Prolepse

1262, 1269, 1270, 1273, 1274, 1275, 1276, 1280, 1283, 1285, 1288 et 1290) - antithèse (vers 1264) - Clindor est obsédé par sa mort. 2 - La description vivante de sa mort - présent de vérité et de description > il assiste à son exécution (prolepse) - Rêve et cauchemar éveillé (vers 1278,1279 et 1281) - Opposition entre la vie et la mort (vers 1262) - Vers 1262, il pense qu’Adraste se venge même après sa mort. - Opposition singulier (Clindor) et pluriel (Afraste + bourreaux + spectateurs)

D’amour mourir me font, belle marquise, vos beaux yeux » (Molière). | anticipation n. f. / RHET | Mouvement de la pensée qui imagine ou vit d'avance un événement.  ou  Figure par laquelle on réfute d’avance une objection possible. Synonyme de prolepse. |   | antiphrase n. f. / RHET | Figure de style qui consiste à employer un mot, une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification. | C’est par antiphrase que les Grecs donnaient aux Furies le nom d’Euménides (« Bienveillantes »)

est le temps durant lequel l’histoire se déroule. L’ordre la narration L’anachronie désigne la rupture volontaire de l'ordre de la narration. Il peut y avoir analepse ou prolepse On peut raconter une histoire dans l’ordre ou on peut perturber cette ordre pour produire certains effets. L’anticipation Dans le cas d’une prolepse le narrateur anticipe le développement du récit en décrivant des faits qui se dérouleront dans le futur de la fiction. Le retour en arrière Dans le cas d’un analepse

informations sur l’histoire familiale et personnelle de Manon qu’il n’a pu découvrir que bien après | « […] son penchant au plaisir qui s’était déjà déclaré, et qui a causé, dans la suite, tous ses malheurs et les miens » (Texte 3, l. 20-21) | Prolepse Effet stylistique/prosodique [m] malheur/moi tandis que penchant/plaisir. | Le narrateur évoque, dès le récit de rencontre, l’avenir malheureux de son amour. | Scène de rencontre du plus grand amour de sa vie. Comment se le représenter ? Comme

(guerre/exploits/mort) : pour accéder gloire immortelle Histoire développée dans l'Iliade + forme de développement : Rétrécissement du sujet : uniquement colère d'Achille Alternance : → Analepses (rappels origines guerre de Troie) → Prolepses (annonce mort d'Achille) Caractéristiques de l'épopée : Récit violent : Iliade = poème guerrier Épithètes homériques : caractéristique de sa nature Scènes clefs : armement du héros + outrage au cadavre Indications généalogiques : lien de sang Grandissement

chronologique ou non ? Quelles perturbations de la chronologie ? | | |[analepses (= flash-back) ou prolepses (anticipation sur la suite du récit] | | |Durée de l’histoire couverte par le récit ? Des ellipses 

749 Énumération 2> Aspiration vers un idéal Retrouver sa jeunesse enfuie. V . 750 Opposition jeunesse / vieillesse ( ANTITHESE)  rêve vain 3> Un amour tragique : Un amour incontrôlable Ironie du sort : v732-734 « dérision » Funeste Prolepse Ainsi Victor Hugo considère Don Ruy Gomez comme un héros romantique . Il en fait un héros grotesque et en même temps il arrive à faire un héros sublime. Don Ruy gomez est donc un héros romantique, jaloux et vieux, a-t-il les mêmes caractéristiques

temps présent. 5) Notion abordées : *Carpe Diem : « Cueille le jour (présent)» * Memento Mori : « Souviens toi que tu mourras » Partie 2 : Analyse du poème 1) La représentation de la femme Début poème : projection dansle futur (=prolepse) représente Hélène en fin de vie. Cadre : intimité domestique : * Soir = symbole fin vie humaine * Chandelle, feu, foyer (v1/2/11) = éclairage scène discret *Univers rétréci ≠ sa vie présente à la cour, très mondaine. Occupations : restreintes

ce qui échappe aux personnages - Interne : point de vue d’un personnage, donc champ limité - Externe : photo, neutralité, comme si il n’y avait que les apparences Ordre : succession des évènements - Linéaire : suivre l’ordre chronologique - Prolepse : anticipation ; futur - Analepse : retour sur des évènements ; passé Vitesse : rythme du récit, produit des effets. - Sommaire : résume (évènements > récit) - Ellipse : coupe un passage, effet d’accélération (évènements – récit) - Pause :

siècle des lumières pour désigner le XVIIIème siècle Inversion : inversion de l’ordre dans lequel apparaissent normalement les éléments syntaxiques, triste était mon âme Antithèse : confrontation de deux thèses opposées : grand et petit Prolepse :mise en relief d’un élément par sa mise hors proposition où il est remplacé par un pronom, ce bouquin, je n’y comprends rien Antiphrase : C’est le fait de dire le contraire de ce que l’on pense : un enfant adorable pour dire un petit monstre