Raison Et Sentiments

L'amour, ce sentiment noble et mystérieux, a depuis toujours fasciné les hommes. Dans beaucoup de civilisations, des plus reculées aux plus récentes, l'amour a fait l'objet d'une réflexion, voire d'un culte. Nombre de poètes, de dramaturges, ont étudié ce sentiment. Les histoires d'amour les plus poignantes, les plus profondes, ont fait rêver de nombreuses jeunes filles de l'arrivée du prince charmant, et ont fait imaginer à de nombreux jeunes hommes les aventures qui les mèneront à leur bien-aimée

parvenir au bonheur par les lumières de la science roman épistolaire --> Mme de Merteuil = 1 libertine -> ↗ scandale : personnage féminin libertinage: liberté de pensée --> ensuite : liberté de comportement (ex: Dom Juan) Les raisons du libertinage: Echapper à la condition féminine de l'époque: l.1: périphrase «ds le temps où» -> référence au XVIIIème siècle l.1-2: hyperbole «silence et inaction» -> soumission des filles + «vouée» appartient au chp lex de la soumission

l'inégalité parmi les hommes, Rousseau expose l'importance de la pitié pour l'homme et l'oppose à la raison. Beaucoup considère que la pitié est un sentiment, voire un défaut, qui caractérise les personnes faibles, sentimentales et fragile et que, pour réussir dans la vie, il ne faut pas se soucier des autres. Rousseau, quant à lui, défend l'idée paradoxale selon laquelle la pitié est un sentiment caractéristique de la nature humaine et qu'elle est bénéfique pour lui, il se demande donc s'il est

religieuse), alors le texte de Rousseau est une stricte émanation des Lumières. En revanche, si l'on cherche à fonder tout l'édifice sur l'usage de la raison, alors le texte de Rousseau introduit une distorsion du projet. Je reviens ici brièvement sur l'opposition Kant / Rousseau que nous avions présentée dans le cours sur vérité et morale. Chez Kant, la raison seule peut nous indiquer, par le "test d'universalisation" imposé par la "Loi morale", ce qu'est l'action morale ou immorale. La Loi morale s'énonce

qui fonde et se fonde sur les droits de l'Homme, et celle enfin qui s'applique aux circonstances particulières d'une action et à la diversité des caractères humains. Recensé : Terence Marshall, À la recherche de l’humanité – Science, poésie ou raison pratique dans la philosophie politique de Jean-Jacques Rousseau, Leo Strauss et James Madison. PUF Léviathan, Janvier 2009, 418 p. 32 €. Stimulé par certaines insuffisances de la conscience et de la science politiques contemporaines, le livre de Terence

Philosophie Peut-on se fier au sentiment de liberté ? Parmi une multitude de sentiments, on trouve le sentiment de liberté. Il nous permet d'être confiant sur notre capacité à agir de par nous-même, de réfléchir, d'avoir un « poids » sur notre vie afin de ne pas être une simple marionnette ballottée par le contrôle du destin. En revanche, sa nature de sentiment nous pousse à nous interroger sur la fiabilité d'un tel ressenti. Il raisonnable de douter d'un sentiment, bien que plus fort qu'une impression

nous faisons (P. Ricoeur). IV) Bonheur et "totalité" : le bonheur comme "totalité de contentement" (P. Ricoeur) exprime l'ouverture du sentiment, qui lui-même est l'expression de l'exigence de totalité animant la raison humaine. a) Le bonheur n'est donné dans aucune expérience ; il est désigné comme conscience de direction : "je suis dirigé vers cela même que la raison exige" (P. Ricoeur). b) La critique schelérienne de tout eudémonisme pratique, qui tend à orienter toute activité volontaire vers le

Au XVIII, Kant propose un fondement à la conscience morale : la raison. Celle-ci permet une morale du devoir, dans laquelle l’obligation, c'est-à-dire la loi qu’on s’impose librement, doit porter vers l’universalité. Dans le texte présenté, Kant traite un aspect de la morale : la bienfaisance, en abordant les questions suivantes : doit-on être bienfaisant envers tout homme ? Quelle place laisser à nos sentiments envers les autres dans notre pratique du devoir ? Cette pratique conduit-elle

Analyse préliminaire du sujet : « A-t-on le droit de s’opposer à la raison ? » Analyse des termes A-t-on le droit: On cherche de quel droit on peut s’opposer à la raison. On ne retient pas tout ce qui s’oppose à la raison mais on examine s’il est juste que l’homme s’oppose à la raison au nom d’autres facultés, d’autres réalités que l’homme jugerait supérieures, meilleures. Hypothèse de réponse : au nom des sensations, des sentiments, des désirs, de la passion, de la liberté, de la foi, de l’imagination

sauvegarder l’honneur de la Princesse. -Texte étudié : excipit avec affrontement raison/sentiments. I- La sensibilité romanesque : -Importance très importante des sentiments Présente par autoanalyse de la Princesse et réactions des perso. *Réactions/sentiments Nemours : -début : septique, doute des décisions de la Princesse -Ligne 18 : effondrement du personnage + supplie la Princesse *Réactions/sentiments Princesse -début : déterminée (futur + négation) -doute (lignes 23 à 28) après