Punir Est Ce Se Venger

narrateur : « il faut », le présent de vérité général et le terme collectif « société » . Les partisans de la peine de mort mettent sur le même plan la vengeance et la punition. Il y a une confusion des rôles de la société. ℓ 457-458 : « Se venger est de l'individu, punir est de dieu » La punition est individuelle alors que la punition est d'essence divine. Le rôle de la société est pédagogique elle doit « corriger pour améliorer ». Victor Hugo refuse la confusion du discours adverse, il distingue 3 niveaux :

Présentation PowerPoint Les Atrides L’arbre généalogiqueSupplice de Tantale Un jour Tantale vola du nectar et de l’ambroisie pour en donner au mortels, cette nourriture pourtant réservée aux dieux. Pour le punir les dieux aurait alors placer au dessus de sa tête un énorme rocher instable qui menaçais constamment de tomber.Plus tard pendant un banquet ou les dieux était réunis Tantale tua son propre fils Pélops pour donner sa chaire au dieux. Tous les dieux s’en rendirent compte immédiatement

C’est en cherchant à répondre avec la haine, dans le but de punir, que nous allons seulement réussir à en répandre encore plus. Le résultat ? Encore plus de douleur et de malheur qu’il y en avait initialement. C’est comme ce qu’a dit Sénèque « Il est préférable de guérir l’offense plutôt que de la venger. La vengeance prend beaucoup de temps, elle expose à bien des offenses ». Dans ce sens, la vengeance n’aboutit à rien de positif

Présentation rapide du corpus : nom, titre date. - Poser la question II- Conclusion - récapitulatif des arguments - Pas d’ouverture III- Détails pratiques - « Dans le document 1 ; l’auteur dit que la société ne doit pas se venger. » - Badinter explique que « tout le progrès de la justice [...] loi du talion ». - Un titre se SOULIGNE IV- Organisation d’un paragraphe Début de paragraphe : - « Tout d’abord, Victor Hugo nous dit que : « ceux qui jugent et

Punir même chose Par la punition, on inflige à quelqu'un un châtiment en expiation d’une faute. La punition est donc, comme la vengeance, un mal du point de vue de celui qui la subit. Pour autant, la vengeance suppose une véritable intention de nuire. Celui qui se venge ne le fait pas par sens de la justice, mais parce qu’il éprouve le besoin de voir l’autre souffrir. La punition se présente au contraire bien souvent sous l’aspect d’une loi : loi positive lorsque la punition est sanctionnée par

est une peine suffisante. Nul besoin de le tuer. b. « Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. (…) *La société+ ne doit pas « punir pour se venger » ; elle doit corriger pour améliorer. » (p.32) La peine de mort constitue une vengeance de la société à l’égard de ceux qui enfreignent ses règles, non un moyen d’amender les coupables, puisqu’elle ne corrige pas même le condamné. D’autre part, un homme n’a pas le droit d’en punir un autre ; seul Dieu peut le faire. c. « Nous nions que le

bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, - il faut que la société se venge, que la société punisse. - Ni l'un, ni l'autre. Se venger est de l'individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au- dessus d'elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas « punir pour se venger » ; elle doit corriger pour améliorer. Trans- formez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et nous adhérons.

amène à nous demander : Peut-on se faire justice soi-même ? La vengeance permet-elle de se sentir mieux ? Se faire justice est une action réfléchie, après un certain délai, on choisit de se venger. Celui qui veut se venger veut rétablir la Justice, l’égalité par lui-même. Ainsi, sommes-nous capables de nous venger par nous même ? En avons-nous le droit vis-à-vis de la Justice ? La vengeance n’amène pas toujours à une meilleure situation. Assouvir sa douleur ne permet pas forcément d’être soulagé

d’emprisonnement à vie. - « …faites mieux votre ronde. » ; « Pas de bourreau où le geôlier suffit. » reformulé par : une meilleure surveillance du prisonnier. - « Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. » reformulé par : aucun homme n’a le droit de donner ou de prendre la vie d’un autre homme. - « Elle ne doit pas « punir pour se venger » ; elle doit corriger pour améliorer. » Reformulé par : la société doit évoluer quitter cette attitude « préhistorique » pour trouver une lumière plus juste et

bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, il faut que la société se venge, que la société punisse. - Ni l'un, ni l'autre. Se venger est de l'individu, punir est de Dieu. La société est entre les deux. Le châtiment est au -dessus d'elle, la vengeance au-dessous; rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas «punir pour se venger»; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et nous y adhérons.