R Anthony 1965

régulation spontanée des marchés conduise à une allocation des ressources paréto-optimale. 1 Deux ouvrages sont considérés comme introductifs en la matière, celui de M. Aglietta, « Régulations et crise du capitalisme », Paris, 1976, Calmann-Levy et celui de R. Boyer, « Théorie de la régulation : une analyse critique », Paris, 1986, La Découverte. Enfin, il faut ne faut pas confondre le concept de régulation avec celui de régularité. En effet, pour simplifier, la notion de régularité, très largement employée

s’est remariée en 1952. Ils ont eu 2 fils : Jean-Pierre (1952), et Lucien(1954). Ce dernier est handicapé moteur suite à des crises d’épilepsie dans la petite enfance. Le deuxième époux était tout d’abord « résinier », puis a travaillé dans les années 1965 dans le pétrole (Cazaux). Il décédera en 1973 d’un infarctus. Madame G a travaillé comme serveuse dans un hôtelrestaurant de Cazaux, et était peu présente auprès de ses enfants. Sa fille s’est toujours occupée de son petit frère handicapé. Les parents

résultats des centres gestion en fonction d'objectifs établis à l'avance » 2(*). Les définitions retenues par quelques auteurs : Plusieurs spécialistes en gestion ont proposé de nombreuses définitions, on cite parmi : R. N. Anthony ; A. Khemakhen ; H. Bouquin Selon Anthony (1965) « le contrôle de gestion est le processus par lequel les managers obtiennent l'assurance que les ressources sont obtenues et utilisées de manière efficace et efficiente pour la réalisation des objectifs de l'organisation

L’organisation scientifique du travail Selon Frederick W. Taylor [cité par John R. Schermerhorn et David S. Chappell (2002)]4, l’objectif principal de la gestion consiste à procurer à l’employeur le maximum de prospérité tout en offrant à l’employé le plus d’avantage possible. Aussi, a-t-il élaboré des techniques scientifiques pour corriger le laisser-aller des salariés en vue d’améliorer leur productivité. 4 John R. Schermerhorn, David S. Chappell, « Principes de management », Village Mondial

remariée en 1952. Ils ont eu 2 fils : Jean-Pierre (1952), et Lucien(1954). Ce dernier est handicapé moteur suite à des crises d’épilepsie dans la petite enfance. Le deuxième époux était tout d’abord « résinier », puis a travaillé dans les années 1965 dans le pétrole (Cazaux). Il décédera en 1973 d’un infarctus. Madame G a travaillé comme serveuse dans un hôtelrestaurant de Cazaux, et était peu présente auprès de ses enfants. Sa fille s’est toujours occupée de son petit frère handicapé. Les parents

Le tableau de bord stratégique synthétise sur un simple tableau des éléments de l’entreprise qui sont en général considérés comme fortement disparates : les clients, la stratégie, les finances, la gestion interne, la recherche et le développement (R&D), etc. Il permet ainsi de combler un manque d’intégration de l'information et donne une vision transversale incomparable de la performance de l'entreprise. Par ailleurs, après les difficultés nées des menaces de privatisation et de la crise ivoirienne

propriétaire. Dans le but de poursuivre des intérêts personnels il va y avoir préservations des ressources rares (on y fait attention), tout cela se fait naturellement → concept de La main invisible d’Adam Smith. L’économie des coûts de transaction : R. COASE : prix nobel d’économie pour avoir démontré que parfois l’entreprise se révèle plus efficace que le marché. Explications : selon lui le marché génère des frottements (= temps passé à trouver un accord sur le prix) et cela génère des coûts de

Ces deux écoles ont donné naissance à deux modèles au sein de la littérature scientifique. Le modèle classique ou traditionnel renvoie, selon plusieurs auteurs (Bouquin, 2005; De Rongé et Cerrada, 2005 ; Langfield-Smith, 1997) aux travaux d'Anthony (1965). Ce dernier souligne que le contrôle de gestion est le processus par lequel les managers s’assurent que les ressources sont obtenues et utilisées de manière efficace et efficiente, dans le but d’atteindre les objectifs de l’entreprise. Néanmoins,

auteurs », 599 pages. * Simon, Herbert, Administrative Behavior, (1947), New York, NY: Macmillan. * Déry, Richard (2010). Les perspectives de management , Montréal , Éditions JDF. * Anthony R. N., Planning and Control Systems, A Framework for Analysis, Division of Research, Boston, Harvard University, 1965, p. 17 Articles : * Stéphanie Chatelain-Ponroy, Samuel Spone, Évoutions et permanence du contrôle de gestion, ÉCONOMIE et MANAGEMENT, n° 123, Avril 200 Sites internet : * http://www2

pour que l'entreprise soit efficace et éclairer la performance en regard de ces variables clés à tous les niveaux de gestion » (Anthony, Dearden & Vancil, 1972). En fait, par le système d'information en place, le contrôle de gestion doit pouvoir rendre compte du suivi et de la maîtrise des FCS. L'acception large du « contrôle » défendue par Bouquin, inspiré par Anthony (1965), profite largement de la notion de FCS. Ce contrôle, entendu comme maîtrise, considère trois niveaux : le contrôle d'exécution