N Agit On Moralement Que Par Interet

un acte héroïque, l'action est exceptionnelle, détachée de ce qui la précède et de ce qui la suit. D'où la nécessite de tenir compte des conséquences. L'action exige une réflexion, notamment dans le domaine politique dans une société donnée. Les intérêts opposés des riches et des pauvres ou des sécuritaires et libertaires, fait de la vie politique un lieu d'affrontement que ce soit des révoltes, des révolutions, des manifestations ou des tensions en « sommeil ». Pour Machiavel ( Ch9 du Prince ) « On

la même manière. Par exemple, quand on commet une infraction, un délit ou un crime, on encoure plusieurs sortes de sanctions, régies par le droit pénal. À côté de la peine du droit pénal, le droit peut condamner une personne à verser des dommages-intérêts. Mais plus encore, la transgression d’une regle de droit n’entraine pas forcément une sanction appliquée a un individu, elle peut consister dans le fait de tirer les conséquences d’une règle juridique. Elle sera alors une nullité (pour un contrat

l’éducation et l’instruction si l’on ne veut pas que le jeu démocratique soit un simulacre. » Ainsi, pour avoir une démocratie véritable, où le citoyen s’exprimera en toute liberté, il faut former les populations intellectuellement, physiquement et moralement. Cela favorisera la bonne acquisition des connaissances par le citoyen qui l’aident à faire des choix responsables lors des scrutins. Autrement dit, la consolidation de la démocratie passe-t-elle inévitablement par l’éducation et l’instruction

libérant de la nature, mais en se contraignant à suivre des règles strictes fixées par l’homme lui-même. Il agit selon des lois morales : Les impératifs catégoriques. Un acte moral est un acte qui respecte ces impératifs (règles absolues). Rigorisme : pour qu’il soit moral un acte doit avoir un caractère absolu. Il refuse tout compromis, il est conforme à des règles strictes. 1er Impératif : Agit uniquement d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir en même temps qu’elle devienne une loi universelle

même si c’est contraire à la raison. La liberté d’indifférence est le nom que les philosophes ont donné à cette pure expression de la volonté. a- la liberté d’indifférence Elle désigne l’état dans lequel se trouve la volonté lorsqu’elle agit sans pouvoir s’ appuyer sur aucune raison suffisante pour motiver son action. C’est ce qui arrive lorsqu’on doit prendre une décision en étant confronté à deux ou plusieurs possibilités d’égale valeur. Exemple donné par Sartre : pendant la deuxième

a donc décidé de renoncer à la facilité qui a tendance à naitre du penchant de l’homme pour la satisfaction de ses plaisirs. De ce fait, pour qu’une action soit morale, celle-ci doit à tout prix s’éloigner de l’affectivité que l’on ressent. Agir moralement suggère donc d’instaurer une sorte de distance avec moi-même, qui est nécessaire. Faire preuve de bonté, voudrait-il alors dire mettre sa personne de coté, surpassé son moi pour aller vers quelque chose de plus absolu ? Pour être bon, il

lui couter. Fondement de cette obligation légale qui repose sur des considérations morales : il serait injuste que le bénéficiaire de l’intervention tire gratuitement les fruits de cette intervention. Pour être indemnisé, le gérant doit avoir agit utilement : « Preuve d’une gestion utile et sérieuse » exigée par le cv. La loi pose des conditions à la gestion d’affaire : elle accepte de récompenser les actes de gestion d’affaire sérieux, mais elle veut également dissuader les interventions

l'obliger a travail pour survivre : «  tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». D'ailleurs, pour Marx, le travail humain contribue à transformer l’homme tout autant que la nature. En effet, ce qui différencie l'homme de l'animal c'est que l'animal agit par instinct de survit contrairement à l'homme qui va planifier ces projet et les réaliser par le travail : «  ce qui distingue dès l’abord le plus mauvais architecte de l’abeille la plus experte, c’est qu’il a construit la cellule dans sa tête avant

qui agit sans parler, réfléchit en pleine conscience : l’anabaptiste = l’efficace Jacques : nom très répandu en France à l’époque. Nom que l’on donne aux pauvres : homme du peuple, auquel on peut s’assimiler. Jacques : apôtre du Christ : but = évangéliser la péninsule ibérique (St Jacques de Compostelle) Donc l’anabaptiste incarne le bourgeois, avenir pour la France, valeurs montantes : commerce, civilisation, etc. N’est pas baptisé, garde sa liberté de penser Il « voit », puis agit = //

statue de la raison par rapport à la volonté. Était-ce la raison qui était insuffisante pour commander la volonté auquel cas la responsabilité est incertaine ou au contraire cette raison était forte de son commandement et la volonté a tout de même agit, c’est-à-dire en connaissance de cause ce qui dans ce cas-ci la rend responsable de son acte. Remarquons que c’est aussi sur cela que peuvent jouer les avocats pour défendre leurs clients coupables de mauvaises actions. L’implication judiciaire se