Métaphore Filée

| | |La métaphore | | | [pic] Elle établit une assimilation entre deux termes. Une métaphore peut être annoncée, directe ou filée : | | | [pic] Dans la métaphore annoncée, le comparé et le comparant sont rassemblés dans un même énoncé sans terme de |

de ses caractéristiques physique) -Le titre du poème est repris plusieurs fois au cours du poème "toison" (v.1); "boucle" (v.2); "chevelure" (v.4)... B) La sensualité 1) La femme associée à un monde animal et sauvage -Métaphore (V 6 et 7) --> Métaphore animale : "crinière" (v.31) 2) Un amour physique - Fortes connotations érotiques 3) Correspondance des sens : synesthésies -Sensation olfactive : "parfum" (v.17), "loisir embaumé" (v.25), "senteurs" (v.29) --> sensation

passe par une progression passé-présent dans le premier quatrain : « ne fut » v.1 = passé « ont fait », v.3 = passé proche avec répercussion sur le présent, « reste » v.4 = présent L'arrivée de l'automne, c'est-à-dire de la vieillesse (c'est une métaphore poétique employée afin d'éviter d'utiliser le mot "« vieillesse ») est mise en valeur par le présentatif « Voilà » qui marque aussi l'aboutissement de la progression évoquée auparavant. L'utilisation de l'image du jardin joue sur la polysémie du

propos de Sganarelle à l’aide d’interrogative et d’exclamative oratoire « Quoi ! » « tu veux … pour personne ? » Il se place tout de suite comme un personnage choqué, victime par des propos immoraux, il renverse donc les valeurs en utilisant une métaphore filée qui associe la fidélité amoureuse à la mort « s’ensevelir…être mort ». Il fait ensuite un éloge passionné de sa propre inconstance en montrant que finalement c’est un hommage à la gente féminine et il dit qu’il est soumis aux lois de la nature

Voyage: Dans les strophes 3, 7 et 8, la figure de style qui est présente est une métaphore filée ( métaphore où on relève d'autres métaphores sur un même thème). Le champ lexical de l'eau et de la mer: «mer»(v7), «flots bleus et bruns»(v8), «un navire»(v9), «vent du matin»(v10), «vaisseau»(v26), «bord sur bord et plonge»(v27), «l'eau»(v28,31), «flot»(v29), «glacier»(v30), «bord»(v32) et «boire»(v33) . La métaphore filée connote le voyage, l'évasion. Au vers 35: «un ciel liquide», montre la différence

La comparaison: Il n'y en a pas. 2. La métaphore: a. Par une apposition: Il n'y en a pas. b. Par un attribut: Il n'y en a pas. c. Par un complément: Il n'y en a pas. d. La métaphore filée: Il n'y en a pas. e. La métaphore pure: "une cage" est la métaphore pure de la captivité de l'homme, "une porte ouverte" est la métaphore pure de 'espoir de l'homme pour se libérer, "l'oiseau" est la métaphore pure de l'homme en général, "les barreaux" est la métaphore pure des faux enseignements donnés à l'homme

tout d’abord. Mais, ensuite, l’hyperbole domine la phrase : « Je vois encore cette prunelle ardente sous un sourcil noir se fixer sur moi comme un soleil. » Le regard de la femme fait l’objet d’une métaphore filée : sa prunelle est qualifiée d’« ardente » puis est comparée au soleil ; c’est la métaphore du regard de braise consumant l’amoureux. Le topos du coup de foudre est donc ici teinté d’un enthousiasme excessif, sans doute propre aux fous. Flaubert, dans cette fiction autobiographique, se joue

ANOUILH, Antigone (tirade de Créon) Quels arguments et quels procédés Créon emploie-t-il pour persuader Antigone de renoncer à on projet ? I/ Image e l’état et du Roi a/ Métaphore de l’état b/ Le rôle difficile du Roi II/ La force persuasive de Créon a/ Un discours guidé par l’émotion b/ Mais cependant très maitrisé Introduction : Parler des dramaturges du 20éme siècle comme Anouilh, Sartre, Cocteau, Giraudeau . Il reprennent des mythes de l’antiquité pour en montrer leurs

Le texte est un poème en prose, structuré en paragraphes. Le texte est surprenant par le registre métaphorique qui concerne un objet banal : le téléphone. La métaphore filée est celle du rocher, du homard (métaphore maritime), de la sirène. Les motifs de la métaphore sont le rocher / le socle, le homard et le combiné (→ voir aussi « Le Téléphone-homard » de Dalí (1936) sur Universdali.com), la sirène (créature fabuleuse / sonnerie) et l’hyperbole de la sonnerie. Le terme « appareil » (= assemblage

d'étoiles", "entrer aux cavernes profondes", "fuyant", "ses noirs chevaux chasasit". On remarque la reprise du thème de l'animal ("troupeau de chevaux") et la présence de verbes d'action qui font référence à l'acitivité de berger. Le poète fait une métaphore filée (la nuit est considérée comme un personnage auquel on attribue des qualités humaines) il s'agit plus précisement d'une personnification. Les élémentes métaphoriques situent le moment de la scène: les cavernes profondes sont des la mythologie