Obstacle Epistémologique Bachelard

Historien : la découverte est un fait Épistémologue : le fait est lié à une découverte. Il insiste sur la difficulté de la découverte. A/ La Formation de l'Esprit scientifique (G. Bachelard – 1937) La science n'est pas donnée, la connaissance implique une conquête. Il faut surmonter des obstacles épistémologiques → externes : financement de la science → internes : « C'est dans l'acte même de connaître intimement, par une sorte de nécessité fonctionnelle, qu'apparaissent des lenteurs et des

peu plus clair au sein des diverses approches du réel que constituent les visées religieuse, scientifique et philosophique en s’efforçant de les distinguer les unes des autres peut sembler aujourd’hui une entreprise téméraire tant le terrain épistémologique paraît miné. À la suite de Paul Feyerabend (1979), le relativisme radical semble dominer le champ de la philosophie des sciences au point d’inviter les participants au colloque sur la sociologie de la connaissance scientifique (université de Paris-Sorbonne

Qu’est-ce que la connaissance scientifique ? (1) Index: -Aristote: 384-322 av.J.C. -Bacon Francis: de Vérulam. 1561-1626. -Bachelard Gaston: 1884-1962. -Bernard Claude: 1813-1878. (A.F). -Bourdieu Pierre: 1930-2002. -Canguilhem George: 1904-1995. -Comte Auguste: 1798-1857. -Cuvier Georges: 1769-1832. -Durkheim Emile: 1858-1917. -Einstein:1879-1955. PN1921. -Feyerabend Paul: 1924-1994. Contre la méthode: 1975; Adieu la Raison 1987. -Fustel de Coulanges Denis Numa: 1830-1889. -Henry Michel: 1922-2002

pose un problème empirique et non une question théorique. Document téléchargé depuis www.cairn.info - iep_paris - - 193.54.67.91 - 05/10/2011 17h11. © La Découverte 20 L’ATELIER DU POLITISTE ––––––––––––––– 3. On connaît l’argumentation de Bachelard [1951, p. 6-7, souligné dans le texte] : « Le philosophe parle de phénomènes et de noumènes. Pourquoi ne donnerait-il pas son attention à l’être du livre, au biblionème ? Un philosophe demande-t-il si l’électron existe ? Ce n’est pas fuir le débat

la rationalité du monde entier, la nature étant vue comme une machine. Cette idée s'est imposée avec l'avènement de l'État positif (selon la loi des trois États de Comte), après avoir combattu les croyances religieuses, que Bachelard inclut dans les « obstacles épistémologiques ». Toutefois, plusieurs éléments semblent prouver les limites de la raison : la présence inévitable d'éléments inexpliqués même dans les sciences (les axiomes à l'origine de toute démonstration), la relativité des vérités

science ? Quel chemin doit-elle emprunter pour se réaliser et s’affirmer légitimement comme science ? Peut-elle suivre le chemin ou la méthode des autres sciences ? Quel sera l’objet de cette science ? La portée de ce texte est tout autant épistémologique qu’éthique. I. La voie sûre des sciences 1. La logique science formelle : la Raison est à elle même son propre objet. Elle ne doit rien à l’expérience. Elle entre facilement dans la voie sûre des sciences. 2. Les mathématiques et la physique

données ou d’expériences, qu’elle va tout aussi bien rendre compte d’autres expériences ou de nouvelles données. Pour ceux qui pensent que la science a pour but de décrire le monde avec ses principes régulateurs, le problème de l’induction est un obstacle à résoudre ou à éliminer s’ils veulent rendre indiscutable la description proposée. Tolérer que des prédictions soient à la fois scientifiques et incertaines et que le raisonnement inductif ait droit de cité dans les sciences revient à se contenter

Travaux Pratiques Encadrés 1.2 L’option sciences en seconde 1.3 L’enseignement d’exploration Méthodes et Pratiques Scientifiques 1.4 Conclusion : spécificités et convergences 2. DEMARCHE SCIENTIFIQUE : APPROCHE HISTORIQUE ET EPISTEMOLOGIQUE 2.1 Une approche historique et épistémologique 2.2 Spécificités disciplinaires de la démarche scientifique 2.3 La démarche scientifique en classe : la démarche d’investigation 3. APPROCHE DIDACTIQUE DE LA DEMARCHE D’INVESTIGATION 3.1 Les modèles d’apprentissages : Transmissif

philosophes, l’opinion est un obstacle qu’il faut contourner (voire détruire) pour avancer sur le chemin de la connaissance. Le monde de l’opinion s’oppose au monde de la connaissance. * Etude de l’allégorie de la caverne (film + texte) Nous sommes comme les prisonniers de la caverne, nous ne voyons des choses que leur apparence et non leur essence. Pour obtenir des connaissances objectives (le savoir) il faut sortir du monde sensible (l’opinion). Gaston Bachelard reprend cette opposition

Pour présenter les courants épistémologiques, nous allons commencer par donner un sens précis au mot science et à l'expression activité scientifique. Nous allons ensuite présenter, un à un, les différents courants ou écoles de pensée concernant l'activité scientifique en tentant de mettre en évidence les liens possibles entre l'appartenance d'un professeur à un courant donné et sa façon d'enseigner. Nous allons finalement conclure en soulignant les limites de l'application de cette classification