Métaphore Filée

Métaphore filée Aller à : Navigation, rechercher La métaphore filée (substantif féminin), association des mots de métaphore et du verbe français filer (au sens de poursuivre une œuvre, un processus) est une figure de style constituée d'une suite de métaphores sur le même thème. La première métaphore en engendre d'autres, construites à partir du même comparant, et développant un champ lexical dans la suite du texte. Bien que distincte, on rapproche la métaphore filée de l’allégorie. Sommaire

Le suicide un phénomène économique Jusqu’an 2007, des études britanniques prouvent que le nombre de suicides était en baisse, soit 4006. Mais tout cela change quand une hausse du chômage survient en 2008, les chercheurs ont remarqués que le nombre de suicide ç lui aussi augmentés, soit 4292. Le marché du travail lui continu a augmentés jusqu’an 2009, le taux suicide passe alors à 4388, soit environ 8% chez les hommes et de 9% chez les femmes. Après les Britanniques c’est autour des Australiens

Barbara « Qu'es tu devenue maintenant » = Amour brisé 2) Destruction HOMMES – Deuil, tristesse > métaphore « pluie de deuil terrible et desolée» - Les morts et les blessés > « est il mort disparu ou bien encore vivant » « sang » PAYSAGES - Pays ravagé > « Brest dont il ne reste rien » « tout est abimé » = vision apocalyptique - Bombardements > métaphore filée « pluie de fer » « orage de fer d'acier de sang » 3) Impuissance Regret & tristesse > exclamation

concurrence. Il cible la recherche scientifique et ses applications dans le cas de la mondialisation et les dérives de la recherche. Axe: - Montrer que Jacquard développe sa thèse à partir d'une structure originale - Expliquer le texte à partir de la métaphore initiale. Les exemples sont étalés dans l'histoire et renvoient à la mondialisation et à l'évolution de la science. Le thème du progrès abordé est déjà illustré par le dessin: l'épée en forme de P tue celui qui ne réfléchit pas, l'épée représente

et dans l'expression (l'adresse aux « Dames » Ainsi ce texte est un sonnet lyrique où Louise Labé évoque ses sentiments personnels dont un amour fatal : elle ne peut se soustraire à ce destin qui est somme de souffrance transfiguré par la métaphore filée de la tempête, signe d’un amour violent. Par conséquent, on remarque que le registre lyrique se mue aussi en registre tragique.


atteindre l'Idéal afin de s'extraire de la réalité qu'il trouve laide, et ainsi accéder à la beauté intellectuelle. La chevelure de la maitresse de Baudelaire semble avoir un pouvoir, celui de faire voyager Baudelaire hors de la réalité. La métaphore filée des cheveux – mer emporte le poète vers un voyage maritime vers 13 « Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève ! ». L'allitération en « L » au vers 18 « Où les vaisseaux, glissant dans l'or et la moire » et au vers 11 « J'irai la-bas ou l'arbre

la nécessité d'un combat ? I L'abandon → Champ lexical de la souffrance, « cri » « plainte » « gémissaient » « sanglots » → jeu sur les sons : les personnages sont attaqués et perturbés par cette souffrance qui apparaît directement. → métaphore filée : le cri de souffrance « une marée de sanglots » qui « déferla », et Rieux est de nouveau la figure de la résistance « Rieux, accroché à sa barre de lit » → la souffrance est une vague géante emportant tout sur son passage, Rieux ne se laisse

une maladie du cœur et de l'esprit. Cette idée est poursuivie au vers 62 : «  Ma blessure trop […] a saigné ». L'amour est là non plus une maladie, mais une blessure physique . L'amour est donc considéré comme une souffrance. Par ailleurs, la métaphore filée du feu tout au long du texte prouve que la passion consume Phèdre de l'intérieur, elle est littéralement brûlée par sa passion pour Hippolyte. D'ailleurs, son idéalisation à l'encontre d'Hippolyte est poussée à l'extrême : « J'offrais tout à ce

la langue du pays d’origine de Vellini qui exprime son mouvement « meneo » (ligne 2). * Il y a des nombreux verbes de mouvements dans le premier paragraphe : « sortit » ;  « vibrait » ; « marchait » … . * On remarque la présence d’une métaphore filée à travers laquelle Vellini est assimilé à une énergie autre qu’humaine : « deux éclairs » et « une puissance électrique ». * Comparaison avec une « nerveuse et souple panthère ». On a le coté animal et sauvage du personnage. Cela donne une

de l’amplification épique : « L’un court et l’autre a des ailes » (v. 29).  Les chevaliers sont en vérité les résistants et la belle à libérer est en fait la France. Ainsi la France est représentée sous la forme d'une personne. Cette métaphore filée (= une métaphore qui court sur l'ensemble du texte), ou plutôt cette personnification (puisque la France est ici une femme), est même une figure de style particulière, qui a un nom : c'est une allégorie. Tous les hommes fusillés de la dédicace ont pour