Pitié

Analyse littéraire sur la tonalité pathétique de l’œuvre Certains auteurs, au travers de leurs romans tentent parfois de nous faire vivre des émotions telles que la pitié, la sympathie, la souffrance et la tristesse. Ce fût le cas au cours d’un passage du roman un dimanche à la piscine à Kigali. Au cours de cette extrait, nous pouvons explorer la tonalité pathétique que Gilles Courtemanche a tenté d’introduire dans son œuvre. Dans cette analyse littéraire, il sera question de deux thèmes qui peuvent

Par contre, à force de travailler en vain, le père a finalement décidé de mettre un terme à ses efforts, reniant ainsi l’amour inconditionnel qu’un père porte à son fils, un membre de sa propre famille. En somme, bien que certains personnages aient pitié du malheur de Joseph, au final, les valeurs familiales de respect, de loyauté et d’appartenance sont mises de côté au profit de la majorité des membres de la famille. Il n’existe malheureusement aucune preuve d’amour incontestable dans cette famille

jamais manqué. Ce quelque chose, il y en a qui l’appellent « amour ». Moi, je m’abstiens de lui donner un nom. Je sais que vous avez toujours été répugnée par la compassion, que vous auriez frémi d’effroi si quelqu’un vous avait dit: la pauvre, j’ai pitié de vous. Mais je crains que ce soit le seul lien humain qui puisse nous réunir. Vous ne l’accepterez jamais, je le sais très bien. Mais quand je passe, et si on se revoit, sachez que j’aimerais bien vous parler face-à-face (car tout ceci, sachez-le

mais factices de Frédéric et Rosanette, puis nous verrons l’importance de cet évènement politique dramatique qu’est la révolution de 1848. Tout d’abord, nous pouvons constater que Frédéric est pathétique et provoque ainsi chez nous, lecteurs, la pitié pour cet homme délaissé et victime d’une ironie cruelle. En effet, après s’être donner du mal pour faire de ce rendez-vous avec Mme Arnoux, il doit se « contenter » de La Maréchale. Il fait ainsi tout ce qu’il aurait aimé faire avec Mme Arnoux mais

 Phèdre s’inscrit dans la lignée des victimes de la fatalité.  L’absence de responsabilité de Phèdre et met l’accent sur la responsabilité de la fatalité dans son amour coupable. Il a aussi une fonction pathétique, cherchant à attirer la pitié du spectateur sur l’héroïne. L’héroïne tragique est souvent victime de son sort. Phèdre rejette la responsabilité sur d’autres personnages : • Déesse Vénus : Elle déplore dès le « O haine de Venus » au v 32 la fureur de la déesse qui poursuit

donc mon planché tout sali, mon plancher frais lavé! Tu devrais avoir honte!»(p.127) Enfin, elle ira jusqu'à faire sortir sa rancoeur «Je savais que ce passant-là nous apporterait rien que des revers.»(p.127), mais ce ressentiment oscillera vite en pitié lorsqu'«elle déplorait de voir le Survenant en semblable état»(p.127). Cette contradiction entre la colère et l'attendrissement nous démontre bien les sentiments profond de compassion qui sont enfouis dans le coeur de Phonsine. Elle ira jusqu'à le

éléments montres bien l’évolution des sentiments de la Reine pour Ruy Blas dans la scène. Dans un second temps, le cotés pathétique de la scène va être traité. La scène 4 de l’acte V de Ruy Blas le champ lexical de la souffrance et de la pitié est présent. En effet, « pitié » (v.21 et 49), « perdu » (v.7), « rompt » (v.21), « maux » (v.30), « triste » (v.25), « mourant » (v.49) témoigne de la plainte faites par les personnages face à leurs destin et donc du cotés pathétique de la scène. Les interrogations

éprouve de la joie, de la satisfaction. 5. Quelle est la conception de Scheler sur la vraie pitié ? Selon Max Scheler, la vraie pitié ou sympathie est possible lorsque je reconnais, chez autrui, un sentiment que je n’éprouve pas moi-même mais que je suis tout de même capable de comprendre. 6. Partagez-vous ce point de vue ? Justifiez votre réponse. Je pense effectivement que la conception de la pitié par Scheler est exacte car un être humain est alors capable reconnaître et de comprendre un

impossible ( « le froid », page 134). Leur façon de vivre nous serait invivable et en lisant on pourrait même en venir à ce poser la question « Mais comment est ce qu'ils font pour vivre ainsi? », mais cela va aussi nous faire ressentir de la pitié envers eux. Cette pitié ressentie n'est pas seulement sentie à cause de leur vie différente mais aussi à cause de leurs difficultés dues à ce manque. Leur précarité les conduit à des difficultés au niveau de leur vie à leur domicile, comme le fait de devoir

Tout au long du film, les sentiments humains sont variables, on passe d’un sentiment de dégout à un sentiment de pitié Au début du film, le monstre nous inspire un sentiment d’écœurement car la transformation n’est pas immédiate mais progressive ce qui permet aux spectateurs de voir toutes les étapes cette métamorphose. Mais à la fin du film, Seth nous inspire un sentiment de la pitié car il est victime de sa découverte scientifique et est impuissant face à son miroir. Même si, à première vue