Pitié

destin . Elle exprime sa souffrance par une plainte et de son amour impossible avec Pyrhus fondée sur les émotions que suscite le discours chez l'auditoire. Les répliques d'Hermione sont pathétiques car on peut remarquer le champ lexicale de la pitié ; de l'injustice « traite » (l71) « horreur » (l44) « Pourquoi l'assassiner ? Qu'à-t-il fait ? A quel titre ? » (l50) ;« cruel » (l47) ; « lache »(l43),ainsi que de la souffrance « pensée » (l54), « vengeance » (l60), « cruel » (l63), « malheur

A quoi ressemble le monstre d’aujourd’hui ? Depuis des siècles, le monstre occupe une place importante dans les histoires ou la vie quotidienne. Ils suscitent des sentiments confus à savoir de la peur, pitié, de la fascination voir une curiosité proche du désir. Le monstre a été sujet à des modifications, adaptations avec son époque. Auparavant, le monstre était représenté à travers des clichés communs, c’est-à-dire que les monstres de l’époque appartenaient à deux grandes familles : les

nourrissais de pensées élevées d’honneur et de dévouement. »Enfin, cette histoire est surprenante puisque le narrateur nous fait détester le monstre, adoptant le point de vue de Victor, et finalement, lors de ses aveux nous sommes épris de compassion et de pitié -ayant une autre vision de l’histoire. Et c’est ainsi que nous ne voulons plus que le scientifique arrive à ses fins

cérébrale qu'intuitive) 2) Intellect : L'esprit en tant qu'il conçoit ; l'entendement. Faculté de comprendre, de connaître. (Opposé à sensibilité) 3) Sensibilité : Aptitude d'un être à éprouver des sensations. Disposition à être ému de compassion, de pitié, de tendresse. Il y a là un non-sens, une contradiction ! Pour comprendre et reconnaître un sentiment, nous avons besoin de l'intellect. Un sentiment peut exister sans l'intellect, oui mais... Comment l'exprimer, le définir, le revendiquer ? Comment

(1900 - 1999) Enfance (ch 30 p 120 à 122 Edition Folio) C'est alors que la brave femme qui achevait mon déménagement s'est arrêtée devant moi, j'étais assis sur mon lit dans ma nouvelle chambre, elle m'a regardé d'un air de grande pitié et a dit : "quel malheur quand même de ne pas avoir de mère." "Quel malheur !"... le mot frappe, c'est bien le cas de le dire, de plein fouet. Des lanières qui s'enroulent autour de moi, m'enserrent... Alors c'est ça, cette chose terrible, la plus

semblable à sa dévotion envers l’Eglise, pure, sans limite. Il restera fidèle à lui malgré la tournure que prendront les événements. Tiberge réprimande entièrement les multiples frasques de Des de G., mais à force, il se met à avoir une sorte de pitié pour la « faiblesse » de son ami au sujet de Manon. Il le réprouve totalement sur son comportement, mais finalement c’est sa compassion qui l’emporte et il finit toujours par lui pardonner et l’aider. De Des G. est conscient de cela et il n’hésite

qu’elle a vécu une enfance douloureuse à cause de la mort de ses parents et des mauvais traitements subits , mais aussi à cause de l’échec de sa relation avec Théodore c)Les sentiments que l’auteur a voulu éveiller chez le lecteur sont : la pitié , la compassion . d)Pour arriver à cela , l’auteur a utilisé le registre pathétique L5 :  "elle grelotait " L6 : " buvait à plat ventre 2/a)Les indicateurs temporels de répétition sont : Tous les jeudis Chaque

heureuse. Tout d’abord, il lui avoue ses sentiments. Le champ lexical de l’amour est dominant : « amoureux » (V 1587), «  passion » (V 1592), «  mon amour » (V 1599). Il révèle qu’Arnolphe a de véritables sentiments pour Agnès. Il tente de lui faire pitié afin qu’elle est de la compassion pour lui et qu’elle soit touchée : « Vois ce regard mourant » (V 1588). Il lui avoue qu’il serait prêt à faire n’importe quoi pour elle. Il s’interroge tout en parlant à Agnès sur la force de ses sentiments. Il ne

sa déclaration d’amour, elle ne veut pas l’écouter et veut qu’il se taise. Mais la façon dont elle lui répond laisse croire qu’elle a de la compassion pour lui et même plus « vous que j’ai plaint, vous que je voudrais aimer » (vers 536). Hermione a pitié de lui, et laisser espérer à Oreste des sentiments à son égard la rend cruelle. En revanche, il n’accepte pas sa cruauté. Il veut qu’elle se réveille et parle donc de lui à la 3ème personne pour attirer son attention. En fait, Oreste est tellement

l’extrait. En second lieu, l’amour est un thème omniprésent dans ce texte. En parlant de cette caractéristique, l’auteur exprime librement ses émotions. L’amour qu’éprouve Adolphe pour Élléonore est un amour hors du commun. Plutôt sous forme de pitié, il est incapable de se montrer ferme envers elle, de peur de la faire souffrir. Cette peur qui était si présente qu’il inventait des prétextes pour s’évader, « [il] parcourai[t] au hasard tous les lieus où [il s’était] trouvé avec elle; [il] arrosai[t]