Parties Prenante Selon Crozier

semblerait s'inscrire de manière plus large grâce à l'utilisation du terme de civilisation. Je dis bien « semblerait », car les définitions des deux termes, selon leurs acceptions philosophiques, psychologiques, sociologiques ou politiques – etc – nous laissent avec un croisement des propositions, civilisation prenant une teinte de culture, et culture prenant une teinte de civilisation. Pour ma part, avant de me lancer dans un débat entre définitions et n'ayant pas assez d'expérience de lectures pour étayer

ensemble pour parvenir à un but commun. Comment distinguer une « organisation » d'autres groupements d'individus? -Deuxième approche : définitions de théoriciens « L'organisation est une réponse aux problèmes de l'action collective » (M. CROZIER) « L'organisation se définit comme une action collective à la poursuite de la réalisation d'une action commune » (H MINTZBERG) « L'organisation est une forme sociale qui, par l'application d'une règle et sous l'autorité des leaders, assure la

progressivement un thème de recherche pour le management. A partir des années 20, Mary Parker Follett[5] l'introduit dans la réflexion managériale. Rapidement après les années 30, avec Elton Mayo[6] par exemple, le management s'inspire de la psychologie avec la prise en compte de l'effet Hawthorne (effet psychologique d'être l'objet d'une attention spéciale). L'analyse du pouvoir auprès de sociologues comme par exemple Max Weber[7] et Michel Crozier, puis de la stratégie de l'entreprise sont enfin devenus

quantifié évolutif. Performance : Atteinte des objectifs (efficacité) tout en optimisant les moyens (efficience). Gestion : Décisions et actions pour piloter l’activité d’une entreprise. Management : Art et techniques de conduire et de diriger. Parties prenantes : Tous les acteurs intéressés plus ou moins directement à la vie des entreprises. Développement durable : Choix présents de développement sans compromettre le développement des générations futures. Responsabilité sociale de l’entreprise : Attention

tissu culturel, les dirigeants ou les protagonistes du changement peuvent expliquer la culture organisationnelle et identifier les enjeux et les nécessités du changement c'est-à-dire envisager les actions de modification à mettre en œuvre. En outre, selon les mêmes auteurs, ce diagnostic en amont du processus du changement, permet d’analyser les forces qui facilitent le changement et celles qui peuvent le bloquer. CHAPITRE 1 : LES VARIABLES EXPLICATIVES DE LA DYNAMIQUE DU CHANGEMENT Trois éléments

Puis la personne rentre dans une E, elle va devenir salariés (ou profession libérale, on travaille quand même dans une organisation. Elle a un revenu donc on a un banquier, elle peut prendre des vacances en ayant recours à une organisation pour y partir (ex : Club Med), si elle est malade on va être soigné par une organisation (si on prend l’hôpital : salariés et malades). Ensuite cette personne va en maison de retraite, qui est aussi une organisation. Enfin lors de notre mort, la famille va faire

SYSTEMIQUE ……………………………………………………………17 A- Von BERTALANFFY…………………………………………………………………...17 B – Jaque MELESE…………………………………………………………………………17 C – Synthèse de MINTZBERG…………………………………………………………...…18 VI - APPROCHE SOCIOLOGIQUE…………………………………………………..…19 A – CROZIER et Fridberg……………………………………………………………………19 B – J.D. REYNAUD………………………………………………………………………….20 C – Herbert SIMON…………………………………………………………………………..20 E – MARCH et CYERT……………………………………………………………………....21 VII – APPROCHES RECENTES…………………………………………………………22 A-

MDE (Management des entreprises) Thèmes 1 –Entreprendre et diriger Chapitre 1 – Entreprendre et gérer Section 1 – La logique entrepreneuriale Définitions : Entreprendre : Selon Schumpeter se sont des agents économiques dont la fonction est d’exécuter de nouvelles combinaisons productives ; il y a : un nouveau produit (un bien nouveau) une nouvelle méthode de production de nouvelles débouchées une nouvelle source de matière première une nouvelle organisation Schumpeter affirme que c’est un

système organisationnel, la gouvernance prend tout sont sens en ce qu’elle tente de garantir un juste équilibre des rapports entre parties prenantes de l’organisation en présences permettant ainsi leur l’expression au service de la création de valeur. Au sein des Etats, des entreprises, mais également des institutions telles que la Sécurité sociale, partie prenante majeure du système de protection sociale en France, la question de la gouvernance est bien présente. Nous nous intéresserons, au

historique de l‟Etat dans la gouvernance des associations sportives se matérialise d‟abord par l‟imposition de statuts types auxquels doivent adhérer tous les clubs souhaitant organiser des compétitions sportives, recevoir des 2 subventions et faire partie d‟une fédération habilitée par l‟Etat. Le droit du sport aborde à de multiples reprises ces problèmes de dépendance du sport associatif, en raison d‟un mélange des genres entre libéralisme économique et interventionnisme politique, qui aboutit à une