Pitié

étendue, dans un langage relevé d’assaisonnements (ἡδυσμένῳ λόγῳ), dont chaque espèce est utilisée séparément selon les parties de l’œuvre ; cette imitation est exécutée par des personnages agissant et n’utilise pas le récit, et, par le biais de la pitié et de la crainte (δι´ἐλέου καὶ φόβου), elle opère l’épuration des émotions de ce genre (τὴν τῶν τοιούτων παθημάτων κάθαρσιν). J’entends par « langage relevé d’assaisonnements celui qui comporte rythme, mélodie et chant ; et par « espèce utilisée séparément

est présent dans les poèmes « Question sociale » d’Hugo et « Les effarés » de Rimbaud. En effet, Hugo utilise des phrases exclamtives aux vers 1 et 17 et interrogatives vers 8 afin de manifester une vive émotion est donc de provoquer un sentiment de pitié et de compassion chez le lecteur. Ce sentiment est renforcé par la description qui est faite de la jeune fille au vers 10 avec des mots tels que « haillons », « pale », « affreuse »… L’énumération au vers 14 entraine un attendrissement de la part

désir de convaincre : Connecteurs logiques * D’énumération : « et » l 2 * D’opposition : « mais » l 3 et 5 * D’alternance : « ou » l 23 Présence d’exclamations : « Ah ! sous tous les aspects votre conduite avec nous fait horreur ou pitié ! » l 22 23 hyperbole Présence de questions rhétoriques  * « que peut opposer une enfant à tant d’ennemis rassemblés ? » l 7-8 hyperbole * « « est-il un seul état pour les malheureuses filles ? » l 15 Désir de provoquer : Emploi de termes

Philippe laisse Driss aller construire sa vie à lui, avec ce qu’il a pu apprendre à son contact. Ensemble, ils ont créé du neuf. 3. Commentez une de ces citations du film : « - Les gars des Cités n’ont aucune pitié. – C’est exactement ça. C’est ce que je veux : aucune pitié ! » Devant le manque d’expérience de Driss au poste d’auxiliaire de vie auquel il a été engagé par Philippe, nous sommes tous amenés à nous poser cette question : « Pourquoi donc Philippe, cet aristo’ plein de raffinement

consacrer a la religion car en plus de pouvoir rester pure,elle ennuiera Néron qui ne pourra plus l'obliger a devenir son aimé. La ''fin'' de Néron et de Narcisse est déclenché par cet acte de Junie qui est fortement soutenu par le peuple, ils ont pitié d'elle et décident de la guider jusqu'au temple. Narcisse contrairement a Néron ne craint pas le peuple et essaye de la retenir:une hyperbole a été faite « il vole vers Junie »(1749) Racine veut donc dire qu'il court très vite vers elle. , cependant

le font apparaître aux vers 11, 15 et 26. Le fait qu’elle soit déchirée entre deux passions est également visible à travers les nombreuses antithèses qui structurent le monologue de Médée : « innocents »/ « criminels » (V.11-12) ; « audace »/ « pitié » ; « J’adore les projets qui me faisaient horreur » (V.18) ; « amour »/ « colère » (v. 19). Les expressions par lesquelles elle désigne ses enfants reflètent aussi à quel point ses sentiments s’opposent : elle les appelle « des enfants que je ne

que l’orateur veut susciter chez son auditoire, et particulièrement chez les juges, est celle de l’indignation liée à la pitié : l’accusation portée contre Milon est injuste ; c’est au contraire Clodius qui est l’agresseur et Milon la victime. On peut se référer au traité de rhétorique d’Aristote, livre II, chapitre IX « de l’indignation », surtout au textus 93 : « A la pitié, est opposé principalement ce qu’on appelle Avoir de l’indignation ; car sans doute s’affliger du malheur d’autrui, lorsqu’il

essayé d'échapper à leur folie dans la débauche. Puis Thérèse s'était munie d'un couteau, Laurent d'un flacon de poison, chacun méditant de faire mourir l'autre. Ici, en comprenant les intentions l'un de l'autre, les deux époux «se firent pitié et horreur». Cette pitié réciproque se traduit par une «crise suprême» qui n'est pas l'occasion d'un repentir ni d'une rédemption qui les rendraient sympathiques au lecteur. Ils la subissent, comme le montre la construction de la phrase : c'est le mot «crise»

imiter les faits qui suscitent la crainte et la pitié, ( car c’est là le propre de d’une imitation de ce genre), d’abord il est évident qu’on ne doit pas y voir les bons passant du bonheur au malheur ( ce spectacle n’inspire ni crainte ni pitié mais répugnance), ni les méchants passant du malheur au bonheur ( c’est de tous les cas le plus éloigné du tragique car il ne remplit aucune des conditions requises : il n’éveille ni sentiment d’humanité, ni pitié, ni crainte) ni d’autre part l’homme foncièrement

peut par exemple être une morale, un châtiment, quelque chose de mérité donc et qui ne portera pas cette pitié si chère au registre pathétique. C’est le cas dans Dom Juan de Molière. Même si la pièce est ambiguë du début à la fin, on peut voir en la mort de Don Juan la mort mérité d’un homme sans morale, et sans foi. De ce sens-là, c’est une mort juste, amplement méritée, qui ne suscite pas de pitié chez le spectateur mais qui lui apprend plutôt une morale. On peut également y voir du burlesque, tant