau du système productif Accroissement de taille des entreprises avec les mouvements de concentration industrielle et la tertiarisation de l’économie. Ø Mutation au niveau institutionnel (en réf à l’Etat) L’essor de l’intervention du rôle de l’Etat dans

définitions du développement ? Le développement désigne l’ensemble des transformations économiques, démographiques et sociales qui généralement accompagnent la croissance ; Ces mutations sont structurelles (industrialisation, urbanisation, salarisation, tertiarisation…) et qualitatives (transformations des comportements, amélioration de la santé, allongement de l’espérance de vie, progrès des connaissances…). Elles rendent la croissance irréversible. Le concept de développement intègre l’idée de progrès

institutionnels qui accompagne la croissance. C'est une notion qualitative. - Les changements économiques : industrialisation, développement des marchés, économies d'échelle (diminution du prix unitaire du produit lorsque la production augmente), tertiarisation... - Les changements sociaux : alphabétisation, montée des qualifications, amélioration de la protection sociale, du système de santé, du système d'éducation... - Les changements institutionnels : modification de l'institution familiale, démocratisation