Obstacles épistémologiques

réalité, et pourquoi la supériorité de la vérité scientifique est légitimée. Mais, au contraire, ne faut-il pas se méfier de cette supériorité : l’objectivité de la science est-elle si assurée ? Comment la vérité scientifique dépasse-t-elle le double obstacle de l’expression du réel et de la subjectivité *** Il apparaît – et c’est une idée partagée par une majorité d’individus dans nos sociétés modernes – que la science est la voie unique et supérieure qui permet d’accéder à la vérité en tant qu’elle

analyse des dynamiques territoriales : Les acteurs logistiques jouent la carte de la suraccumulation, parce qu'elle est la seule à même d'assurer efficiences, rapidités et baisse des coûts dans les systèmes multimodaux . Pour une critique épistémologique du concept d'archipel mégalopolitain mondial : => la mondialisation tend à marginaliser la ½ de la planète. Concept d' « archipel mégolopolitain mondial » d'Olivier Dollfuss. Mais ce concept survalorise les liens transcontinentaux et

anthropologues et ethnographes. Ce réductionnisme semble, à première vue, renforcer l'idée qu'en dehors des mécanismes étatiques, formels et officiels de contrôle social et de résolution de conflits, il n'y a pas autre chose. Cela pose un problème épistémologique considérable - le droit, la loi, le crime et la justice étant soumis à des interminables débats depuis plus d'un siècle - puisqu'une société ne saurait se réduire à l'État ou aux institutions émanant d'une autorité politique centrale, présentée

d’amorcer un retour critique sur les doctrines sociologiques qui se sont emparées de ce domaine et, prenant à notre compte les recommandations de l’une d’entre elles, d’analyser la dimension performative de ces doctrines : quelle responsabilité épistémologique porte, par exemple, la thèse de Michel Callon selon laquelle la théorie économique est « performative » ? Un premier chapitre présentera quelques considérations liminaires sur le partage des disciplines, l’expertise et la notion d’assemblée de

se distingue du scientifique et du philosophe parce que la science et la philosophie ont pour finalité une connaissance (savoir) avec le présuppose de la raison (logos). Il y a une finalité épistémologique alors qu-en art il y a un finqlite ludique (de ludas=imagination). L-art n-a pas un statut épistémologique: il n-y a pas de règles, principes qui préexistent(ex: Picasso, Charlie Chaplin). B/TEXTES 1. 2. L-art est condamne par Platon dans la Republique.L’œuvre d-art est un double faux

davantage sur la genèse et présenterai le résultat. Composition du livre Il n’est pas facile de résumer en peu d’espace l’essence d’un ouvrage qui comporte plus de mille pages dans la collection Folio. Je me limiterai aux fondements épistémologiques et aux idées clés. Bien que composé de morceaux réunis après coup, le livre a une armature systématique. Il correspond presque aux normes scientifiques alors qu’il s’adresse au grand public cultivé, comme Emmanuel Mounier l’a vu au moment

phénomène comme critère de certitude, ce critère étant insuffisant en lui-même. Mais Kant a ouvert, et de façon durable, une brèche dans la prétention humaine de fonder la possession de la vérité sur la recherche de certitudes. La réflexion épistémologique (qui porte sur les sciences) a retenu cette leçon de façon durable et l’a intégrée à ses recherches : c’est ainsi que Karl Popper a retenu que toute théorie scientifique était établie sur une conjecture, non une certitude définitive. On peut moins

raison au sens où, par hasard, il peut lui arriver de dire vrai. Mais « en droit » elle a tort car elle n’est jamais démonstrative. Son but n’est pas de connaître mais de voir ce qui nous est utile. Bachelard considère l’opinion comme un obstacle épistémologique, c'est à dire comme une de ces représentations qui inconsciemment empêchent la science de progresser. C’est l’exemple déjà cité de l’évidence sensible, source de l’opinion, qui nous fait croire que la terre est immobile et au centre du monde

l'analgésie, la catalepsie et tous les autres signes classiques ne sont ni obligatoires ni universels. Aux regards de la méthodologie expérimentale classique ce ne sont pas des objets scientifiques. Erickson effectue un véritable renversement épistémologique . Le phénomène observé pendant la transe n'a pas une signification univoque. Il dépend de la situation, de l'influence de l'hypnotiseur, et surtout du sujet. Les phénomènes hypnotiques sont dépendants des conceptions, de l'histoire personnelle

travail dans les termes suivants : « le travail, c’est l’activité coordonnée déployée par les hommes et les femmes pour faire face à ce qui, dans une tache utilitaire, ne peut être obtenu par l’exécution de l’organisation prescrite ». Face à ces obstacles et situations inédits que rencontre l’homme au travail et qui ne correspondent pas au prescriptible, l’être humain développe inconsciemment une certaine habilité et intelligence qui ne peuvent être suffisamment expliquées par les sciences objectives