Obligations Légales Officier Ministériel Notaire

Sommaire Introduction Première partie…… Les modes de dévolution successorale prévus par la loi Haïtienne Chapitre Premier………………… La dévolution successorale légale Chapitre II………………………… La dévolution successorale testamentaire Deuxième partie ………Le testament un élément de réponse aux carences de la dévolution légale en Haïti Chapitre premier ………………Importance de la dévolution testamentaire Chapitre II…………………….Modernisation de la dévolution testamentaire Chapitre III………………Etude

Enfin une loi pour protéger les propriétaires de terrains non immatriculés Ils représentent pourtant 70% du sol national. La loi 39-08 portant code des droits réels détermine un cadre légal pour les droits portant sur les biens immeubles non immatriculés qui étaient déterminés par une multitude de référentiels jusqu'à présent. Après l’entrée en vigueur de la loi 14-07 relative à la conservation foncière qui a codifié la réglementation en matière de procédure d’immatriculations de biens immeubles

justice a) officier ministerielle la particularité c'est qu'il sont titulaire d'une charge qui leur a etait atribuer par le ministere de justice , la charge va conferer au notaire par exemple un droit patrimoniale qui leur permet notamane t de vendre leur charge a un autre notaire . Les notaires vont avoir le monopole de la redaction de lacte qu'on apelle authentique . La particularité des officier publics est que la profession est encadrée par une numerus closus B) les officier non ministeriels

) | | |6- Décret d'application pris par le Premier ministre | | |7- Arrêté ministériel | | |8- Arrêté préfectoral | |

LE STATUT DU COMMERCANT   Il convient de définir quels sont les personnes qui peuvent avoir accès au statut du commerçant puis de définir leurs obligations. Il convient ensuite de décrire le statut particulier du conjoint du commerçant. 1.   L’accès au statut de commerçant   En principe, tout le monde devrait avoir accès à ce statut du fait de l’exercice du principe/ droit d’entreprendre.   Le décret d’ALLARDE (2 et 17 mars 1791) a posé le principe du commerce et de l’industrie d’où découle

des textes de portée générale, cette responsabilité est également soumise à une réglementation particulière. Le régime du droit commun de la responsabilité est principalement régi par les dispositions du Dahir du 12 août 1913 formant Code des Obligations et des Contrats (ci-après DOC), ainsi que les dispositions du Dahir du 26 novembre 1962 formant code pénal tels que modifiés et complétés. Ce cade juridique est doublé en filigrane des différentes réglementations particulières aux professions

règles applicables aux commerçants : Chapitre 2 -Les autres acteurs : Chapitre 3 CHAPITRE I : Le commerçant -Définition difficile mais importante : Qualité qui fait naître des droits et des obligations. : Qualité qui est réservée à certaines personnes. SECTION N°1 : - Article L 121-1 du code du commerce « Sont commerçants ceux qui exercent des actes de commerce et en font leur profession

recrutés pour 7 ans non renouvelables), connaissant en matière civile, en dernier ressort, des actions personnelles ou mobilières jusqu’à valeur de 4000 €, ou, mais à charge d’appel, des demandes indéterminées qui ont pour origine l’exécution d’une obligation dont le montant n’excède pas 4000 €. Elle peut être saisie, dans les mêmes conditions, d’une demande d’homologation du constat d’accord formé par les parties à l’issue d’une tentative de conciliation ordonnée par un juge, afin de donner force exécutoire

Uniquement des personnes physiques Si au moins 5 travailleurs : capital minimum de 18.550 € dans les 5 ans Sur les documents officiels : SPRL - S La constitution des sociétés Obligations et formalités à la constitution 1) Il faut dresser un acte de constitution qui sera : un acte authentique : passé devant le notaire, dans le cas d’une SA, SPRL, SCA ou SCRL un acte authentique ou un acte sous seing privé : dans le cas d’uns SNC, SCS ou SCRI Cet acte reprend les statuts de la société qui doivent

recrutés pour 7 ans non renouvelables), connaissant en matière civile, en dernier ressort, des actions personnelles ou mobilières jusqu’à valeur de 4000 €, ou, mais à charge d’appel, des demandes indéterminées qui ont pour origine l’exécution d’une obligation dont le montant n’excède pas 4000 €. Elle peut être saisie, dans les mêmes conditions, d’une demande d’homologation du constat d’accord formé par les parties à l’issue d’une tentative de conciliation ordonnée par un juge, afin de donner force exécutoire