Question Type

III variables aléatoires discrètes. 1. 1°) Un dé cubique D1 comporte 3 faces marquées 1, 2 faces marquées 2, 1 face marquée 3. On lance le dé D1, on note X1 le nombre obtenu, Déterminer la loi de X1 son espérance, sa variance. 2°) Mêmes questions pour X2 le nombre obtenu en lançant un dé D2 comportant 3 faces marquées 4, 2 faces marquées 5, 1 face marquée 6. 3°) On lance D1 et D2 simultanément, Calculer l'espérance de Z = X1+ X2. Vérifier en déterminant la loi de Z. 2. On choisit une

1 ESITH Exemple empirique • L’entreprise ABC inc. s’approvisionne en X-475 chez le fournisseur XYZ inc. La consommation quotidienne moyenne de l’article X-475 est de 50 unités par jour et le délai d’approvisionnement est de 5 jours. • Question: En utilisant un système à révision continue, à quel niveau de stock ABC devrait-elle placer ses commandes ? Mme L.BOUSFIHA OPTIMISATION DE LA GESTION DES STOCKS – ESITH/ 3 Exemple empirique (suite) • En suivant vos recommandations, ABC

chambre et 2 si l’appartement en possède au moins deux) - SDB : nombre de salles de bain (codé 1 si l’appartement possède au plus une salle de bain et 2 si l’appartement en possède au moins deux) Utiliser les sorties SPSS pour répondre aux questions suivantes. Partie I : Statistique descriptive (10 points) 1) Préciser la nature des variables LOC et CHAMB. 2) Quel est le nom du graphique 1 ? A l'aide de ce graphique, donner la proportion d’appartements dont le loyer est compris entre

INTRODUCTION EN SOCIOLOGIE : Comment le sociologue peut-il dépasser son propre point de vue? I) Comment le sociologue peut-il dépasser son propre point de vue? Questions page 200 : a) Qu'est-ce qu'un préjugé? Quelle est la notion utilisée par les sociologues pour exprimer cette idée? b) Que met en évidence cette carte? c) Quelle pourrait être la difficulté pour un sociologue qui souhaiterait étudier la culture d'un de ces pays? d) Quelles solutions pourraient être envisagées pour

Dans « Le type idéal comme instrument de recherche de sociologique », article paru dans la Revue française de sociologie en 2003, Jacques Coenen-Huther commence par rappeler que l'idéal-type de Max Weber fait depuis longtemps partie du vocabulaire courant en sociologie. Nombreux sont les sociologues qui y font référence dans leurs recherches, ou qui l'utilisent sans toutefois le nommer ainsi. Il a beau être couramment utilisé, il reste un concept chargé d'ambiguïté, difficile à définir et qui

carrés. c. Montrer, à partir de cette forme affine, qu’une approximation de la population, exprimée en millions d’habitants, est, en fonction du rang de l’année : d. Faire un tracé représentatif de cette fonction sur le graphique de la première question. e. En utilisant cet ajustement, calculer la population que l’on pouvait prévoir pour 2003 (le résultat sera arrondi au million). 4. Les résultats obtenus en 2001 ont révélé que la population comptait finalement 1 027 millions d’habitants. Déterminer

fum = (cigs > 0) ») et on triera le fichier de manière à séparer les deux groupes : non-fumeurs et fumeurs. 1° On examine tout d’abord brièvement les données par des méthodes d’analyse élémentaires. Calculer les statistiques usuelles : moyenne, écart-type, minimum et maximum, pour chaque variable, d’une part pour la population complète et d’autre part pour chacun des deux groupes : fumeurs et non-fumeurs et commenter brièvement les résultats obtenus. 2° Effectuer un test de Student d’égalité de deux

réalité, une image, une façon de la concevoir afin de pouvoir élaborer des hypothèses et de les comparer à cette réalité. On appelle cela un « idéal-type », c’est une construction théorique obtenue en accentuant les traits caractéristiques d’un phénomène social que l’on observe, en suppriment tout ce qui peut paraître accessoire. Toutefois, un idéal-type ne reflète pas fidèlement le réel mais il en facilite l’analyse. D’autre part, pour Weber, la sociologie n’est pas qu’une science de la compréhension

décimales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tailles des types . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes de type entier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes avec partie décimale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes de type caractère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . c Christian Bac 1985-2004 Constantes associées aux types de base . . . . . . . . . . . .

s’agit alors de répondre aux mêmes questions que dans la première partie de l’exercice en appelant Y la variable aléatoire donnant le gain avec ce dé pipé. Exercice 3 4 points La loi de probabilité d’une variable aléatoire X est définie dans le tableau suivant : xi P(X = xi ) 1 2 3 4 5 1 9 2 9 3 9 2 9 1 9 1. Calculer son espérance E(X), sa variance V (X) et son écart-type σX . 2. Déduire de la question précédente, l’espérance, la variance et l’écart-type des variables aléatoires Y et Z dont