Prolepse

Introduction : Cet incipit de roman, « in medias res », peut étonner dans la mesure où le personnage présent n’est pas le personnage éponyme. Pour notre lecture méthodique nous choisirons deux axes : l’organisation même de l’incipit et sa valeur de prolepse ainsi que le dévoilement progressif de ce personnage énigmatique car non désigné dès le début. Lecture Plan de l’étude : 1) Caractéristiques et originalité de l’incipit a) Jeu sur les temps : incipit in medias res b) le jeu des pronoms

de l’individualisme à période préromantique. C’EST UN RECIT EN PROSE =répond donc aux analyses stylistiques de la prose ; =>donc étudier : la VITESSE NARRATIVE du récit (sommaire, scène, ellipse) l’ORGANISATION des SEQUENCES avec les prolepses et les analepses la PRESENTATION des PERSONNAGES en portraits jouant sur les topoï les FIGURES employées et les PROCEDES de RHETORIQUE LA TRANSTEXTUALITE (GENETTE : Palimpsestes) =  « tout ce qui met en relation manifeste ou secrète [le tx]

les mêmes traits : Anouilh, en effet, pendant la première partie (v1 à 31) la présente « l’œil noyée sous le fard / tout enfantine et minaudière » (v.11) : bref, naïve. Mais on s’attend cependant à une altération de la fable originelle puisque le prolepse ( figure de rhétorique qui réfute d’avance ce qu’elle annonce ) « Crût qu’il tenait la bonne affaire » la suppose. De plus, durant toute la première partie, la cigale reste muette alors que LF la faisait engager la conversation dans sa fable.

de donner des informations précises et complètes au lecteur. Elle est souvent utilisée par les écrivais réalistes. Le lecteur a ainsi l'impression de parfaitement comprendre la situation On l'identifie grâce aux bouleversements chronologiques (prolepses : anticipation dans l'avenir ; analepse : retour en arrière). On l'identifie aussi grâce à de nombreuses informations sur différents personnages _La focalisation externe C'est lorsque le narrateur raconte les événements de façon neutre et objective

pour évoquer une réalité ( exagération ). Oeuphémisme : attenuer ses mots pour ne pas choquer. Hyperbôle : exagération. Litote : dire peu pour suggérer beaucoup. Appostrophe : on interpelle directement. Analepse : on evoque des faits du passé. Prolepse : evoquation de faits qui auront lieu dans le futur. Anti-phrase : dire l'inverse de ce que l'on pense. Substitution : on remplace un terme par un autre pour obstenir un sens inattendu.

valeur le charisme, le côté séduisant et séducteur (Don Juan) du personnage et souligne son physique avantageux qui plaît aux femmes[1]. Dès le titre, éponyme, l’idée que le héros réussira par les femmes est annoncée (le titre joue le rôle d’une prolepse et tient ses promesses). Dans une certaine mesure, ce titre relève aussi de l’antiphrase : bel ami en effet que cet ami qui ment, manipule et trahit ! Le vrai nom de Bel Ami est Prosper-Georges Duroy, mais il anoblit peu à peu son nom, d’abord en

chemin du retour s’amorce avec la Nékuia. Une descente aux enfers où Ulysse rencontre à la fois son passé et son avenir. La Nékuia est centrale parce qu’elle est évocation du passé en même temps que de l’avenir : Tirésias annonce ce qui sera. Première prolepse, qui en annonce une seconde dans la bouche même de Circé qui évoque les dangers à venir. Si Ulysse a erré jusque là dans l’inconnu, il sait désormais par deux fois ce qui l’attend. Comme si aller à la rencontre de son passé, était une révélation

servante II. Ronsard l'amoureux A) Il est un être supérieur B) Il est moralisateur Extrait du document: Pour persuader Hélène, Ronsard, dans le premier quatrain, cherche à l'impressionner. Il use de ce qu'en termes romanesques on appelle prolepse : il la projette dans une vieillesse morose aux vers 1 et 2, mais il lui fait aussi entrevoir une possibilité de salut aux vers 3 et 4 : sa poésie est capable de transcender le temps. Ainsi, l'antithèse rythme ce quatrain divisé symétriquement

rythme des phrases : rapide, lent….en quoi peut-il montrer l’état d’esprit du narrateur ? 11- Les temps des verbes : présent, passé, futur, impératif …Commentez les emplois. 12- Structure du récit : chronologique ? analepse ? (retour en arrière), prolepse. 13- Le rythme du récit : sommaire, ellipse, scène, pause. 14- Structure du texte : s’il y a des paragraphes, est-ce que l’on passe à une autre idée ? 15- Les discours (direct, indirect, indirect libre) : quel intérêt y a-t-il à passer de l’un

d'insistance : Le parallélisme, l'anaphore et l'énumération. Les figures d'atténuation ou d'éxagération : L'euphémisme, la litote et l'hyperbole. VII.Le rythme dans un récit Récit linéaire : Le récit suit un ordre chronologique. Présence de prolepses (évènements futurs) ou d'analepses (évènements passés). Récit accéléré : Le sommaire (résume un moment de l'histoire) L'ellipse (passe sous silence un passage entier) Récit ralenti : Les pauses (passages descriptifs ou commentaires du narrateur)