Pitié

jeune femme » (l.15) le montre. En outre, le narrateur au cours d'un sommaire attire l'attention sur la durée du mal qui affecte sa voisine : « pendant 15 ans, elle demeura inerte et fermée ». Il met en évidence sa longue prostration et suscite la pitié des auditeurs et de ses lecteurs. Ensuite, il oriente le lecteur vers une description évaluative des soldats allemands. Pour commencer, le narrateur utilise une énumération d'adjectifs « vrai soudard, violent, bourru » (l.47) pour décrire le soldat

de certains héros de roman, peut s’identifier à un personnage médiocre. . Le héros devient donc capable de susciter des émotions chez le lecteur, comme de la sympathie, de la compassion ou même une profonde pitié tel Charles Bovary dans le roman Madame Bovary. En effet Flaubert, écrivain réaliste de la seconde moitié du XIXe siècle, dresse un portrait impitoyable et quelque peu moqueur d’un des protagonistes les plus importants du récit. Le lecteur y découvre

une victime, telles que: "entré dans le monde" (l.52), "de mains en mains" (l.53) et "par une foule de femmes" (l.53-54). Ensuite, il va aussi jouer avec les sentiments de Mme. de Tourvel en lui écrivant des phrases qui ne peuvent que susciter la pitié chez elle: "C'est en vous voyant que je me suis éclairé" (l.68) ou bien: "je sentais aussi qu'il m'était également impossible de ne pas vous aimer, et d'en aimer une autre que vous" (l.70-72). Valmont espère qu'en lisant cette lettre, Mme. de Tourvel

l'individu veut venger. La vengeance est un sentiment humain, déraisonné qui peut conduire l'individu à faire n'importe quoi. Le délinquant commet une infraction, il faut lui faire payer le juste prix. On peut aussi avoir un sentiment de sympathie ou de pitié envers le brigand. Faut-il condamné celui qui a hébergé un sans-papier. Parfois, on peut avoir de la compassion pour celui qui commet le délit. Quelques fois enfin, l'infraction invite moins à punir qu'à se protéger. On n'a pas envie de réprimer mais

celle-ci sans danger, il faut se dépêcher, s’arrêter de bonne heure, et la briser ensuite. » Dans la quatrième partie, elle nous montre une part de ses sentiments qui sont la colère, le mépris, l’humiliation. Elle nous montre qu’elle n’a aucune pitié envers celles qui ont fait un pas de travers alors qu’elle se permet d’avoir des amants : « Vous verriez comme je méprise les femmes assez dépravées pour avoir un amant ! Il est si commode d’être rigoriste dans ses discours ! » Elle nous démontre qu’elle

travers l’histoire du pêcheur Voltaire construit une mise en abîme de l’histoire tout en marquant des différences ? Dans un registre pathétique l’auteur veut nous faire réfléchir, prendre conscience du malheur d’un homme et nous le faire prendre en pitié, c'est-à-dire nous donner de la compassion envers lui. Voltaire cherche donc à émouvoir le lecteur. Même si Zadig intervient au début de cet extrait, nous pouvons parlés de monologue car il intervient pour raconté ses mésaventures à Zadig, c’est

choisies pour le décor étaient fabuleuses, ce jeu de lumières et toutes ces ampoules qui parcouraient la scène, on aurait pu se croire dans un monde magique, rempli d’étoiles. Vous avez réussi à travers vos personnages à nous faire rire, éprouver de la pitié, beaucoup d’amour et de joie. Vos idées qui se sont rajoutées ont permis de rendre le spectacle encore plus intéressant, la machine qui permettait d’allumer ou d’éteindre les lumières était une idée grandiose et réfléchie. La musique permettait aussi

reviendra seul de la guerre de Troie. Mais avant ce retour auprès des siens, Ulysse doit affronter de nombreuses formes d'inhumanité dont il fait le récit dans les chants V à XIII de l'œuvre. Ainsi, durant son périple, il rencontre les Cicones sans pitié, un Cyclope dominé par une faim presque aveugle, le monstrueux Charybde et Scylla, ou encore des âmes provenant du royaume d'Hadès. Mais ces épreuves ne sont pas vaines, et en plus de participer à la construction de notre héros, elles dessinent les

conduisent parfois au suicide. Pourtant des amitiés indéfectibles vont se nouer, qui aident à vivre. Si nous sommes d'abord frappés d'horreur par ce qu'il y a de monstrueux dans la mutilation de ces hommes, si nous éprouvons aussi compassion et pitié, nous découvrons peu à peu un autre sentiment qui doit être de l'admiration. Car la souffrance révèle les caractères et certains d'entre eux, malgré les périodes d'abattement et de découragement, réagissent avec courage, dignité et même parfois humour

haleine, le sang, ses entrailles, son souffle l’utilisation de ce champ lexical dans l’extrait caractérise et décrit plus la machine personnifier. Enfin l’humanisation est montrée de même par la douleur ressentie l’auteur veut provoquer un sentiment de pitié et de compassion chez le lecteur car il use d’un registre pathétique « pareils a des râles furieux de géante…» . La phrase «… par ou l’âme continuait de sortir… » est comme une annonce du fait qu’elle ne survivra pas a l’accident. Le lecteur voit