Métaphore Filée

de  l'ordre de l'abstrait)   1. deux champs lexicaux primordiaux ·      "la mer" (six fois), relayée par "l'eau" au singulier ou au pluriel  (4 fois)   ·      "l'amour" (huit fois), "aimer" (1 fois) "amoureux" (une fois), relayé par "le feu" (métaphore précieuse de l'amour devenue traditionnelle)  (3 fois) et des mots du même champ lexical : "enflammer", "brasier", "brûle", éteint son feu)   2. la façon dont ils sont entrelacés ·      les répétitions parallèles et en chiasme *     parallèles

l'amour (sentiment de l'ordre de l'abstrait) 1. deux champs lexicaux primordiaux • "la mer" (six fois), relayée par "l'eau" au singulier ou au pluriel (4 fois) • "l'amour" (huit fois), "aimer" (1 fois) "amoureux" (une fois), relayé par "le feu" (métaphore précieuse de l'amour devenue traditionnelle) (3 fois) et des mots du même champ lexical : "enflammer", "brasier", "brûle", éteint son feu) 2. la façon dont ils sont entrelacés • les répétitions parallèles et en chiasme  parallèles avec les anaphores

lectures contradictoires 2)la clé de lecture : une métaphore filée qui combine les deux types de lecture au lieu de les opposer 3)les enjeux de cette double lecture. I)Un texte contradictoire qui entraine lectures contradictoires Idée essentielle : dans les deux premiers paragraphes, Rabelais définit deux niveaux de sens dans le Gargantua qui entrainent deux types de lecture différents, mais il l’exprime de manière imagée, par des métaphores. a)l’opposition être/paraître dans plusieurs comparaisons

registre épique , car dans ce registre on met en avant les qualités du personnages mais en particulier sa force. Il est représenté comme un Dieu de la mythologie grec, particulièrement à Thor. Dans cet extrait il y a beaucoup de comparaison et de métaphore sur son physique et sur sa force, sa solidité en parlant de sa « vrai figure d'or », « son cou pareil à une colonne »et « blanc comme le cou d'un enfant » ( pour montrer son coté sensible, doux, gentil), ses « bras sculptés qui paraissaient copiés

le cœur de ce dernier est littéralement piétiné.Au vers 17 le substantif « maître » désignant le poète montre que celui-ci à une mission didactique. Cette idée est poursuivie dans le même vers avec l’évocation du « semeur » qui fait l’objet d’une métaphore in presencia, en effet le poète est assimilé à une personne qui ensemence les esprits, et que les idées qu’il sème germeront plus tard. « ô sage » v41 Dès le début du poème, Hugo interpelle son destinataire, le poète, par l’interjection « ô » qui

pouvons affirmer que ce récit est réaliste car plusieurséléments appuie la notion du réalisme, les thermes techniques, la métaphore filée et la description. Nous retrouvons toute une panoplie de termes techniques qui encre le récit dans la réalité : « puits», « ouvriers », « la cage de fer », « un mineur », « charbons » et cetera. De plus, nous avons quelques métaphores dont une filée « d’un jaillissement doux de bête nocturne ». Et pour ladescription, Zola donne une description précise et objective

personnification qu’est donc introduite la comparaison Poète Lombric. Ce n’est qu’au début du premier tercet qu’est rendue apparente la comparaison du lombric et du poète : « Le poète, vois-tu, est comme un ver de terre » v.9 expliquée par la métaphore filée aux vers 10 et 11 « il laboure les mots qui sont comme un grand champ où les hommes récoltent les denrées langagières ». Le poète est donc comparé au lombric par rapport à son travail. Le poète laboure les mots et rédige des poèmes et le lombric

Octave Mouret d’attirer dès leur entrée dans le magasin les clientes. De plus, le patron crée l’effet de surprise en proposant à sa clientèle toute une gamme de colorie « chatoyante ». On retrouve dans la description de ces teintes une métaphore filée sur le thème de l’eau. Les étoffes sont comparées à un « ruissellement ». Elles [jaillissent] comme une cascade multicolore. On retrouve de haut en bas des « tons nacrés d’eau de source », des tons « vert Nil », « bleu Danube » qui donnent l’impression

Queneau • Dans les deux cas les auteurs utilisent la référence à la nature pour faire passer leur message mais il utilise de façons différentes o chez Ronsard : champ lexical de la nature, répartis dans le texte car c'est une métaphore filée (une métaphore filée est une métaphore qui utilise un réseau d'images sur plusieurs lignes). Dans les strophes une et deux, la nature et présente : c'est l'éveil de la rose dans la strophe une (vers un et deux), c'est la mort de la nature dans la strophe de (vers

pour décor un cadre lui-même grandiose, formé par les collines qui encadrent la vallée de la Viorne : « le large amphithéâtre qui monte de la rivière à Plassans […] cascade gigantesque sur laquelle coulaient les bleuâtres clartés de la lune ». Les métaphores de l'amphithéâtre et de la cascade font de ces murailles éclairées par les reflets de la lune, un magnifique mur de scène naturel. Mais, dans ce contexte nocturne et hivernal, c'est un spectacle assez effrayant, car il surgit dans la « paix morte