Pitié

 Le narrateur plonge le lecteur dans son univers et plus particulièrement dans sa rêverie: réactivation des souvenirs d'homme libre, (l.5 à 18), son cauchemar (l. 36).  Effet d'empathie et de pitié: le lecteur peut facilement s'identifier au condamné. 3- La distance tragique: terreur et pitié  Champ lexical de l'épouvante: "horrible", "sanglante", "hideuse" (*3) etc..  champ lexical de la fatalité: "implacable", "infernale", "fatale pensée". Registre tragique: la mort apparaît comme

les charmes de la comédie «, et enfin, nous expliquerons à quel genre théâtral vont nos préférences. Le héros tragique est un personnage connu qui fait pitié par sa punition exemplaire. La tragédie est la représentation d'une action héroïque ; (la mort d'un roi, la prise du trône...) le héros a pour but d'accentuer sur la terreur et la pitié. Il nous montre pour cela le coté négatif, le malheur et la douleur pour nous effrayer et nous toucher. Ce procédé donne au public une apparence de la vérité

fable doit être composée de telle sorte que, même sans les voir, celui qui entend raconter les faits frémisse et soit pris de pitié. » (Poétique, 1453b). Aussi le récit a à charge, selon le principe de la double énonciation, d'informer le personnage de Thésée du sort réservé à son fils, en même temps que d'informer le spectateur, chez qui il doit susciter terreur et pitié. (Problématique) Dans cette perspective, nous nous demanderons comment le récit de Théramène parvient à toucher le spectateur

profondément cette pièce au moment de la séparation de Titus et de Bérénice c’est-à-dire a l’acte IV scène V en 3 parti : nous allons découvrir la séparation de Titus et de Bérénice ce qui nous enverra à un conflit ainsi qu’une fatalité et enfin la pitié et la terreur engendré par cette douloureuse décision et qui permettra de répondre à cette question. Nous allons parler du choix difficile qu’a du faire Titus. En effet Titus a du faire le choix de faire passer son devoir avant ses sentiments

l’ambiguïté du sentiment celui de la pitié, revient tel un effet de boomerang. Une leçon magistrale nous est ainsi offerte. La notion de pitié est le thème primordial, première liaision de cette jeune fille qui va susciter chez le jeune homme ce sentiment de pitié qui a lui seul dans le roman La Dentellière ne demande qu’à s’expliquer … « Mais il savait aussi qu’elle ne se défendrait pas, qu’elle ne s’insurgerait pas, qu’elle ne paraîtrait pas souffrir. Et la pitié que le jeune homme commençait d’éprouver

cause de la pitié » ► champ lexical de la pitié. Valmont est placé en personnage tragique qu'elle rabaisse »► ironie. Champ lexical de la pitié dans le texte : - « pauvre » l4 - « faible » l8 - « pardonne » 26 - Champ lexical du mépris : - « ma supériorité » l 2 - « ne suffirait pas » l 5 - « vous ne pourriez » l 6 - « voilà tous vos moyens » l 41 Ces deux champs lexicaux se complètent (pitié+ mépris) ► l'ironie ressort grâce à la ponctuation ► sa colère. Elle n'a en fait pas pitié de Valmont

essayé d'échapper à leur folie dans la débauche. Puis Thérèse s'était munie d'un couteau, Laurent d'un flacon de poison, chacun méditant de faire mourir l'autre. Ici, en comprenant les intentions l'un de l'autre, les deux époux «se firent pitié et horreur». Cette pitié réciproque se traduit par une «crise suprême» qui n'est pas l'occasion d'un repentir ni d'une rédemption qui les rendraient sympathiques au lecteur. Ils la subissent, comme le montre la construction de la phrase : c'est le mot «crise»

société qui le rejette • Un homme face à plusieurs - « ils » / « je », « ma » Pluriel / Singulier = solitude du héro face à la pluralité de la société - ennemis de Chatterton ne sont pas clairement définis « on ne parle pas de moi », « personne n’a pitié » = pronoms indéfinis « le nom des ennemis secrets » = expression généralisante ( impression qu’il y en a beaucoup, qu’ils sont partout • La mysanthropie du héro ? « ils l’auraient brisée » « brisée » = haine violente de la société face au héro

On note « pitié » répéter 2 fois et « peur » précisé par « inquiétude ». A spectateur de tragédie de L. A + haut reproche à L de faire théâtre → p100 emploie « jeu » et « rôle » pour désigner malheur de L → L joue un rôle, A spectateur de ce rôle tragique comme L

laquais était l'enveloppe d'un homme !
              Se tournant vers don Salluste.
Mais il est temps encore ! Oh ! Monseigneur, vraiment,
1460 - L'horrible roue encor n'est pas en mouvement !
              Il se jette à ses pieds.
Ayez pitié de moi ! Grâce ! Ayez pitié d'elle !
Vous savez que je suis un serviteur fidèle.
Vous l'avez dit souvent. Voyez ! Je me soumets !
Grâce !
Don Salluste.
              Cet homme-là ne comprendra jamais. Ruy Blas, qui l'a écouté avec égarement et comme ne pouvant