Pitié

(comme le « Bourgeois gentilhomme » de Molière) -Dans la tragédie, ce sont des personnages royaux. Ils sont tiraillés entre le devoir et la passion. Il y a le destin, la fatalité. Le spectateur a pitié des personnages. Au début de la pièce, le personnage se prépare à mourir. Le mélange entre terreur et pitié crée la catharsis (= la purgation des passions). Les thèmes des tragédies sont toujours inspirer de l’Antiquité. -La comédie joue sur le rire. Le spectateur est purgé par le rire. Le théâtre

[Plan] Dans un premier temps, nous verrons que l’abondance de procédés descriptifs permet d’inscrire ce portrait dans le réalisme. Puis nous montrerons que cet aspect réaliste donne une véritable épaisseur humaine au personnage qui suscite dès lors la pitié du lecteur. [Intro Partielle] Dans cet extrait, Balzac dresse le portrait d’un Père Goriot affaibli physiquement et moralement. Le rythme du récit donne un certain réalisme aux évènements, comme si le lecteur assistait à cette chute dans la

→L'appellation « le pauvre » appartient au registre pathétique. Le personnage a des habits déchirés, il inspire la pitié. De plus, il utilise des hyperboles et le superlatif dans ses répliques à propos de sa situation : « retiré tout seul dans ce bois » (l.962-963), « je suis dans la plus grande nécessité du monde » (l.974-975). Il dit qu'il n'a rien, qu'il est seul, afin de susciter la pitié. →Il utilise des interjections (« hélas » l.974, « Ah ! » l.983) qui sont des plaintes, des lamentations. →Il

Médée qu’il a aimé. (l.309) « Et douce, comme tu savais être » (l.311) « Je sais ce que je perds avec toi, Médée. » Mais tout ce qu’elle va obtenir de Jason c’est de la pitié. (l.317) « Je sais le mal que je te fais, sans l’avoir désiré… » Cela en est trop pour elle, il n’y a pas de pitié pour Médée. (l.318) «Ne laisse pas la pitié t’entrer dans l’âme, Jason. Trop est trop. » Médée en très bonne manipulatrice vas tout mettre en œuvre pour faire croire à Jason qu’elle est apaisée et qu’elle

d’esthétique ; en fait justement la mort que le personnage n’aurait jamais imaginé... Une fin pathétique Pourtant Flaubert, justement dans ce passage ne porte sur son héroïne qu’un regard de pitié. L’ironie ici est oubliée et Emma n’a plus rien de ridicule. Tout est fait pour qu’on la prenne en pitié et notamment les actions du personnage qui la révèlent jusqu’au bout. La demande qu’elle fait d’un miroir raconte bien ce qu’elle a été, tournée vers elle-même mais incapable de voir la réalité (

incitation à reprendre un emploi (obligation de formation, suivi, emplois aidés, sanctions) 1er visage : Sans pitié n « The entire West Coast division must go, Make it look like an accident », By Leo Cullum, for The New Yorker. Sans pitié …suite n “Burns, you’ve done a good job downsizing, but we’ve decided to outsource your function”, Markoff for the New Yorker Sans pitié….Again! n “The only way you will be able to function here is if you think of yourself as having already been

La catharsis doit faire éprouver deux émotions au spectateur : la terreur et la pitié. Ces deux émotions doivent permettre au spectateur de se purifier de ses passions (mauvaises). Un spectateur qui assiste à la représentation d'Oedipe (connais-tu l'histoire?) doit éprouver de la terreur et de la pitié face à Oedipe qui a commis un meutre en tuant son père et un inceste en épousant sa mère (sans le savoir) Cela provoque de l'effroi, de la terreur. Sa mère se tue en apprenant que son époux est son

récit s’inscrit dans le registre tragique. En effet, au fil du texte le mal de Vendôme accroit et une fin inéluctable se dresse par une lente chute. Cette chute est composée d’une gradation et de plusieurs propositions juxtaposées qui suscitent la pitié du lecteur. On voit la maladie de Vendôme évoluer et sa mort se rapprocher. Cette longue gradation l.4 à l.12 est introduite par une répétition de si « mais le mal augmenta si promptement et d’une façon si bizarre » ainsi qu’une personnification de

couvert de morts » vers 14. Ce jeu d’opposition se poursuit avec les oxymores « l’heureux sacrifice » v. 5, « le meurtre honoré » v. 19. Ainsi, Clytemnestre oppose le père, qui n’existe plus, au guerrier, qui a pris le dessus et est incapable de pitié. Agamemnon n’est perçu ici que comme un guerrier et un roi qui a soif de pouvoir. Par ailleurs, les nombreuses exclamations et interjections : « Quoi ! » v. 6 , « Un oracle fatal ordonne qu’elle expire ! » v. 17, « combien nos fronts pour elle ont-ils

Thésée, le monstre est bien un être surnaturel envoyé par Neptune pour tuer Hippolyte. La dramatisation du récit permet de rendre le combat spectaculaire aux yeux du spectateur. De fait, il s’agit d’émouvoir le spectateur et de lui inspirer de la pitié pour le sort funeste d’Hippolyte. II. Un tableau pathétique A. « Un tableau » : comment représenter le monstrueux ? Il s’agit ici de faire voir au spectateur une scène par définition invisible, puisqu’un des acteurs en est un monstre, un être irreprésentable