Punir Est Ce Se Venger

Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l'un, ni l'autre. Se venger est de l'individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d'elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas "punir pour se venger" ; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et nous y adhérons. Reste

notamment des personnes du partie de droite. Les juges appliquent la peine de mort pour punir les criminels qui ont commis un meurtre. Ainsi à cause de la peine il crée la terreur au sein de la société, ils pensent que la peine capitale va réduire le nombre de crime. L’Etat s’autorise le droit de disposer du citoyen comme il l’entend. Certains politiciens sont contre la peine capitale et le font savoir. Seul Dieu doit punir et a répéter le geste des criminel, donc de tuer, il applique la loi de la nature

Chimène. Analyse de l’œuvre J'ai choisi d’étudier ce passage de la pièce ou Don Diègue essaie de convaincre Rodrigue de le venger et le monologue de ce dernier, soit l'acte 1, les scènes 6 et 7. A/ Le tragique classique On remarque dans ces scènes que l'on entre dans le nœud dramatique de la pièce : Rodrigue, amoureux de Chimène, doit tuer le père de cette dernière pour venger son père. On parle alors de dilemme cornélien ; Rodrigue doit choisir de sauver l'honneur de sa famille ou de sauver son amour

vient de nommer don Diègue gouverneur du prince de Castille. Don Diègue veut cesser de se quereller et évoque le mariage de leurs enfants. Une dispute éclate et don Diègue insulte le comte. Don Diègue est hors de lui, il doit se venger. Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (dilemme cornélien). ACTE II Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi. Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le convaincre de se battre avec lui

Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, - il faut que la société se venge, que la société punisse. - Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas "punir pour se venger" ; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et nous adhérons. Reste la

L’assassin de mon père !)Quels sentiments éprouve Chimène ?Tristesse, colère, elle est perdue, elle ne sait pas quoi faire, décue, brisée…Elle ne sait pas quoi faire entre quoi et quoi ?Entre la tristesse et l’amour, soit venger son père, soit aimer Rodrigue, entre son père et son amour, venger son père ou pardonnerQuel est son nouveau sentiment envers Rodrigue ?De la haine, du dégoût, du désespoirElle hait Rodrigue et en même temps elle l’aime !Donc elle est partagée, elle l’aime mais en même temps elle

« la prison perpétuelle » est suffisante si les moyens sont assez sécurisés (ligne 5 à 8). Il explique dès la ligne 12, que la société ne doit ni venger ni punir car ce n'est pas son rôle. Hugo écrit ligne 13 que la vengeance relève de l'individu et la punition de Dieu. Ainsi, Il cite dans les lignes 17 et 18 que la société « ne doit pas punir pour se venger, elle doit corriger pour améliorer ». Enfin, Victor Hugo dénonce la « Théorie de l'exemple » ; il explique l'inefficacité de celle-ci et de sa

garantir la stabilité ?) ou encore, un enjeu éthique et moral (pourquoi l’Homme se doit de s’en remettre à la loi et à la justice lors d’un conflit, plutôt que de le régler seul en laissant s’emparer la vengeance ? Sait-on se venger ?), et puis un enjeu psychique et psychologique (le châtiment permet-il un vrai apaisement pour les victimes ? Y-a-t-il une limite à la vengeance ?) et un enjeu juridique (quelle différence fait-on

peuvent être mises en place aussi bien pour le condamné, à qui l'incarcération perpétuelle pourrait suffire, que pour le peuple qui assiste à la dévalorisation des valeurs humaines. Il pense également que la société n'est pas en mesure de pouvoir punir, seul Dieu détient ce pouvoir. Il aborde aussi le fait que la société devrait chercher à corriger et améliorer le comportement des personnes condamnées.Repérez dans le texte les connecteurs logiques (= les mots de liaison qui marquent les grandes étapes

déshonore Don Diègue en faisant tomber son épée Don Diègue est hors de lui il se sent humilier, il doit se venger. Don Diègue, dans un monologue est anéanti d'avoir perdue cet affront malgré son age, il regrette de n'avoir pu garder en main son épée qui lui a tant servi. Il demande à son fils Rodrigue de le venger en tuant le comte malgré son amour pour Chimène Le dilemme cornélien apparaît venger son père et perde son amante ou laisser son père déshonoré pour ménager celle qu'il aime. Mais il se