Prolepse

maîtrise, d'où les « petits frissons » qu'elle éprouve (l.11). Le narrateur nous fait remarquer que le regard de Laurent « semble pénétrer » en Thérèse (l.19). Il s'agit d'une prolepse puisqu'il anticipe les relations sexuelles futures entre Laurent et Thérèse mais cette allusion est faite de manière subtile puisque la prolepse est ici semblable à un double sens. Nous nous sommes donc penchés sur la rencontre entre Thérèse et Laurent et son caractère passionnel. Intéressons-nous maintenant à l'objet

comprendre que telle action a engendré celle-là et, etc. Par contre, le récit contient quelques anachronismes. Il y a une prolepse qui anticipe des évènements : « Je sais pas ce que j’aurais fait sans lui, c’était vraiment urgent, j’aurais fini en tôle, probablement.11» Cela a pour effet de montrer ce qui aurait pu arriver sans l’arrivée de Super dans la vie de Momo. Cette prolepse a une portée de quelques jours puisque peu de temps après avoir volé le chien au chenil, Momo le vend. L’amplitude est

particulier Sur le plan social : le personnage reflète un milieu par ses vêtements, sa profession, son langage, son idéologie  le temps dans le récit : le narrateur peut choisir de rappeler des événements du passé : ANALEPSE ou des événements du futur PROLEPSE. La durée : Une scène : coïncidence entre le temps de l’action et le temps de la narration. Sommaire : quand le temps de la narration est plus rapide que le temps de l’action. Ellipse : quand le narrateur choisit de passer un passage sous silence

description de ce qu’il voit. On remarque que « l’œil » prend la place du narrateur. C’est l’œil qui décrit ce que l’on voit. 3ème partie : De « Encore une montée pour l’œil. » jusqu’à « … et brillent au soleil comme s’ils étaient en verre. » prolepse de la mort de Gottfried qui va mourir sur ces rochers carrés qui « brillent au soleil comme s’ils étaient en verre » 4ème partie : Jusqu’à la fin. Intervention de l’homme et des bêtes dans ce premier chapitre, le fait qu’ils soient cités en même

l'adolescence et Tomboy sur l'enfance, b) et façon de filmer: Céline Sciamma a voulu faire un film très simple sur les enfant avec des façon de filmer simple,un scénario tout a fait classique filmer de manière chronologique aucune analepse ni de prolepse. Les cadrage sont soit simple soit en profondeur mais toujours avec le personnage principale. La réalisatrice a fait le choix de mettre la caméra a la hauteur des enfants.Il n'y a aucune musique par choix de la réalisatrice elle trouver que sa faisait

102-104 , l. 112- 166). Aborder l’enchaînement des péripéties à l’intérieur du conte, et la présence du mer- veilleux. Étudier les procédés habituels de manipulation du récit (ana- lepse, prolepse, ellipse narra- tive). Dresser la liste des en- droits visités par le narra- teur. Insérer une analepse ou une prolepse dans l’ex- trait. S8 L’ explicit. Une histoire sans fin ? ( p. 111-112 , l. 120 à la fin). Comprendre la portée symbo- lique de l’ explicit . Reformuler en deux phrases les recommanda- tions

de la piéce de théâtre - les rideaux cramoisis (rouges vif) B) des signes prémonitoires (prémonition = pressentiment) apparaissent dans le passage: - les rideaux rouges qui sont repris au début de l'oeuvre (livre I chap.V). Il s'agit donc d'une prolepse (anticipation sur la suite), le destin tragique de Julien est ainsi annoncé. De plus plusieurs détails placent l'acte de Julien sous le signe de l'échec: Il est incapable d'écrire, utilisation du verbe accabler associé à des compliments caducs (périmés)

détour de langage).L'astre du jour, pour le Soleil. * prétérition n. f. Figure qui consiste à dire quelque chose en déclarant qu'on se gardera de la dire. Inutile de vous dire que...Je n'ai pas besoin de vous présenter monsieur Untel. * prolepse n. f. Figure de rhétorique consistant à prévoir une objection et à la réfuter par avance. * prosopopée n. f. Figure qui consiste à faire parler un mort, un animal, une chose personnifiée. * solécisme n. m. Faute de syntaxe (c. f. barbarisme)

et par la suite il y a retour au présent du narrateur dans les dix dernières pages Une prolepse Au début de l’histoire Josef (adulte) raconte une scène où il est au centre d’ « enchères » d’enfant et seulement après il va commencer réellement l’histoire. A la page 169, Josef parle de ce dimanche là. En mettant l’événement de la vente d’enfant au début de l’histoire, l’auteur utilise une prolepse et montre grâce à ce concept que la scène est particulièrement douloureuse et frappante pour

et le vendredi de la semaine suivante. Ce dernier, s’étalant sur trois chapitres, est particulièrement mis en valeur. En tant que récit chronologique, le récit ne fait aucun part au passé ou au présent. Les personnages n’ont aucun avenir (aucune prolepse) et évoquent le passé (analepses) uniquement dans leurs paroles (dialogues) les souvenirs d’un passé fragmentaire, presque imaginaire. 2. Roman où la composante sociale est très importante : contraste entre Anne (bourgeoisie) et Chauvin (monde