Pitié

et de la mort, de la fatalité et du désespoir | Montrer qu’il n’y a plus d’espoir, faire naître la crainte et la pitié | Tragique | - Futur prophétique- Style solennel- Figures d’insistance- Exclamations et interjections- Champs lexicaux du sacrifice et de la mort, de la fatalité et du désespoir | Montrer qu’il n’y a plus d’espoir, faire naître la crainte et la pitié | Réaliste | - Détails descriptifs- Précisions spatio-temporelles (références réelles)- Dialogue au discours

vers de Médée. L’effet que produit ce parallélisme montre que Médée se questionne, tout comme Hermione qui répète un bon nombre de fois « que ». Ces éléments produisent un effet de pitié envers les deux héroïnes. On remarque également dans les deux extraits que les femmes emploient différents champ-lexicaux. Le premier est celui de la colère utilisé par les deux héroïnes aux travers des mots « ma rage », «par  haine », « déchirer »

son amour pour ses enfants (ou encore entre son amour-propre et son amour maternel). - La première alternative est exprimée aux vers 1333 (« immolons avec joie »), 1340 (« il faut qu’il souffre en père »….) ; la seconde aux vers 1342 (« la pitié la combat »), v 1337 (« mais ils sont innocents ») - L’anaphore de la conjonction de coordination « mais » permet de souligner l’hésitation du personnage, qui balance entre les deux issues possibles. - La délibération s’appuie sur de véritables

Dans le passage que nous allons étudier, Rousseau en premier lieu s'oppose à la thèse Hobesienne surtout concernant l'amour propre et l'amour de soi puis il articule sa thèse en montrant que l'homme naturel est animé d'une vertu universelle : la pitié et enfin il l'illustre à l'aide d'exemples. Dans un premier temps, on comprend dès la première ligne du passage que Rousseau s'ancre dans une critique déjà constituée de la théorie hobbesienne. En effet, Dans le De cive comme dans le Léviathan

le pouvaient. Le tragique, à ne pas confondre avec la tragédie qui est une œuvre et non une notion littéraire, est lié au destin et à la fatalité. Il est souvent associé à la tragédie. Le tragique fait appel à un registre pathétique, suscitant la pitié et la peur du lecteur. Le tragique est une bataille entre les sentiments d’une grande force. Dans le tragique, on retrouve quatre grandes lignes. Le dilemme tragique (ou dilemme cornélien) place le héros ou l’héroïne dans un état de déchirement ou

CM 17èmeCM Littérature du XVIIè Licence 1 - Lettres Séance 1 La tragédie au XVIIè siècle I - Placer les pièces dans leur contexte A) Les dates des quatre pièces Tristan l’hermine, La Marianne 1636 (publié en 1637) Pierre Corneille, Cinna 1642 (publié en 1643) Jean de Rotrou, Le véritable Saint Genest entre 1644 et 1646 (publié en 1647) Jean Racine, Britannicus 1669 (publié en 1670) B) Qu’en est-il de la production tragique au XVIIè ? La tragédie n’est pas très prisé, c’est plutôt

Tartuffe s’est fait surprendre par Damis alors qu’il déclarait sa flamme à Elmire et lui faisait des avances. Damis vient de le dénoncer à son père mais celui-ci ne le croit pas et le dénonce * Axe : Tartuffe joue le coupable pour inspirer la pitié à Orgon * Plan : 1. Champ lexical de la souffrance 2. Conflit entre Orgon et Damis 3. Questions rhétoriques Développement 1. Champ lexical de la souffrance * Douleur, souffrir, supplice, rude, mourir, mortifier *

moyen de communication directe avec leur auditoire. Le théâtre devient spectacle. La tragédie couvre cette période, le tragique inspire nombre d’auteurs. Considéré comme l’un des plus grands dramaturges français, Jean Racine transmet la passion, la pitié, la peur, inspirant l’héroïsme ou l’exaltation au travers de ses pièces. Telle est la véritable définition du tragique. Racine, parmi ses écrits met en scène, Bérénice à partir de 1670. L’action de déroule à Rome. Titus, empereur de Rome, aime une

le deuxième interlocuteur est nommé l’homme mourant. Cette appellation est censée provoquer de la pitié chez le lecteur. Le contraste en « Le Barbare » et « l’Homme mourant » va permettre aux lecteurs de se mettre à la place des personnages et ainsi de comprendre le point de vue de Voltaire. A travers tous les blasphèmes qu’il exprime à l’égard d’un mourant, le barbare va provoquer indignation et pitié chez le lecteur. Le fait que l’homme soit dans ces derniers instants va rendre le lecteur triste

de Mme. Dufour. Ses avances pour aller se balader avec son mari sont repoussées par ce dernier et donc la fait pousser à aller dans les bras des canotiers. Donc le couple de Mr. et Mme. Dufour est très déséquilibré. C’est pour cela que nous avons pitié de Mme. Dufour dans le film et non pas dans la nouvelle. La relation entre Henriette et sa mère est forte qui fait augmenter la complicité dans le film. La discussion entre la mère et sa fille nous montre cela. Henriette essai de résister au canotier