Prolepse

rythme des phrases : rapide, lent….en quoi peut-il montrer l’état d’esprit du narrateur ? 10- Les temps des verbes : présent, passé, futur, impératif …Commentez les emplois. 11- Structure du récit : chronologique ? analepse ?(retour en arrière), prolepse. 12- Structure du texte : s’il y a des paragraphes, est-ce que l’on passe à une autre idée ? 13- Les discours (direct, indirect, indirect libre) : quel intérêt y a-t-il à passer de l’un à l’autre ? 14- La modalisation : y a –t-il un jugement

les hommes sont mortels donc Socrate est mortel. Périphrase verbale : Ils vont jouer Apologie : défendre une thèse . Dénonciation : c’est le contraire de l’apologie : Dire non à la peine de mort. L’analèpse : C’est un retour en arrière Prolèpse : C’est une anticipation Déterminisme : Etre conditionné à agir de telle façon plutôt que telle autre . Tragédie : C’est un genre littéraire dans lequel domine la fatalité (mort) : Antigone Comédie : C’est un genre Littéraire divertissant (rire)

description minutieuse avec des références historiques -Références géographiques -Personnages historiques -lexique guerrier, données chiffrées c) La mise en scène de la Bataille - Description méliorative - Ordre chronologique à l’action (analepse, prolepse) d) Point de vue - Narrateur omniscient, focalisation zéro - Prise de position pour les Français - Admiration pour la cavalerie Française : il grandit les soldats e) Les éléments constitutifs du spectacle - vocabulaire II. Une scène épique

Ordre chronologique  : les actions sont racontées selon l’ordre dans lequel elles se sont produites → le lecteur vit l’action au fur et à mesure qu’elle se produit. 2. Anticipation ou prolepse  : le narrateur raconte la suite du récit avant qu’elle ne se produise ; indice temporel + Conditionnel présent → effet de suspense, changer l’opinion du lecteur, attirer son attention sur des détails significatifs.

physique seulement).  Personnages : déterminer le statut : héros protagoniste-personnages secondaires et définir le schéma actanciel.  Déroulement de l’action, intrigue : dans l’ordre chronologique ou pas+analepses (=retour en arrière)ou prolepses (=anticipations).Il y a aussi les ralentissements(pause avec description et accumulation de détails) Accélérations (ellipses) ou sommaires(=résumé de l’action)

époque sont : Honoré de Balzac, Stendhal, Flaubert, Emile Zola, Guy de Maupassant. Le roman est une oeuvre de fiction (qui se réfère à la boutade 'c'est du roman') en prose et qui met en branle tout un système narratif (schéma narratif, analepses, prolepses, focalisations, point de vue, narrateurs, auteur) C'est un genre littéraire dont les premières traces remontent au VIIIe siècle, mais qui s'est surtout développé au XIXe siècle. Le roman a connu divers courants littéraires et artistiques (romantisme

Le rythme des phrases : rapide, lent….en quoi peut-il montrer l’état d’esprit du narrateur ? Les temps des verbes : présent, passé, futur, impératif …Commentez les emplois. Structure du récit : chronologique ? analepse ?(retour en arrière), prolepse. Structure du texte : s’il y a des paragraphes, est-ce que l’on passe à une autre idée ? Les discours (direct, indirect, indirect libre) : quel intérêt y a-t-il à passer de l’un à l’autre ? La modalisation : y a –t-il un jugement d’exprimé 

et une obsession au service de la scène d'exposition : B : Allégories et personnages créent un monologue qui devient une scène de théâtre. C : Servitudes du passé, de l'amour et de la gloire. Conclusion : Un art du suspens, un art du théâtre (Prolepses)

contraire la conseille. On peut dire que c’est une prolepse. Cette phrase est importante dans l’économie narrative. Une partie des critiques portaient sur la vraisemblance de la scène des aveux. Or cet aveu est vraisemblable par la prolepse de la deuxième partie où le Prince, justement autorise sa femme par avance (sans savoir évidement) à lui faire justement cet aveu invraisemblable selon les codes classiques. C’est le motif narratif, c’est la prolepse qui permet de justifier l’existence même de cet

a volé (l.5-6) -Exclamatives : * Cris d’indignation (Ah ! l.14-22) I- Une douloureuse rêverie a) Le choc des images * Dès le 2nd paragraphe, le personnage se projette dans l’avenir pour évaluer les conséquences d’une dénonciation (prolepse) -> défilement d’une quantité d’images ordonnées sous un mouvement antithétique explicité par la locution prépositive « au lieu de » (l.18). * Méditation visuelle : * Images positives de Montreuil-sur-Mer (paradis) -> gradation spatiale : plan