Métaphore Filée

alors enfermé dans son malheur, qu'il exprime alors avec une absence de liberté. ..2. L'absence de liberté On ressent un très grand enfermement du paysage intérieur et extérieur, d'où l'image de la prison exprimée en une métaphore filée : c'est une aliénation. Cette métaphore se poursuit dans les 3 dimensions : - le ciel, avec la comparaison à un couvercle, symbolisant un cercueil, et l'image de " se cogner la tête à des plafonds pourris ", - la terre, avec le " cachot humide ", donc l'enfermement

souffrances minute après minute » (l12) « ils n’avaient jamais regardé en face, si longtemps l’agonie d’un innocent » (l17-18). Les spectateurs sont confrontés à une réalité qui devient concrète = La mort d’un innocent L18 à 51 Métaphore filée de la peste qui devient incontrôlable Douleur matérialisée par les larmes (l31) La peste s’acharne contre un innocent → idée du crucifié (l36) Impuissance des adultes (qui sont extérieur à lui) - Tarrou essaye d’apporter du réconfort

souffrances minute après minute » (l12) « ils n’avaient jamais regardé en face, si longtemps l’agonie d’un innocent »  (l17-18). Les spectateurs sont confrontés à une réalité qui devient concrète  = La mort d’un innocent   L18 à 51             Métaphore filée de la peste qui devient incontrôlable Douleur matérialisée par les larmes (l31) La peste s’acharne contre un innocent → idée du crucifié (l36) Impuissance des adultes (qui sont extérieur à lui) -         Tarrou essaye d’apporter du réconfort

recueil «les fleurs du mal» avec le poème : l’ennemi (1857) présenté sous forme de sonnet, où il exprime ses sentiments a travers le temps qui passe, dans un poème construit sur une métaphore sur le thème des saisons et du climat. Nous étudierons dans un premier temps la fuite du temps, puis dans un deuxième temps la métaphore sur les saisons, ou le poète décrit les étapes de sa propre vie. Tout d’abord, nous allons analyser la fuite du temps et donc comment Baudelaire évoque un sentiment d’impuissance

= maladie L’emploi de l’antithèse est systématique. A chaque effet positif de la Paix correspond un ravage de la guerre, mais on remarque un développement syntaxique et lexical de plus en plus important pour évoquer la guerre. 1-3. Métaphore filée : Maladie * Souligne la virulence de ce fléau : insistance. * Association implicite : maladie -> mort possible = persuasion * Montre la paix comme un moyen de guérison : persuasion * Figure qui introduit une dimension concrète

seul la natures a put conserver la trace de ces amours vécues. L’obsession du temps On relèves le champ lexical du temps : « la nuit » , « le jour » , « l’aurore », « le soir », « les heures », « l’année », « moments » , « l’éternité »… La métaphore filée du temps qui coule : « l’océan des âges ». Le poètes jouent sur le schéma rythmique et l’utilisation de l’imparfait pour crée un rythme plus ou moins long très répétitif et paisible qui renvoie a la tranquillité et l’apaisement ressenti par l’auteur

hypothétique et le retour à la réalité dont l’auteur nous fait part. I. Comparaison « Paix » / « Guerre » Eloge de la paix. En bon philosophe des Lumières, Damilaville conserve une stratégie argumentative efficace. Il nous offre ici une métaphore filée de la Guerre. Tout au long du premier paragraphe, nous pouvons voir que l’auteur représente la Paix comme la bonne santé et le remède, nous le constatons par l’emploi du champ lexical de la santé « santé », « vigueur » et « guérir ». Il utilise

L’hyperbole « hurlait si fort que les cordes de leur cou semblaient se rompre » insiste sur la colère des mineurs lors de cette marche. A travers cette colère, Zola veut nous montrer une vraie fureur meurtrière démontrée tout d’abord par la métaphore filée du sang « ensanglantaient », « sembla charrier de sang », « saignants » qui elle évoque aussi la couleur de la Révolution. Ensuite, le champ lexical de l’animal « femelles », « sabots », « galoper », « bêtes fauves » nous évoque une image de troupeau

« Je voudrais » (v.9) montre le vœux du poète pour le futur. b) L'empressement de renouer avec sa muse est mise en évidence grâce aux enjambements ainsi que par le fait que les deux dernières strophes ne forment qu'une seule phrase. 1. La métaphore filée entre la muse et Baudelaire rapproche la décadence de la Cmuse et le vieillissement de Baudelaire qui n'obtient pas de succès auprès de ses contemporains. 2. CONCLUSION : Synthèse de ce qui a été dit....

=> ici, JDB amplifie les effets du froid. "le loup, vent, froidure" => énumération. Le poème se termine sur un vers pessimiste. "France, mère" => une mère nourrit son enfant.La trame narrative du poème est fondée sur une métaphore filée (= Il s'agit d'une métaphore qui se prolonge, qui est développée (par ex. dans tout un paragraphe) et qui s'appuie le plus souvent sur des mots qui relèvent d'un même réseau lexical)Volonté de donner une idée. II. Une éloge nostalgique de la FranceVolonté de