Pitié

des animaux. Ils en éprouvèrent une immense pitié à l'égard des animaux et ils recueillaient chez eux les animaux les plus divers rencontrés au cours de leurs promenades. Un jour, le beau-frère de Léopoldine, la fille d'Hugo, sauva un crapaud que des enfants lapidaient : il le leur enleva et le porta dans un champ, se prétendant « le grand samaritain des crapauds » (...) Sommaire: Introduction I) La révélation d'une "sainte énigme" : la pitié est l'unique fondement d'une morale universelle

soumis, nous qui aspirons pourtant plus que tout à l’indéterminisme et à la liberté.    La pitié    La pitié est la seule vertu morale qui fait véritablement sens. C’est dans la charité qui est, aussi bien, amour de l’humanité, que le phénomène moral se manifeste avec le plus de force et de clarté. La pitié est alors définie un sentiment intérieur entièrement spontané.  En réalité, le sentiment de pitié s’explique par l’unité de la volonté au-delà de la multiplicité des individus : la volonté

­ Origine de nos croyances morales  ­ Examiner « la valeur des valeurs »  ­ La morale est d’abord une affaire de pulsions     ∙         ​ B. Mais, n’y a­t­il pas un sens inné de la morale ?  ­ Etat de nature / état civil  ­  Opposition Hobbes / Rousseau  ­ Pitié  ­ Expérience de Milgram           ∙       ​ A. À première vue, la morale vient de notre éducation :    Origines de nos croyances morales :  Idée principale : la généalogie de la morale (Nietzsche)  Nietzsche ­> « ​ Généalogie de la morale​  »  I

Phèdre est une tragédie en V actes, en Alexandrins. Phèdre inspire la crainte et la pitié. Racine n’a pas inventé le sujet c’est une référence mythologique (Phèdre est la sœur d’Ariane et Catrée, et la fille de Minos et Pasiphae= famille des Atrides) Quels sont les éléments qui provoquent (chez le lecteur) la terreur ou la pitié ? Plan : I] La terreur comme un composant attendue dans un dénouement tragique. II] La pitié permettant entre autre de nuancer la culpabilité de Phèdre III] Le catharsis but

Molière dans La Critique de l'École des femmes. Ainsi la tragédie suscite-t-elle, selon Aristote, « la pitié et la crainte », la crainte pour soi-même, la pitié pour autrui. Crainte devant la fureur de Cléopâtre, pitié devant la souffrance de Phèdre. Paradoxalement, ces sentiments sont la source du plaisir né du spectacle tragique. Boileau parlera dans son Art poétique de « douce terreur » et de « pitié charmante ». Le langage et son utilisation poétique dans la tragédie classique contribuent pour beaucoup

personnages Face à des choix difficile (passion/raison), dilemme tragique Epoque reculée ou mythique En alexandrins Composée de 5 actes Règles des 3 unités (unité d’action, de lieu et de temps) Règle de bienséance Suscite la crainte et la pitié Les caractéristiques de la tragédie classique ont été établit après le courant classique en cherchant les points commun entre les oeuvre de la tragédie. Il est possible qu'une de ces œuvres ne réponde pas à tout ces caractéristiques: Exemple: Amphitryon

tout attaché à notre bien être et 2) celui de la pitié qui fait que nous avons une répugnance à voir souffrir un être sensible et tout particulièrement nos semblables.     A partir du principe de la conservation de soi et de la pitié, Rousseau entreprend de montrer que l’on peut en tirer les règles du droit naturel. De la conservation de soi naîtront plus tard lles droits de l’homme (tout homme a le droit de se conserver lui-même), de la pitié, le devoir de respect d’autrui et les droits à l’égard

Appel à la prière des humains, foi dans le pardon divin. Le lecteur se trouve face à un gibet : des morts, des pendus, exhortent les vivants à prier pour eux. Appellent à la pitié et à la miséricorde, à la charité chrétienne (Moyen Âge très chrétien). Adresse directe aux hommes. V3-4 : si vous priez pour nous Dieu aura pitié de vous : leur dit que la prière est l’instrument de leur propre salut. Appel à la compassion : Lexique de l'affectivité, rejet de l'indifférence et de la moquerie. Pathos

c'est le devoir de charité. Doit-on ou non être charitable ? N'y a-t-il pas des effets pervers à cette sollicitude ? Paradoxalement ne faut-il pas mieux s'en abstenir pour notre bien comme pour celui d’ autrui ? (On pressent une critique de la pitié : la pitié est déprimante pour celui qui compatit : il y perd ses forces. Elle est condescendante envers celui qui est désigné ainsi comme pitoyable; de plus, elle est inefficace : elle ne modifie pas activement la misère de l'autre. Voir Alain, Propos

inimaginable. Mais Agrippine ne fait pas pitier car Néron la craignait. C. La pitié. Pitié pour Britannicus et Junie : vers 60. Agrippine a commencé le travaille mais c'est Néron qui le termine : vers 51-54. On sait qu'ils ne pourront pas être heureux. _ Britannicus déshérité par son propre père, Claude, au profit de Néron : vers 63-66. _ Junie : son frère s'est suicidé, ne pouvant pas se marier avec Octavie. La terreur et la pitié son accrues par la présence de : D. La fatalité. Dès le vers 9, Agrippine