Métaphore Filée

toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids ! »  | Gradation négatif | 1Permet de montrer que son temps est en train de ce réduire | « Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée » | Métaphore de la mort | 1Pensé infernale de la mort. Met en valeur la souffrance du personnage. Registre tragique et pathétique. Paradoxe, le coupable est devenu victime. | « reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau » | Antithèse temporel | Séparation

Comparaison : figure dans laquelle nous avons un comparé, un comparant et un comparatif : il est beau comme un Dieu Métaphore : image et comparaison sans comparatif : il a la ruse d’Ulysse Métaphore filée : Suite de métaphores sur un même thème : oublier ce flot de paroles qui semble ne jamais trouver la mer où se jeter Allégorie : C’est le fait de représenter une idée par une image : représentation de la mort sous forme d’une vieille femme avec une faux. Prosopopée : discours direct d’un être

la description de celui-ci devenant un reflet des états-d'âme de l'héroïne. II°):Le paysage perçu par Jeanne ,reflet de ses états-d'âme: 1°): Un paysage printanier: On est à la fin de la journée de printemps , comme l'indique la métaphore filée « inondant , taché » , elle restitue la lumiére chaude. La présence des hirondelles (L 34) tout cela montre le renouveau. Aussi dans cette symbolique du regard « devant elle » (L33) suppose un avenir de nouveau ouvert . De même que le souligne

chiasme qualités qui sont l’œuvre de Dieu disparaît avec le travail. Choix de 2 personnages pr intensifié les conséquences négatives du travail. Verbes violents « tué » « prend brise ». Enfants associés à de jeunes pousses donc fragiles et beaux (métaphore filée), serre (griffe ?) * Opposition avec le bon travail. Se termine à un appel de l’espoir, heureux. Exclamat° qui renvoient au lyrisme.4 adj. valorisant (v.33) le vrai travail (amplification du rythme). Parallélisme du dernier vers qui illumine

arbre dont personne ne cueille les fruits et qui sont bons « à picorer par les corbeaux ». -Après ces remarquesle oir de manière très violente ca violence composé des termes « exorbités », « tordue », « brulée ». Ainsi en utilisant la métaphore filée du corps supplicié comparé à un fruit étrange le poète Abel Meeropol donne de len apparence une image rassurante des paysages du Sud qui cache en fait des pme, où la présence de cadavres pendus aux arbres semble banale, souligne l’i

« c'est ainsi que » présentatif qui met en valeur le mot vertueux. II.Un traité humaniste: a) une visée didactique:Comparatif de supériorité. Le Courtisan doit amener le Prince à être vertueux sans pour autant être plus vertueux que lui. Métaphore filée qui explique au Courtisan comment il doit se comporter pour atteindre ses objectifs. Le « vous » s'adresse au lecteur. Présent de vérité général. b) Limites du courtisan: Castiglione utilise la concession pour raisonner. Il admet que la fin

amplification « les cris » allitération en « l » personnification du bruit l ,8,9,7 Le polyptote consiste en la répétition de plusieurs termes de même racine, ou encore d'un même verbe sous différentes formes. L 5 et 11 généralisation des cris métaphore filée l'eau et les cris l 11 2°Scène illustrant la violence des combats a présence des armes voc des armes l 22 motif du sous marin b. l'enfermement l 20  « blindage » fermeture emprisonnement des perso le train comme armure prisonnière

texte est une description qui narre le parcours d’un feu bestial ravageant tout une forêt sur son passage. Qu’elles visions l’auteur donne-t-il de l’incendie ? Le romancier évoque ce brasier d’une manière particulière. En effet, il utilise une métaphore filée pour le décrire. Néanmoins, le point de vue du narrateur sur cette fournaise n’est pas évidant. Cette calcination s’apparente à une chimère qui possède des caractéristiques provenant de divers animaux, avec le champ lexical de la faune, tels que

paraissait avoir saccagés le souffle furieux d'un ouragan" (l.11), "on ne passait plus du tout" (l.16), "à moitié détruites semblaient des maison dont un fleuve débordé charrie les ruines" (l.18 à 20). Puis on observe une métaphore "le blanc de neige avait neigé à terre" (l.20), cette métaphore désigne tous les vêtements et autres tissus laissés sur le sol par les clientes "on marchait sur les flocons légers des mouchoirs" (l.21,22), "on buttait contre des banquises de serviettes" (l.20), "les fourrures jonchaient

monde enfant : un monde ignoré et inconnu des Européens il y à peine 50 ans. Adverbes d'intensité « si nouveau, si enfant ». Métaphore filée du monde de l'enfance qui met en scène des individus naïfs et qui ne demandent qu'à apprendre. Ce monde a dû apprendre la langue écrite (ABC), intégrer des éléments de culture qu'ils ne connaissaient pas et Montaigne pousse la métaphore jusqu'au bout « comme un enfant doit succéder... » Montaigne a assimilé le nouveau monde à l'enfance mais pourtant, il montre