Performance Des Banques

portefeuille et de ceux de Fama sur la notion d’efficience sur les marchés financiers. L’approche indicielle postule que, dès lors que les marchés financiers sont efficients, une gestion de portefeuille active ne peut assurer systématiquement une performance supérieure à celle du marché dans son ensemble. On peut cependant s’interroger à la fois sur les modalités pratiques selon lesquelles ce mode de gestion d’actifs est mis en œuvre (quelle est la loi de distribution des rendements des actifs sous-jacents

contaminé. Courant 2007, La banque d’investissement HSBC va être la première à annoncer une perte conséquente liée à des créances adossées à des subprimes. Cette annonce va provoquer le début de la méfiance des investisseurs sur les marchés financiers. Cette phase sombre de la crise éclatera aux yeux du grand public en 2008 avec la faillite de Lehman Brothers. Au cours de l’année 2008 la crise est alors devenue systémique lorsque certaines grandes banques mondiales se sont retrouvées en difficulté

conservent néanmoins une influence déterminante sur le cadre dans lequel évoluent ces derniers. Afin de massifier sa couverture tout en réduisant sa dépendance aux subventions, la microfinance a privilégié un modèle économique mettant en avant ses performances financières (HELMS, 1998 ; ROBINSON, 2001). Cependant, cette tendance a soulevé des questionnements concernant la dérive qu’elle peut impliquer quand à la mission initiale de la microfinance (CHRISTEN, 2001 ; LABIE et MEES, 2005 ; DICHTER et HARPER

de Défaut aux Banques des Pays Emergents Christophe J. Godlewski1 LaRGE Institut d’Etudes Politiques Université Robert Schuman 47 avenue de la Forêt Noire 67082 Strasbourg Cedex Juillet 2003 1 tél. + 33 (0)3.88.41.77.37, e-mail : christophe.godlewski@urs.u-strasbg.fr Abstract Cet article se propose d’étudier les facteurs institutionnels favorisant l’excès de risque dans les banques. Dans cet objectif, nous appliquons un modèle logit en deux étapes à un échantillon de banques de pays émergents

l’environnement micro de la banque, constitué d’épargnants et autres emprunteurs « risque spécifique », ou affecter son environnement macro déstabilisant ainsi tout le système financier et entrainant d’autres banques à la dérive. «  Risque systémique » C’est pourquoi, une surveillance spécifique des établissements de crédit a été mise en place afin de contrôler la bonne marche du système financier ; ce contrôle a été accentué après les faillites de deux grandes banques mondiales « dans les

trois pays du Maghreb (Algérie, Maroc et Tunisie) sont classés parmi les pays ayant un revenu faible. Selon le principe de la hiérarchie financière, ils devraient avoir des systèmes financiers moyennement développés. Dominés, essentiellement, par des banques moyennement développées, et autres institutions financières et ayant des marchés financiers nouvellement crées ou émergents. L’objectif de cet article est de vérifier, dans une approche comparative, à quel niveau de développement se situe chacun des

------------------------------------------------- L'ENTREPRISE BANQUE 1. – LE CONTRÔLE DE GESTION ET L’ALM Le contrôle de gestion de l’entreprise bancaire * Le contrôle de gestion est un outil clé permettant aux banques de piloter leur rentabilité et de suivre les performances, à ce titre il mesure la rentabilité par centre de profit, accompagner la procédure budgétaire, éclairer les responsables opérationnels et la Direction Générale sur le suivi des performances afin que les actions correctrices utiles soient

Les concurrents Le Crédit Agricole a 7 concurrents sur le marché Bancaire : Le Crédit Mutuel, le Crédit Lyonnais, la Caisse d’épargne, la BNP Paribas, la Banque Populaire, la Banque Maritime et la Banque Postale. (Les parts de marché en annexe) Sur la zone chalandise il y a deux concurrents présents : Ce sont le Crédit Mutuel et la banque postale qui sont situés aux Moutiers les Mauxfaits, en règle générale le concurrent principal du crédit agricole, c’est le crédit mutuel. Sur le marché de

La structure de gouvernance influence t’elle la performance des entreprises ? 2011-2012 Sommaire Introduction…………………………………………………………………………………………………………………3 I] Le cadre théorique de la gouvernance et son environnement juridique4-10 A] La gouvernance et ses typologies4-7 B] Le cadre législatif de la gouvernance7-10 II] La corrélation gouvernance/performances10-19 A] l’influence des acteurs de la gouvernance10-15 B] Illustration de pratique de « bonne gouvernance » avec le cas BNP15-19

partenaires de l'entreprise ( qui ont des relations avec l'entreprise, des liens avec l'entreprises) -Les salariés -Les actionnaires -Les clients -Les banques -L'Etats -Les acheteurs -Les fournisseurs -Les concurrents -Les dirigeants 2) Parties prenantes internes Parties prenantes externes Les actionnaires et les associés. Les banques Les salariés L'Etat Les acheteurs (clients ) Les fournisseurs Les concurrents Activite 3 : les fonctions de l'entreprise