Parties Prenante Selon Crozier

1.3 Diriger et décider c) Parties prenantes, contre- pouvoirs et gouvernance Compétences attendues - Apprécier l’influence des parties prenantes sur le processus de décision - Evaluer les enjeux liés aux intérêts des parties prenantes - Analyser le mode de gouvernance de l’entreprise 1) Les parties prenantes : pouvoir et contre –pouvoir a) Définitions Qu’est-ce que le POUVOIR ? Définition (source Le Petit Larousse) Pouvoir n.m (pl. pouvoirs) 1. Capacité,

MANAGEMENT Cas : GDF SUEZ. I) Analyse de la situation de l’entreprise : 1. Identifier les parties prenantes, leurs intérêts et leurs moyens d’action. Selon Freeman, les parties prenantes de l’entreprise sont ceux qui peuvent affecter les objectifs ou êtres affectes par les objectifs organisationnels de l’entreprise. Dans le tableau (voir annexe), on verra les parties prenantes, leurs intérêts et les moyens d’action au sein de GDF SUEZ. II) Identification du problème de management

un local proche de son ancien local cependant elle n’a rien trouvé qui rentrait dans les critères souhaités. La décision de déménager à Dreux a été prise rapidement sans tenir de compte de l’avis de salariés. Pourtant ces derniers sont des parties prenantes internes à l’entreprise. Ils ont donc une action directe sur l’entreprise. Le fait de ne pas les avoir informés a augmenté leurs inquiétudes et favorisé l’opposition au déménagement. 2. Quels éléments de négociation le dirigeant avait-il prévu

MANAGEMENT : Cas GDF SUEZ. I) Analyse de la situation de l’entreprise : 1. Identifier les parties prenantes, leurs intérêts et leurs moyens d’action. Selon Freeman, les partiesprenantes de l’entreprise sont ceux qui peuvent affecter les objectifs ou êtres affectes par les objectifs organisationnels de l’entreprise. Dans le tableau (voir annexe), on verra les partiesprenantes, leurs intérêts et les moyens d’action au sein de GDF SUEZ. II) Identification du problème de management

GDF Suez I Analyse de la situation de l’entreprise 1. Identifier les parties prenantes, leurs intérêts et leurs moyens d’action. Selon Freeman, les parties prenantes de l’entreprise sont ceux qui peuvent affecter les objectifs ou êtres affectes par les objectifs organisationnels de l’entreprise. Les différentes parties prenantes au sein du groupe GDF SUEZ sont : - l’Etat qui jusque-là était l’actionnaire principale et qui va se désengager du groupe GDF en 2004 à cause d’un changement de statut sociale

Selon Freeman, les partiesprenantes de l’entreprise sont ceux qui peuvent affecter les objectifs ou êtres affectes par les objectifs organisationnels de l’entreprise. Dans le tableau (voir annexe), on verra les partiesprenantes, leurs intérêts et les moyens d’action au sein de GDF SUEZ. II) Identification du problème de management : 2. Quel est le problème de gouvernance posé par le projet des dirigeantsde GDF SUEZ ? Comme le souligne Cyert et March une entreprise est « un groupe de

Les parties prenantes et les contre-pouvoirs Intro Les organisations sont des lieux de pouvoir et de lutte pour le pouvoir. Différents acteurs s’y retrouvent avec des attentes différentes. Quels sont ces acteurs, appelés aussi parties prenantes ? Quelles sont leurs attentes ? Qu’est-ce que le contre-pouvoir et quels sont les modes de gouvernance dans l’entreprise ? 1. Les parties prenantes a) Qu’est-ce qu’une partie prenante Il s’agit d’un individu ou d’un groupe d’individus qui peuvent influencés

avec ses principales parties prenantes avant la liquidation judiciaire On distingue ici deux types de parties prenantes : Les parties prenantes internes : les propriétaires, dirigeants, et les salariés. Les parties prenantes externes : les concurrents, les clients, les banques, et l’Etat. Depuis la création de l’entreprise Luigi Mancini entretient une relation avec ses salariés basée sur son autorité. Il est perpétuellement en conflit avec le reste des parties prenantes internes. Le renvoi de

Finalité et objectifs de l’entreprise A- La finalité de l’entreprise selon Peter Drucker Selon Peter Drucker (1909-2005), théoricien américain du management : La finalité d’une entreprise, c'est-à-dire sa mission ou sa raison d’être, est la satisfaction du client. Ce que le client achète à l’entreprise, c’est l’utilité que lui procure le bien ou le service ; C’est donc à l’entreprise qu’il appartient de transformer des ressources en produits pour satisfaire le client. Pour « créer le client », l’entreprise

dirigeant proche de ses salariés avec une autorité justifiée liée à son passé. Dans la ressource 1 nous pouvons voir que selon Likert (psychologue américain du XXème siècle) classifie quatre styles de management : autoritaire exploiteur, autoritaire paternaliste, consultatif et participatif. Dans le cas Navmed le style de management est (selon Likert) autoritaire paternaliste, et selon Blake et Mouton il serait du style 9/1. En effet les décisions sont centralisées mais il récompense tout de même ses