Métaphore Animiste

Rapprochement avec « un homme » : interprétation ? - Mots qui s’opposent à « vice » et « fausseté » ? Quelle figure LB construit-il en contre-point de celle du courtisan ? - Expliquez la chute à la fin de la R2. Définition de la cour ? R3 - Métaphore pour définir la cour ? - Type de phrase ? Syntaxe ? - Synonyme de « définir » ? - Champ lexical du changement ? - Qu’est-ce qui caractérise alors la cour ? R4 - Comment démarre la R4 d’1 pt de vue gram ? Effet ? - Qu’annonce le :

introspectif => Il parle à lui seul (focalisation interne). La métaphore filée de la mort/agonie est ici pour mettre en relation l’idée de mort à d’autres synonymes afin de désigner l’étendu de ce qu’engendre la mort. Jean Valjean essaye ainsi d’apitoyer le lecteur sur son sort. « Mourir »l.34 « sépulcre »l.34 « agonie »l

que ce point précis est annonciateur de la place qu’il libèrera sous la cage d’escalier et qu’elle utilisera à son tour en fin de vie. Très vite, nous sommes conduits à penser que « est-ce que l’oie avait jamais fait du mal à quelqu’un ? » est la métaphore pour Gervaise. Cette phrase, proférée par son ancienne rivale Virginie, lors de la scène mémorable du lavoir où l’ouvrière a reçu une raclée de Gervaise annonce la vengeance à retardement. De l’apogée de ce repas festif, où Gervaise règne en maîtresse

typique (ex. un harpagon [personnage de Molière] pour un avare, la Dame de Fer pour Mme Thatcher). »Forme particulière de métonymie ou de synecdoque.5. Catachrèse (Aquien, p. 74)« La catachrèse […] est une figure par laquelle un mot est employé par métaphore (cas le plus fréquent), métonymie ou synecdoque pour désigner une chose qu’aucun terme littéral ne désigne dans la langue : une feuille de papier, les ailes d’un moulin, ferrer un cheval[, à cheval sur un mur, les pieds d’une table].Comme telle,

mince, souple et élancé. (« Longue », « mince », « Agile ») + mouvement souple et gracieux, (rythme vers trois et quatre grâce aux virgules)- Démarche noble (« fastueuse », « majestueuse », « noble »). Rythme vers 2 ; insiste sur la grâce. Vers 5 : Métaphore jambes de statue---> Femme= œuvre d'art, beauté parfaite. (chez Baudelaire la statue représente une sorte d'idéal de beauté.) Tenu vestimentaire ---> élégance= « veston » « ourlet ». Connote le raffinement et la richesse. ( en grand deuil

irréelle : « la fête enchantée ». Le début est joyeux. Dans la première strophe, il y a une allitération en « i », au vers 12, nous avons des verbes de mouvements : « volait, et revenait », au vers 20, la ponctuation exclamative qui renforce la métaphore qui décrit sa façon de tourner : « un flot tournoyant sous ses pieds ! », seulement Hugo est déçu : « Mais hélas ! », ici, la ponctuation exclamative est cette fois ci présente pour accentuer les émotions de Victor Hugo. Nous passons d’un sentiment

d'Antigone. Face à Créon qui essaye de ce contenir laiq qui va s'énerver vite. Ils ont tous les deux une forte personnalité. 2- ils n'ont pas le meme age. Créon reconnaît la jeunnesse d'Antigone « jeunes gens », « tu verras ». Il y a une métaphore dans le 1, métaphore de la vie. C'est une eau que les jeunes gens laisse couler sans le savoir dans leur doigts ouverts = poétique douce. Créon présente sa vieillesse comme un atout de sagesse, apaisement des passions, pourtant Antigone ce moque de cette

la cruelle intention de ces parents », « j’emploierais ma vie pour la délivrer » Il se dévoue pour la jeune femme, c’est lui qui prend les initiatives, qui la séduit, qui s’engage. La métamorphose due à cette rencontre nous est présentée par la métaphore « l’amour me rendait déjà si éclairé ». Cet amour fait basculer le jeune Des Grieux dans l’âge adulte. Un homme sous influence : coupable Manon La jeune fille, Manon, au contraire, a un penchant prononcé pour le plaisir, sans doute charnel

œuvre. En 1961 avec Asile, il introduit la notion d’institution totale. Pendant plusieurs années, il a observé les systèmes de relation au sein d’un hôpital psychiatrique. Avec La mise en scène de la vie quotidienne, il développe le concept de métaphore théâtrale. Stigmate, les usages sociaux des handicaps a été publié pour la première fois aux Etats-Unis en 1963. Il ne sera traduit en français qu’en 1975. Analyse : Afin de démarrer l'analyse du second chapitre du livre « Stigmates » appelé

Zola emploie également des figures de style pour compléter son travail. On y retrouve la comparaison : «Elle brûlait en plein Paris comme un feu de joie colossal», «comme pour une embrassade énorme» et «c'était comme une alcôve colossale» ; et la métaphore : «La ville n'était plus qu'une grande débauche de millions et de femmes.» Par ailleurs, il utilise aussi plusieurs fois l’énumération : «un coin de forêt de l'aboiement des chiens, du claquement des fouets, du flamboiement des torches» et les ordures