Performance Portuaire

création de valeur sur l’ensemble de la chaine logistique. La collaboration accrue avec ses fournisseurs et la mise en place de nouveaux outils sont des opportunités permettant l’augmentation de la réactivité face au marché et par conséquent la performance globale de chaque acteur de la chaine logistique. Pour les entreprises marocaines, la logistique est encore à l’état embryonnaire. Les entraves sont multiples et complexe. Elles sont d’ordre institutionnel, organisationnel, et structurel. Les

permet de considérer simultanément les trois piliers ‘Profit, Planet & People’ tout en respectant les objectifs stratégiques poursuivis par l’entreprise. 1ntégrant le modèle SCOR© et la méthode bilan carbone©, il quantifie  les indicateurs de performance économiques et opérationnels (‘KPIs’),  l’empreinte carbone  et bien d’autres indicateurs sociétaux tels que la congestion des réseaux ou les nuisances sonores. Il livre de cette manière un score global des stratégies logistiques

au développement de ce secteur au départ dans le but d’assurer l’exportation des produits marocains à l’étranger, notamment des phosphates. Par la suite, et en raison de l’accroissement des besoins d’échanges de l’économie locale, le système portuaire marocain est devenu le point de passage de la quasi-totalité du commerce extérieur national. Cinquante ans après son indépendance, le Maroc compte 11 ports maritimes dont la plupart se caractérise par leur spécialisation. Les pouvoirs publics

Présentation générale Chapitre (I) : Le secteur portuaire au Maroc A- L’organisation du secteur portuaire au Maroc B- Historique C- La structure de l’ODEP D- Missions de l’Office D’Exploitation des Ports Chapitre (II) : L’organisation de la Direction D’Exploitation du port de Casablanca A- Casablanca, premier port du Maroc B- Infrastructures et équipements du port de Casablanca C- Les centres de Production Autonomes (CPAs) D- Les intervenants portuaires E- les opérations relatives à l’escale

Présentation générale Chapitre (I) : Le secteur portuaire au Maroc A- L’organisation du secteur portuaire au Maroc B- Historique C- La structure de l’ODEP D- Missions de l’Office D’Exploitation des Ports Chapitre (II) : L’organisation de la Direction D’Exploitation du port de Casablanca A- Casablanca, premier port du Maroc B- Infrastructures et équipements du port de Casablanca C- Les centres de Production Autonomes (CPAs) D- Les intervenants portuaires E- les opérations relatives à l’escale du navire

nationale de réglementation des télécommunications pour les télécommunications ou l’Agence nationale des ports pour les infrastructures portuaires. Exemple réussi de PPP au Maroc : « Le port Tanger Med » Pour faire du Nord du Maroc, un espace propice à l’investissement, le roi Mohammed vi a décidé en 2002 de réaliser « un ensemble structurant, portuaire, commercial et industriel sur les rives du détroit, à l’Est de Tanger». Ce projet vise un marché de proximité de plus de 600 millions

Chapitre (I) : Le secteur portuaire au Maroc L’organisation du secteur portuaire au Maroc A- Historique B- La structure de l’ODEP C- Missions de l’Office D’Exploitation des Ports Chapitre (II) : L’organisation de la Direction D’Exploitation du port de Casablanca A- Casablanca, premier port du Maroc B- Infrastructures et équipements du port de Casablanca C- Les centres de Production Autonomes (CPAs) D- Les intervenants portuaires E- les opérations

faire sans un développement important des ports chinois. En s’appuyant sur l’existence de nombreux ports historiques datant de la Chine impériale et de l’époque des concessions occidentales, les dirigeants communistes ont su hisser les terminaux portuaires aux premiers rangs mondiaux. Néanmoins, les trois ensembles majeurs du Golfe du Bohai, de la Chine centrale et du Delta de la Rivière des Perles doivent désormais poursuivre leur expansion en tenant compte du contexte économique mondial dégradé

production mondiale. La Mégalopole contribue à l'essentiel de cette performance avec 85 % de la production japonaise. Elle concentre les flux des échanges avec l'extérieur. Le Japon occupe une place de premier plan dans l'exportation des produits de haute technologie (électronique, ordinateurs). Les grandes métropoles japonaises sont des capitales industrielles (Tôkyô, Chiba) et développent de vastes zones industrialo-portuaires.   2) Pourquoi peut-on dire que Tokyo est une ville mondiale ou globale

le cœur de ces échanges à travers le port de douala qui est une véritable plate-forme logistique. Le port autonome de Douala est propriétaire du domaine portuaire à savoir 1000 hectares donc 600 en cours d'exploitation et 400 en réserve foncière. Ainsi toute marchandise errante ou sortante dudit port, doit payer une taxe appelée redevance portuaire qui représente 10 % de ses recettes. Dans un environnement de développement du commerce international très concurrentiel, le PAD ressent ainsi le besoin