Métaphore Filée

hommes (II). I-Un lieu sacré et symbolique A- La nature sacrée Baudelaire présente la nature comme un lieu sacré. On peut comparer l'environnement à un lieu sacrée par l'intermédiaire de la métaphore filée dans le premier quatrain au v1 qui relie «la nature» à «un temple». Cette métaphore filée s'explique un peu plus loin par l'interprétation des arbres comme de «vivants piliers». La nature est aussi présenter comme éternel. Cette éternité est mise en avant par l’étude des verbes utilisés

ce vers quoi l’homme doit tendre - Montaigne dément le fait que la vertu soit inaccessible L11 « qui n’est pas comme dit l’école » = comme le veut la morale - « coupé, raboteux, inaccessible » (milieu de l'extrait) « plantée à la tête » = métaphore à valeur négative è Ce sont les hommes qui ont dit que la vertu est inaccessible car eux étaient incapables de l’atteindre. « selon leur faiblesse » (fin de l'extrait) « la placer sur un rocher à l’écart » (fin de l'extrait) è Les

La comparaison et la métaphore sont des figures de style[->0] que l'on appelle souvent les figures de la ressemblance. La comparaison Une comparaison est construite selon un modèle très simple : on rapproche deux choses qui ont un point commun, c’est-à-dire une ressemblance. Ce rapprochement s’effectue à l’aide d’un mot de comparaison : Cet enfant est blanc comme un cachet d’aspirine. Dans cet exemple, on compare l’enfant à un cachet d’aspirine. Cette comparaison est rendue possible car tous

nature du trésor à découvrir. Une histoire d’amour se dessine entre une femme et un jeune, très jeune, garçon.  Davantage la désignation de la guerre comme décor de cette aventure voire comme responsable semble presque sacrilège.  Enfin la métaphore filée du deuxième paragraphe joue dans cette esthétique de la provocation un rôle exemplaire. Tout d’abord elle étonne par sa trivialité voire son incongruité. Rapprocher par la comparative « aussi réel que » le rêve et un fromage, le narrateur et un

devient la métaphore filée de l’amour et de ses dangers, va et vient de la Mer. 2. Les ressemblances entre la mer et l’amour Ces ressemblances sont explicites : ("en partage", "aussi bien", "tous deux"). Le parallélisme va jusqu'au vers dix. Marbeuf examine les ressemblances, les points de contact. Le premier est l'amertume : sel pour la mer, déconvenue pour l'amour. Le second est la vie tourmentée (l'orage), le troisième est le risque de naufrage (utilisation de la métaphore filée de la navigation

Frédéric se penchèrent sur la rampe » l.1) que est considéré comme un ensemble indifférencié et uniforme.  L’importance de cette foule est soulignée par le terme « masse grouillante » l.4. La notion de mouvement ininterrompu est traduite par une métaphore filée qui compare le peuple à de l’eau agitée : « flots vertigineux » l2, l'image d'une eau « impétueuse » l.4, « un fleuve refoulé par une marée d'équinoxe ». Le désordre règne dans cet extrait, le palais des Tuileries est mis à sac. L’énumération

Conseil Régional Rhône-Alpes en mars 1998. Ainsi, l’auteur veut montrer les dangers de l’Extrême-Droite, et d’une manière plus générale, les dangers du Totalitarisme. Il invite le lecteur à savoir résister. Etude de l’œuvre Matin brun est une métaphore car on élit« une race », « une origine », « une religion » : le brun au détriment d’autre couleurs. Jusqu’à une escalade dans les mesures. Les autres couleurs représentent : -Les opposants -les juifs -Les homosexuels -les handicapés -les

nous demander, en quoi ce texte, qui joue avec les mots et la musique, est-il une célébration à l'amitié ? Nous verrons tout d'abord le jeu entreprit par la métaphore filée du bateau et de la fantaisie verbale. Puis dans un second temps nous verrons la conception de l'amitié que prône ce texte. I. Le jeu entreprit par la métaphore filée du bateau et la fantaisie verbale. 1) L'ambiguité du titre 2) L'allusion de l'amitié au Radeau de la Méduse II. La conception de l'amitié que prône ce

nature | « des flots chéris », « flots harmonieux » | | La nature en général et le lac en particulier sont le cadre du bonheur passé | « l’océan des âges », « Jeter l’ancre », « L’homme n’a point de port » | Métaphore | La métaphore du navigateur renforce le sentiment d’impuissance : l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps. | « Jouissons », « extase », « aimé » | Vocabulaire des sentiments

Axes de lecture : 1. Description de la mûre 2. Métaphore filée de l’écriture/du poème Synthèse : Crescendo : on part de l’origine de l’écriture, puis la recherche d’idées et sa réflexion, jusqu’à la maturation du poème. C’est le développement personnel du poète et de son art. Mise en relation : « Le pain »  détruire les clichés/images préconçues, casser la symbolique, retourner à l’origine. « L’orange » ; « Bords de mer »  métaphores et allégorie de l’art poétique. Conclusion :