Lettre 106 liaison dangereuses
Ce passage se situe dans la troisième partie juste après que le comte de Valmont ait réussi à avoir la clé de la chambre de Cécile et qu’il ait montré son intérêt envers Mme de Tourvel.
Ce passage de quatre pages peut être découpé en quatre parties.
La première se découpe de la ligne 1 à la ligne 8 et se nommera : Flatterie. Mme de Merteuil va flatter les exploits du Vicomte de Valmont.
La deuxième partie implique les lignes 9-16 : Moquerie. La marquise se moquera des malheurs de la présidente
La troisième partie est constituée des lignes 17-70 : Sarcasme. La marquise va être sarcastique envers le comte de Valmont et va aussi se moquer de lui.
La quatrième partie sera formée des lignes 71- 87 : Manipulation. La marquise va nous montrer comment elle s’y prend pour manipuler les gens et comment les gens essaie de la manipuler.
La cinquième partie se découpe des lignes 88-92 : Adieu. Mme de Merteuil fait ses adieux au vicomte.
L’axe de lecture de sera le dénigrement.
Dans la première partie nous pouvons nous aprecevoir que Mme de Merteuil complimente le vicomte «Tandis que déjà fier de vos succès à venir, vous en sollicitiez la récompense, ». « en voyant votre retenue, digne des plus beaux temps de notre chevalerie, » Mais elle le complimente que pour mieux le dénigrer, comme le prouve les quatre derniers mots de ce passage : « Voilà une affaire manquée ! ».
Dans la deuxième partie, la marquise va se moquer ouvertement de lui, riant de lui et de celle qu’il a réussi à séduire. « Que voulez-vous que fasse une pauvre femme qui se rend, et qu’on ne prend pas ? Ma foi, dans ce cas-là, il faut au moins sauver l’honneur. » Elle lui dit clairement que c’est un sot, qu’il dépend d’elle. Qu’il ne vit qu’avec des acquis et ne sait s’adapter a de nouvelles situations. « Aussi, dès que les circonstances ne se prêtent plus à vos formules d’usage, et qu’il vous faut sortir de la route ordinaire, vous