Pitié

de la nuit, retira sa main avec le geste effrayé d'un enfant qui craint d'être mordu par une bête » la notion de peur est encore présente ici. On la retrouve encore lors de son asile, sauvé par Quasimodo, cependant cette peur devient mêlée à de la pitié petit à petit. Alors sa paupière retombée [...] Elle n'osait le regarder» , « elle se tourna vers Quasimodo qui se tenait debout devant elle et qui lui faisait peur », « elle vit à cette lucarne un objet qui l'effraya, la malheureuse figure de Quasimodo

catastrophe de la tragédie, ne soient ni tout à fait bons, ni tout à fait méchants. Il ne veut pas qu'ils soient extrêmement bons, parce que la punition d'un homme de bien exciterait plutôt l'indignation que la pitié du spectateur ; ni qu'ils soient méchants avec excès, parce qu'on n'a point pitié d'un scélérat. Il faut donc qu'ils aient une bonté médiocre, c'est-à-dire une vertu capable de faiblesse, et qu'ils tombent dans le malheur par quelque faute qui les fasse plaindre sans les faire détester.

seuls trente-deux hommes en reviennent vivants 5 Le narrateur se trouve au baraquement du camp de la Lande. Il garde des prisonniers russes. Devant le spectacle de ces prisonniers il éprouve un sentiment de compassion (et le narrateur exclut la pitié) devant les souffrances endurées par eux : « Il est triste de voir leurs mouvements et leur façon de mendier un peu de nourriture » (p. 189), sentiment qui se transforme parfois en colère contre eux lorsqu'ils manifestent trop leur misère : «

de l'automne dialogue fictif entre lui et l'automne a qui il s'adresse directement "je" # "tu". le poète emploie des terme qui d'habitude s'emploie pour des être vivants. ici l'automne est décrit comme quelqu'un de mouvant, l'auteur éprouve de la pitié et de la compassion pour le mourant, agonisant. Deux sentiment différent liée, la compassion et une déclaration d'amour pour cette saison, on n'est vraiment dans l’effigie avec le sentiment de tristesse et d'amours (triste). II- L’évocation du temps

d'agrandissement au baron Hartmann 4 La grande vente des nouveautés d'hiver Première journée de Denise au magasin. 5 La vie secrète des vendeuses. Denise est convoquée par Mouret à propos de son apparence. Mouret éprouve un sentiment de pitié pour Denise. 6 Morte-saison. Vie des vendeurs. Denise est renvoyée par le second de Mouret. Grande irritation de Mouret devant cette décision qu'il entérine cependant. 7 Projet d'agrandissement, rachat du petit commerce de Bourras

beauté. La chevelure représente la séduction de la femme. Ici, elle possède un caractéristique d’immortalité. II) Le visiteur de l’asile 1) Sa compassion envers le fou La lecture du journal intime l’a troublé. Il éprouve un sentiment de pitié envers le fou 2) Le point de vue du visiteur La « fusée » peut représenter un signe de danger, l’« oiseau d’or » peut représenter la beauté de cette chevelure. Une impression de vie peut s’installer lorsque le médecin jette la chevelure à travers

qui vient de s’empoisonner, tantôt l’angoisse et l’incompréhension de son mari. La compassion du lecteur est donc bien sollicitée mais de façon différente. La description de l’agonie et de la mort des héroïnes suscite également l’horreur et la pitié du lecteur. L’abbé Prévost ne s’attarde pas sur la mort de Manon qui est suggérée par des euphémismes tels que « elle se croyait à sa dernière heure » (l.8) ou « Je la perdis » (l.12). Dans le texte de Chateaubriand, la mort d’Atala prend une dimension

Fiche de lecture, Pas de pitié pur les gueux de Laurent Cordonnier. Introduction : Laurent Cordonnier était un professeur à l’université Lille 1, il a écrit ce livre « pas de pitié pour les gueux » en 2000. Laurent Cordonnier est également chercheur au Clersé . Ses travaux portent sur la financiarisation du capitalisme, il est français, ces analyses semblent concorder avec les théories néoclassiques. Dans ce livre Laurent Cordonnier nous expose son opinion du chômage. Son oeuvre est

par les nazis. Est-ce l’inconscience ou la hardiesse qui pousse Mutien, l’aîné, 13 ans, à entraîner Abel, son frère de 8 ans sur le chemin de la guerre en direction de l’Allemagne où les soldats épuisés rentrent chez eux ? Ou un peu des deux ? Si Pitié pour le mal est un roman sur la guerre, c’est aussi un livre sur la fraternité, sur le sens de celle-ci, sur la complicité entre deux frères, alors que se joue la vie d’une poignée de soldats mal en point, blessés physiquement, brisés moralement. Un

les nazis. Est-ce l'inconscience ou la hardiesse qui pousse Mutien, l'aîné, 13 ans, à entraîner Abel, son frère de 8 ans sur le chemin de la guerre en direction de l'Allemagne où les soldats épuisés rentrent chez eux ? Ou un peu des deux ? Si Pitié pour le mal est un roman sur la guerre, c'est aussi un livre sur la fraternité, sur le sens de celle-ci, sur la complicité entre deux frères, alors que se joue la vie d'une poignée de soldats mal en point, blessés physiquement, brisés moralement. Un